Ce recueil, fondé sur des bribes de souvenirs, des articles de journaux, des albums photos et d’autres supports médias, est à classer dans un genre nouveau, une sorte de « trilogie familiale biographique ». Il relate la vie condensée de trois hommes au talent artistique affirmé qui ont influencé l’ère toulonnaise : Alfonso Arride, Louis Arride et Daniel-Antoine. Chacun, à sa manière, a su en son temps œuvrer pour le bien de tous et ce témoignage les met en lumière.

Camille est l’aînée de nos petits-enfants. Elle adore se déguiser et, ce jour-là, elle s’est coiffée d’un petit chapeau rond et fleuri qui lui sied à merveille...

Que de promesses, que d’affirmations de poudre aux yeux, de mensonges. Tels des demi-dieux, les candidats dignes représentants de la République, refont le Monde et la France, chacun à sa manière pour nous humbles citoyens, ne désirant que la paix, le travail et la santé. Mais voilà, ils ne sont pas sincères, ils nous mentent. Alors ras le bol de ces comédiens sans talent et malhonnêtes. Nous le Peuple français, allons-nous les laisser jouer encore longtemps à ce jeu malsain ?

J.F. GALÉA

Mostefa Negache, né en 1938 en Algérie, vient à Paris à l’âge de 15 ans rejoindre sa tante, professeure de philosophie ; il suit les cours de l’Ecole de Dessin de la rue de Tolbiac et rencontre le miniaturiste Mohammed Temman dont il devient l’ami. Lorsque sa tante est nommée dans le midi, elle demande à une amie à elle, Simone de Beauvoir, si elle peut s’occuper de son neveu qui souhaite rester à Paris ; Simone de Beauvoir accepte et ainsi Sartre et sa compagne ont joué pendant quelques années le rôle de quasi parents adoptifs pour Mostefa. 

Artiste peintre - Maître d’œuvre de matière et d’harmonie

Demeure à la Seyne sur Mer dans le Var. Partage le temps entre les ateliers, le soleil, les rencontres et la mer. Disciple de José de Huescar Barcelone. Vous pouvez trouver sur les tableaux et croquis divers, les vibrations d’évènements et reportages graphiques vécus. Pour l’amour du soleil et de l’eau pure, source de vie. Gars des Arts, géomètre, maître d’œuvre, concepteur, régisseur à Radio France, Artiste peintre depuis l’enfance.

Issu d’une famille pas comme les autres,

Dany Lartigue,

béni des dieux, a tous les dons.

À la fois entomologiste, écrivain, peintre, d’abord protégé d’Aimé Maeght, il fut à l’avant garde de la peinture figurative de l’après-guerre.

Mais, c’est à Saint-Tropez qu’il réalisera l’essentielle d’une œuvre foisonnante qui couvre plus d’un demi-siècle de peintures.

Vous découvrirez dans cet album une sélection de cette œuvre considérable dont une grande partie demeure méconnue.

Dany Lartigue né d’une illustre famille –   son père Jacques-Henri Lartigue, photographe, le compositeur André Messager son grand-père – il en a hérité les dons.

Entomologiste renommé, créateur du Musée des papillons de Saint-Tropez, beau peintre, écrivain, il évoque dans ce livre d’une écriture légère et élégante où se mêlent humour, tendresse et nostalgie, les multiples péripéties d’une vie tumultueuse et passionnée au cours de laquelle il a croisé maints personnages pittoresques.

Après une escapade dans les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse, Philippe, peintre autodidacte, vous présente, par ses aquarelles, un échantillon des richesses du littoral azuréen.

Au rythme calendaire des festivités sélectionnées et présentées par Pascale, ce livre d’aquarelles vous apportera du plaisir et du bonheur dans cette farandole de couleurs et cette palette de senteurs de la French Riviera.

La vie est un tableau sur lequel chacun d’entre nous apporte sa couleur.

Dès le début de ma création artistique s’est imposée à moi une question lancinante : À quoi l’Art sert-il ? Bien sûr, j’ai trouvé la réponse ordinaire et communément admise ; l’Art est un moyen d’expression. Alors, j’ai cherché l’expression dans la couleur, principalement dans le rouge, couleur symbolique de la passion et de la révolte, marqueur du sang qui coule, du sang versé.

Et un jour, j’ai quitté, pour un certain temps, mes paysages qui me brûlaient les yeux pour donner un sens politique à cette couleur. Alors, en 1997, j’ai créé le « Contestatisme ».