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Référence: L2289
D’après un fait réel qui s’est déroulé en France. Gagner sa vie en frôlant la mort chaque jour. Ce numéro était particulièrement dangereux. Le fait que le risque soit considérable, en faisait l’attrait. L’être humain est ainsi ; la proximité de la mort lui occasionne une attirance macabre.
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D’après un fait réel qui s’est déroulé en France. Gagner sa vie en frôlant la mort chaque jour. Ce numéro était particulièrement dangereux. Le fait que le risque soit considérable, en faisait l’attrait. L’être humain est ainsi ; la proximité de la mort lui occasionne une attirance macabre.
Les artistes, boostés par la ferveur des spectateurs, déroulaient leur démonstration millimétrée. Kelly Baker fit virevolter sa jupette de cuir et alla s’agenouiller devant un panneau noir. Le tireur cala une pomme sur le dessus de la tête de sa partenaire, saisit son arbalète, encocha une flèche et épaula. Soudain Kelly poussa un cri strident et s’effondra. Adam Baker, figé, incapable de réagir, tenait ses mains plaquées sur ses yeux. Sa partenaire et épouse chérie, pelotonnée au centre d’une flaque de sang, n’osait s’allonger. Armée de courage, elle s’agenouilla et avant que n’interviennent les secours, elle arracha la flèche plantée dans son crâne et…
Jean-Claude ROMERA est un écrivain éclectique. Ses parutions s’étendent entre : Humour, jeunesse, histoire, romans. Il a reçu le prix du Pôle Art et du livre Méditerranéen. Le coup de cœur du festival Blues et Polar. La sélection du Rotary de Marseille.
À propos de cette biographie, l’auteur déclare : tout à leur écoute, je compris rapidement que j’étais le témoin privilégié d’une histoire exceptionnelle. Rien de ce que vous allez lire n’est exagéré, tout est rigoureusement exact. Je me suis attelé à ce projet uniquement parce que j’affectionne Catherine et Alain Jamet, des êtres fascinants s’il en est.
Banzaï, le Carlin malin, existe vraiment et vit à Marseille dans une famille où il s’épanouit. Les photos illustrant le livre sont réelles. Banzaï nous raconte ses mésaventures. Un matin, au réveil, il se rend compte que ses maîtres ont quitté la maison. Ces derniers, habituellement, l’emmènent avec eux, mais cette fois ils l’ont laissé sous la garde d’une personne. Le petit chien malin, fausse compagnie à son gardien et part à la recherche de ses maîtres. Son expédition le mènera jusqu’à Paris. Isolé, exposé aux dangers, Banzaï parviendra-t-il à se tirer d’affaire ?
Elsa est infirmière dans une unité médicale. Robin, son mari, lui, est un médecin affecté aux urgences. Les époux s’adonnent à soigner autrui tandis que leurs horaires antagoniques dérangent leur vie privée. Néanmoins, l’amour qui les unit est manifeste. Cependant, à cause d’une maladie dégénérative contractée par Elsa, l’harmonie du ménage s’en trouvera chamboulée. Une greffe pourrait redresser la santé d’Elsa. Toutefois, une affaire de meurtre, mêlée à l’action du don d’organes, contrariera l’équilibre du couple. S’ensuit la lutte d’un avocat épaulé par un détective privé. Un récit où la culpabilité a des accents distincts. Au vrai, un sujet sensible, documenté, captivant. Un duo d’enquêteurs retors parachève ce polar fuligineux.
Ezza, née à Marseille, est mariée à Albert Duval, un fringant cadre commercial. Le couple a une fille, Nora. Ezza est très attachée à ses parents et à ses frères nés en Tunisie. L’un de ses frères, fragile, spécieux, subira les affres de la bêtise et d’une bévue médicale. Malgré tout, l’existence de la famille Duval se déroule, pourrait-on dire, communément. N’étaient l’emprise des racines et la fulgurance d’une rencontre fortuite, rien n’aurait probablement entravé la béatitude familiale. Néanmoins, la violence des amours antagoniques entraînera Ezza dans une spirale indue où prédominent l’affliction et le fardeau des femmes. En d’autres termes, une histoire palpitante, bouleversante de réalisme.
Ce récit ne relate nullement les tribulations de femmes dévoyées, il évoque plutôt l’affliction de femmes délaissées qui, dans la perspective de résister aux vicissitudes de la vie, se méprennent.
L’histoire s’attache principalement à décrire le parcours de l’une d’entre elles. Émeline Savoil se découvre brutalement trahie et malgré l’amour toujours latent, son couple se disloque, mais quand un enfant maladif, fragile, le relie, cela occasionne une série de contingences enchevêtrées.
La narration de cet ouvrage émotionnant, retrace dans un style fait-diversier, une mésaventure poignante. De surcroît, une énigme policière stupéfiante, lui octroie une dimension réaliste de premier plan.
Nous méconnaissons ce que la vie nous réserve et nous ignorons totalement jusqu’où nos forces internes pourraient nous mener. La destinée d’une vie paisible à tout le moins régulière peut basculer en un instant.
Nous n’ignorons pas que le plus doux individu est susceptible malgré lui d’en arriver à commettre l’irréparable.
Vous êtes-vous déjà interrogé : "Et si un événement fortuit venait chambouler le déroulement de mon existence, de quelle manière réagirais-je ? Comment y ferais-je face ?"
Aussi étonnamment que cela puisse paraître, cette histoire pourrait être celle de madame et monsieur Tout-le-monde.
Disons-le sans ambages, ce roman troublera les femmes et les hommes sensibles. Au fil du récit de cette palpitante histoire, le lecteur se surprendra à vaguer dans divers villages du Var et des Alpes-de-Haute-Provence. Pour dissemblables qu’elles soient, toutes ces charmantes communes expriment une omniprésente ruralité de bon aloi. Nonobstant, ce livre ne ressemble en rien à une chronique régionaliste. Les personnages animant l’ouvrage, passent du rire aux larmes, oscillent entre détresse et espoir. Il est vrai que cela concerne plusieurs d’entre nous. À la différence, que ce subtil manuscrit traite de l’une de nos obsédantes interrogations. Comment pouvons-nous continuer à vivre lorsqu’un drame nous prive de ce que nous avons de plus cher au monde ?
Avec "Lavoirs, Onde(s) de Femmes", l’auteur a concrétisé un ouvrage de référence sur le lavage du linge depuis l’origine des temps ; ainsi que l’historique enrichi d’anecdotes, de 106 communes provençales où se trouvent les lavoirs présentés.
Parmi les petits ouvrages, distinguables avec les yeux de l’amour, dont selon nous, font partie les lavoirs, nous avons à travers cet ouvrage ambitionné de mettre en exergue quelques-unes de ces constructions.
Lieu d’efforts soutenus et harassants, le lavoir était l’endroit où les femmes échangeaient leurs joies, leurs peines, là elles partageaient des moments d’intimité, ne négligeant pas toutefois de s’observer et de se jauger.
Nos auteurs, soucieux de s’écarter d’une tendance actuelle, celle orientée vers des récits où le crime le dispute à la perversion, ont, à contre-courant du genre apprécié par certains, pris le parti de l’émotion, de l’amour, de l’amitié et de l’aventure humaine. L’histoire fictionnelle qu’ils proposent à travers cet ouvrage pourrait être la leur, la vôtre, la nôtre.
À vous d’en juger.
“Ces folles pensées…” viennent du cœur. Elles font suite à un précédant livre sur le sujet de l’hilarité « L’ire des Délires » édité également aux Éditions Les Presses du Midi.
De nouveau l’auteur déploie au bénéfice du lecteur, une mécanique satirique propre à évacuer le stress qui le tenaille et qui tourmente la plupart d’entre nous.
Son particularisme consiste à prendre appui sur les bases d’un mot au demeurant sans contexte et d’élaborer un entour constituant une substance gouailleuse.
“Le Fol Humour de ses Folles Pensées”, prouve s’il en était encore besoin que sa verve facétieuse pour intarissable qu’elle soit est bienfaisante.
D’un humour jouissif, ce livre inégalable est comme lui sans pareil.
Raymonde, son épouse.
Incomparable de prodigalité. Le plus délectable des deux bouquins que j’ai lus dans ma vie.
Stéphane, son fils.
Je le savais légèrement satire. Le découvre d’une valeur satirique.
Daniel, un ami.
Le présent compte parmi les meilleurs livres que j’aurais aimé lire.
Jean-Jacques, son libraire.
Des formules pétries de verve, craquantes comme du bon pain.
Maryse, sa boulangère.
Je lui ai souvent dit : « Il ne faut jamais abuser du sublime ». Il a suivi mon conseil.
Ascension, sa maman.
Cet ouvrage vérité, gorgé de témoignages et de photos d’époque, nous replonge dans la vie quotidienne à Al-Djazaïr avant 1830 et à Alger de 1830 à 1962.
Après « Mes rêves avaient un goût de sel », cette nouvelle tranche de vie subaquatique, bourrée d’humour et de surprises, se situe à une époque où soufflait encore un parfum de liberté. Comme dans son premier ouvrage, l’auteur écrit avec son style provençal très imagé qui fera sourire, mais aussi entraînera le lecteur vers des rencontres surprenantes et peu ordinaires, qu’elles soient humaines ou animales.
Pour lutter efficacement contre la vitesse de propagation des incendies de forêt, les secours doivent s’affranchir des distances et du relief. La création des commandos héliportés par le Capitaine Galian avec le concours inestimable des équipages et HSS de la flottille 33F de Saint-Mandrier a démontré cette possibilité avec succès le 19 Août 1965 à Siou- Blanc. Avec des bombardiers d’eau Catalina, Monsieur le sous-préfet Francis Arrighi avait dès 1963 tracé le véritable avenir de la lutte contre les incendies de forêt.
Différentes histoires belles, surprenantes, étranges, drôles et cocasses.
De cette belle histoire de santons d’Auriol, unique en son genre.
Quelle explication peut-on donner aux phénomènes paranormaux auxquels certaines personnes sont confrontées au cours de leur vie ?
De cette personne qui ne pensait pas à mal en vendant ses fruits et légumes et pourtant…
Par ce pêcheur généreux invitant ses amis à un repas un peu spécial.
À ce monstre marin qui avait défrayé la chronique sur les bords de la Méditerranée.
Au monde marin et sa sirène légendaire dans la plus belle baie de Marseille.
De ce chien victime malgré lui de son manque d’efficacité.
Et bien d’autres…
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.
Fabrice Martinez susurra al oído de los grandes simios, lo que le convierte en un policía muy especial. Se vio a sí mismo como un explorador y terminó uniéndose a las filas de la policía por vocación. Pero una pasión se aferraba a él : ¡los gorilas! Una admirable mujer, Dian Fossey, luchaba en Ruanda para evitar su desaparición. Murió asesinada, de seis golpes de machete, la noche del 26 de diciembre de 1985. Al día siguiente, Fabrice fundó GORILLA, la primera asociación francesa en defensa de los gorilas. Viajó hasta Ruanda, donde plantó su tienda de campaña al pie de un volcán, en el territorio de los últimos gorilas de montaña. En África se le conoce como : “el policía blanco que quiere salvar a los gorilas”.
Juin 1945
L’Ascanius, un bateau anglais, transport de troupes, pénètre dans le port de Marseille. Le navire accoste près du quai de la Joliette. À bord, un millier de rescapés des camps de déportation rejoignent leur pays d’origine. Parmi eux, Jean Perotti, un enfant de Marseille. Une jeune femme l’accompagne. Elle s’appelle Kotechka. Une Polonaise. Elle a recueilli Jean après son évasion de la citadelle de Lwow en Pologne. Ils s’aiment.
Voici un livre utile : dans l'historiographie de Saint-Mandrier et des cafards, ainsi qu'étaient naguère surnommés ses habitants, il dépoussière, trie, fait le ménage, range. Voici un livre intelligent : il indique les limites actuelles de nos connaissances, fait un état des richesses naturelles et architecturales du territoire, étudie l'évolution de la population, trace des pistes, ouvre des perspectives, donne à réfléchir. Voici un livre qui devrait être la bible des décideurs politiques ou apprentis décideurs : ils y trouveraient matière à agir pour le bien-être de la collectivité.
Il est souvent reproché aux hommes et femmes politiques d’être déconnectés de la réalité du commun des Français. À la lecture de son récit de vie chacun comprendra que ce n’est pas le cas de Valérie Gomez-Bassac.
Un témoignage tout en sincérité. Que de chemin parcouru entre une enfance passée dans les cités des Alpes-Maritimes, où il a fallu faire face aux difficultés de l’existence, à son entrée au palais Bourbon. L’étudiante qui travaillait comme caissière pour financer son diplôme de droit peut être fière d’elle mais page après page, ligne après ligne il n’est jamais question de jouer les donneuses de leçon. Au contraire le message, en filigrane, reste que lorsque la motivation est à son paroxysme alors tous les rêves, même les plus fous peuvent devenir réalité.
Le récit de vie de Stéphane Carbonnel est touchant de vérité. Il évoque l’apparition d’une légère schizophrénie qui va, au quotidien, forcément chambouler son existence jusque-là sans histoires. Entre doutes, séjours en hôpitaux, reprise d’une activité professionnelle et liens amicaux, l’auteur passe en revue tous les sentiments par lesquels il est passé. Ce livre est une forme de point final à un combat qu’il a mené de bout en bout avec courage et abnégation. Sans jamais se départir de qui il est et a toujours été…
Quand un héritage inattendu émanant d’un oncle inconnu bouleverse l’existence d’un homme d’âge mûr. Sauf que là, il ne s’agit pas d’argent mais au contraire de quelque chose qui ne s’achète pas à savoir ses propres origines. Avec « L’enfant enlevé à sa mère » Marcel Bancel replonge dans son passé. Celui d’un enfant labellisé « pupille de la nation » car recueilli par la DDASS.
André Suarès a écrit : « Le voyageur est encore ce qui importe le plus dans un voyage ». Les présents carnets de voyage s'inscrivent dans la ligne de cette citation extraite du Voyage du condottiere. Le but de cet ouvrage est de faire mieux connaître cette catégorie particulière des gens de mer que sont les marins d'État. Un certain nombre d'anecdotes sont là pour aérer le propos et bien montrer qu'il ne s'agit pas d'un guide touristique, mais d'un hommage rendu en toute indépendance à cette belle institution.
D’après un fait réel qui s’est déroulé en France. Gagner sa vie en frôlant la mort chaque jour. Ce numéro était particulièrement dangereux. Le fait que le risque soit considérable, en faisait l’attrait. L’être humain est ainsi ; la proximité de la mort lui occasionne une attirance macabre.