Le développement affectif est consécutif à une longue suite d’évènements plus ou moins conflictuels. L’identification cognitive des enfants est un enjeu social suffisamment important pour entrainer des stratégies. Le livre fait partie de ces artifices. L’affectivité est le domaine des émotions et des sentiments. Il y a dans le comportement humain, des actes surprenants, qui surgissent dans notre conscient et dépassent nos intentions.
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Le développement affectif est consécutif à une longue suite d’évènements plus ou moins conflictuels. L’identification cognitive des enfants est un enjeu social suffisamment important pour entrainer des stratégies. Le livre fait partie de ces artifices. L’affectivité est le domaine des émotions et des sentiments. Il y a dans le comportement humain, des actes surprenants, qui surgissent dans notre conscient et dépassent nos intentions : Ces actes non intentionnels laissent supposer l’existence d’un inconscient qui agit en nous sans que nous le sachions, et détermine ce que nous sommes. « L’identification de développement » est l’identification qui se produit avec un objet aimé ou aimant dont on désire s’attribuer certains traits particulièrement admirés ou aimés. L’identification semble signifier avant tout l’idée qu’il n’y a pas de construction identitaire possible sans tentative pour l’individu d’assimiler, et ce tout au long de sa vie mais de manière beaucoup plus prononcée durant l’enfance, tout ou partie des sujets l’environnant. Le héros de ce livre n’est pas le montagnard, personnage principal du livre, mais le lecteur qui progressivement s’y amalgame, ne réussissant plus à faire la part des choses entre son imaginaire et ce qui est tangible, mélangeant le ressenti et le réel. Ce livre répond partiellement à la question freudienne « quelle est la cause de nos actes ? » L’enfant qui lit est une éponge qui absorbe le flot de la page noircie. Le livre restera dans son passé, le texte structurera son avenir.
La majorité des gens pense que c’est un produit français, voire même le plus français des produits. Pour cela, il est connu du monde entier. Ils aiment le tremper dans leur café, y mettre de la confiture, de la pâte à tartiner.
Une série de cassettes découvertes au cours d’un déménagement permettent de se remémorer un défunt racontant son existence particulière lors de la dernière guerre mondiale.
Le treizième arrondissement parisien est un des quartiers les plus multiethniques de la capitale française. Un poulbot, d’ascendance asiatique y rencontre de manière fortuite, un bref instant, un adulte d’origine africaine. A priori, les destinées de l’un et de l’autre semblent bien éloignées. Chacun, à l’issue de voyages, de mœurs et de façon de penser, si différents l’un de l’autre, aura mené une existence bien particulière, faite de hauts et de bas, formateurs jusqu’à l’extrême. Vont-ils se revoir, y a-t-il des similitudes entre des vies et des aventures si dissemblables ? Vivons cet appel au voyage vers des contrées lointaines.
L’isolement n’est pas un vain mot. Dans le monde moderne où les sentiments n’ont plus toujours leur place, de nombreuses personnes, souvent retraitées, subissent de lus en plus ce fléau. Agé, délaissé, le vieil homme n’a pratiquement plus que son chat comme confident. Cela lui suffit-il ? Ce roman relate les problèmes de l’isolement pendant la vieillesse et les relations subtiles, parfois salvatrices, entre les animaux de compagnie et l’homme. Ce cheminement désordonné, au fil d’une mémoire douloureuse, ravivée par les événements, est dédié aux personnes isolées, malheureuses de cette destinée indépendante de leur volonté.
Ce petit personnage très attachant, fille aînée de Tatiana, vous séduira par sa spontanéité, sa gentillesse, son intelligence hors du commun. Effrontée, lucide, elle n’en est pas moins une peste qui fait l’unanimité autour d’elle. Sa fragilité, ses émotions à fleur de peau, sa maîtrise en toutes circonstances en font une adorable fillette qui ravira le cœur de Jeannot. Son défaut de langue, ses yeux de braise et ses pitreries vous feront passer de merveilleux moments de lecture. Junior est une surdouée heureuse de vivre… Mais, elle prendra une décision immédiate, radicale, qui va affoler son entourage, confrontée à une situation qu’elle n’accepte pas. L'émotion est au rendez-vous. Le rire aussi.
J’ai bien connu Pat Carson. Je l’ai eu sous mes ordres. Un sacré gaillard, une sorte de « tête brûlée », disions-nous à l’époque, mais Carlson était aussi un soldat discipliné sur qui nous pouvions compter pendant les opérations. Je me rends compte en lisant son récit que ce baroudeur ne vous a pas tout dit. Devoir de réserve oblige ! J’ai aussi découvert un homme d’une grande humanité, avec un grand cœur. Mais Pat Carlson restera malgré tout et à jamais un aventurier dans l’âme.
La Vienne d’après-guerre vue par un jeune interne en psychiatrie débarquant de sa province niçoise. Parti à la recherche d’un mystérieux docteur, notre héros découvrira, à défaut d’un génie de la médecine, un autre monde. Cette parenthèse l’amènera à se remettre en question et ébranlera bien des certitudes.
Que feriez-vous si brusquement vous réalisiez la fragilité de la vie ? Si le hasard ou la fatalité, qui sait, enrayait d’un grain de sable les rouages bien huilés de votre quotidien ?
Élisa prend conscience, dans les premières années de sa vie que la plénitude résulte toujours d’un libre arbitre dans les réponses exprimées selon des convictions et des analyses, propres à soi, pour le futur choix d’une vie.
Dans le premier témoignage du parcours emprunté depuis sa naissance, Élisa, a occulté certains passages D’autres souvenirs se manifestent, revendiquent une place, dans la narration, reliant le déjà-dit aux découvertes de la mémoire qui interroge, à nouveau, son passé.
Chantal Losfeld, originaire du Nord de la France a commencé à écrire en faisant deux biographies sur les Sunlights, groupe mythique des années 70. Elle a toujours baigné dans les livres avec des parents libraires. Plus tard, son père devint l’éditeur des Surréalistes. Son huitième récit, qui relate la perspicacité d’un inspecteur de police pour trouver l’assassin de personnes innocentes, vient étayer une collection de petits romans variés et faciles à lire.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
Clément, élève de Cm2, apprend avec tristesse que les fameuses écrevisses à pattes rouges, que son grand-père pêchait autrefois ont aujourd’hui quasiment disparu. Sur les rives du rêve, escorté par la princesse Amandeus, il découvrira le royaume tourmenté des écrevisses de Nantua. Plus tard, l’action qu’il mènera avec ses camarades de classe permettra peut-être à la véritable écrevisse Astacus astacus à pattes rouges de repeupler bientôt nos rivières pour le plus grand plaisir des Nantuatiens. Bienvenue dans le merveilleux…
Amélia forme avec sa grand-mère Cordélia, une famille exceptionnelle. Leurs personnalités hors du commun vont les aider à se battre contre les coups du sort. Dans un cadre enchanteur, dans le Finistère, à la pointe de la Bretagne, s'élève sur la falaise, le domaine de la Baie des Roses. Splendide Maison d'Hôtes, cette demeure arrivera-t-elle à faire oublier les aléas de la vie à la belle Amélia ? Réussira-t-elle à se remettre de son terrible accident ? Et pourra-t-elle de nouveau faire confiance à un homme ?
Après une dure journée de travail, Jonas Atlan rangea ses outils de petite menuiserie, jeta un dernier coup d’œil pour voir si tout était en ordre puis ferma son atelier où il entreposait les matelas à garnir de laine.
Jonas était le matelassier-ébéniste de la casbah d’Alger, cumulant ses deux métiers avec un égal bonheur. Tantôt, il remplaçait et aérait la laine, tantôt il changeait la toile, piquait sa grande aiguille recourbée pour réaliser la bordure faite de gros bourrelets, tantôt il recollait le bois d'une chaise ou d'un lit. Son travail toujours impeccable lui valait une belle réputation au sein de la vieille ville, casbah judéo-arabe où il avait ouvert les yeux et qui était fréquentée essentiellement par les descendants des juifs d’Espagne après les inquisitions de 1391 et 1492.
Chez moi, c'était la maison du bon Dieu. Du bon Dieu et de ma mère ! Ma mère la pauvre ! La pauvre ou raïbah dans le langage judéo-arabe de la casbah d'Alger et de toutes les femmes de la famille.