LA GUERRE SUR MER ET SES LEÇONS de A.T. MAHAN (1840 – 1914) (CHOMEL DE JARNIEU)
Référence: L1611
20,00 €
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Encore aujourd’hui, s’il est un nom connu de la communauté militaire maritime dans le monde entier, c’est bien celui de MAHAN. Ses théories influèrent toutes les marines du monde vers la fin du XIXème siècle, autour du thème central de la Puissance maritime. La lecture de ses ouvrages, notamment celle de l’Influence de la Puissance maritime dans l’histoire, demeure cependant une affaire de spécialistes.
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Encore aujourd’hui, s’il est un nom connu de la communauté militaire maritime dans le monde entier, c’est bien celui de MAHAN. Ses théories influèrent toutes les marines du monde vers la fin du XIXème siècle, autour du thème central de la Puissance maritime. La lecture de ses ouvrages, notamment celle de l’Influence de la Puissance maritime dans l’histoire, demeure cependant une affaire de spécialistes. C’est pourquoi nous proposons ici, avec cette réédition de La guerre sur mer et ses leçons, un ouvrage plus abordable pour ceux qui veulent approcher simplement ce grand stratège américain, père de la pensée stratégique navale : la guerre hispano-américaine de 1898 qu’il analyse nous donne aussi l’occasion de mieux cerner un affrontement mal connu qui, avant Tsushima en 1905, jalonna la route des Marines vers le premier conflit mondial. Avec La lutte pour l’empire de la mer et Les Enseignements maritimes de la guerre antigermanique de Daveluy, récemment parus aux Presses du midi, La guerre sur mer et ses leçons de Mahan permettent au lecteur de disposer d’ouvrages de référence fort utiles pour mieux appréhender que, plus que jamais, « le Trident de Neptune est le sceptre du monde ».
Les EHPAD sont la cible régulière de critiques, parfois virulentes, qui entachent leur réputation. Pourtant la volonté des professionnels est tout autre. À travers cet ouvrage, le lecteur découvrira que ce lieu de vie offre tout simplement la poursuite d’un long parcours de vie avec ses joies, ses tristesses, ses compromis et ses handicaps. Mais pour ce faire, de nombreux questionnements s’imposent pour concilier les droits et libertés individuelles, la vie en collectivité et les règles normatives parfois contradictoires.
James Dean – Claude Nougaro – Léo Ferré – Serge Gainsbourg – Jean Ferrat –Georges Moustaki Mouloudji – Maxime Le Forestier – Jacques Higelin Renaud – Yves Simon – Bernard Lavilliers – Jean-Michel Caradec – Serge Lama – Julos Beaucarne – Dick Annegarn – Beau Dommage – Hugues Aufray – Antoine – Johnny Hallyday – Les Chaussettes Noires – Il était une fois – Julien Clerc – Gérard Lenorman – Demis Roussos – Michel Sardou – Mort Schuman – Adamo – Sylvie Vartan – Marie Lafôret – Shirley Bassey – Frank Sinatra – Jean-Claude Casadesus – Miguel Angel Estrella – Marguerite Yourcenar – Françoise Giroud – Abbé Pierre – Gérard Mulliez – Sean McBride – Hervé Bourges - Nina et Jean Kehayan - Angela Davis – Jean-Daniel Simon – David Catarivas – Yahia Gouasmi – Raël – Jean Mermoz
D’après un fait réel qui s’est déroulé en France. Gagner sa vie en frôlant la mort chaque jour. Ce numéro était particulièrement dangereux. Le fait que le risque soit considérable, en faisait l’attrait. L’être humain est ainsi ; la proximité de la mort lui occasionne une attirance macabre.
J’ai utilisé le langage parlé des enfants Bab El Oued pour chanter l’Esplanade qui, en fait, est l’appendice greffé du faubourg après la démolition des portes de Bab El Oued. Le parler de tous les jours, agrémenté de mots italiens, espagnols et judéo-arabes propres à la communauté israélite qui, pour la plupart, venait de la casbah d’Alger. Ce langage né du brassage méditerranéen agrémenta la langue française que tenta et parvint à nous enseigner l’école de Jules Ferry. Oubliez la syntaxe et la grammaire française pour donner à ce récit toute son authenticité. J’espère que vous prendrez le même plaisir à lire ce petit livre que moi à l’écrire.
Certains noms propres annoncent la destinée de ceux qui le portent, il en est ainsi pour Maltese. Jean Maltese est un aventurier. Né dans un souk à Tunis, il a été à la fois un artiste et un homme de télévision. Or il faut avoir la force de la persuasion, le talent de la présentation et l’obstination dans la réalisation pour être un personnage dans ce monde de l’image. Un “ Maltèse “ ne peut être qu’un homme atypique, et, dès ses quinze ans, Jean quitte son pays et part sans bagages ni relations, mais des rêves plein la tête, vers la ville lumière. Ce Rastignac de Saint-Germain-des-Prés, élève du Cours Simon, devient acteur et compositeur, à la guitare, entre autres...
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
Elle a toujours aimé relater toutes ces journées qui passent sans lui. Elle aurait voulu aller le chercher, le ramener à elle... Ils étaient si bien tous les deux, même vieux, même moins beaux.
Il était son amour, elle était sa mémoire.
Embrasse-moi lui disait-elle. Et toi répondait-il, continue à me raconter...
Olivier est enlevé à Niamey alors qu’il était venu rendre visite, avec son épouse Laura, à leurs filleuls dans le cadre de l’association « Aide et Action ». Pendant six mois il sera l’otage d’AQMI dans le Nord du Mali. Deux geôliers se relaieront une semaine sur deux pour le « surveiller » en plein désert : l'un est un fou furieux avec lequel aucune communication n’est possible, l'autre pourrait être son fils... c’est pourtant un terroriste qui opère au Maroc. Olivier, ignorant son devenir, veut laisser une trace de son parcours à l’intention de ses descendants. Il laisse aussi un « Petit Traité de philosophie » personnel. « Destinées croisées » retrace la vie et la rencontre de Mohamed et d’Olivier.
Rodriguez est un bagnard en fuite sur le littoral varois, de Toulon jusqu’à Roquebrune. Arnaud est un campagnard de Figanières. Ils sont contemporains (1848 / 1851). Tous deux vont commettre des crimes. Malgré le ton picaresque des récits, les faits sont historiques.
Sept bagnards mettent les voiles.
Frederico Rodriguez, ancien soldat espagnol, tente la vie de colon à Constantine, pays nouvellement conquis par la France. Il est pris lors d’une tentative de vol à main armée et envoyé au bagne de Toulon. Il décide de profiter de l’atmosphère révolutionnaire de 1848 pour s’évader par la mer avec six autres forçats. Les fugitifs accostent sur le littoral des Maures...
Alexandre Briano retrace, à l’aide de témoignages, de documents et d’articles de presse ces neuf mois d’élaboration d’une campagne d’élection municipale toulonnaise, entre juin 1976 et mars 1977. Elle aurait pu être d’une banalité n’intéressant qu’une infime partie des Toulonnais. A priori, la ville semblait vouloir reconduire au mieux l’équipe municipe sortante ou, au pire, la liste de gauche PCF-PS. Mais un ver fut introduit dans le fruit : la proposition de responsables politiques parisiens de vouloir, dans certaines villes, ouvrir les listes à d’autres opposants tels que les gaullistes de gauche. À Toulon, avec la proposition de faire participer le vice-amiral d’escadre Antoine Sanguinetti, dit Tony Carabine, la zizanie durant de longs mois s’installa.
André Suarès a écrit : « Le voyageur est encore ce qui importe le plus dans un voyage ». Les présents carnets de voyage s'inscrivent dans la ligne de cette citation extraite du Voyage du condottiere. Le but de cet ouvrage est de faire mieux connaître cette catégorie particulière des gens de mer que sont les marins d'État. Un certain nombre d'anecdotes sont là pour aérer le propos et bien montrer qu'il ne s'agit pas d'un guide touristique, mais d'un hommage rendu en toute indépendance à cette belle institution.
Les secrets des uns sont les tabous des autres. Ces autres qu’il faut préserver par amour. Et pourtant les conséquences des non-dits peuvent s’avérer pires encore. Dans son autobiographie, l’auteur dévoile avec force et courage « …la parole assassine. », blessure qu’elle a tenté toute sa vie d’occulter pour protéger les siens. Poignant, difficile, ce récit nous laisse vides et en colère contre l’injustice de ce vécu. L’abus de faiblesse ne serait-il aujourd’hui décrié que par ceux qui ne sont pas touchés personnellement ? Les dénonciations médiatiques, publiques n’ont-elles pas leurs places au sein de l’entourage, de la famille qui souvent encore préfèrent voir la victime comme le criminel.
Encore aujourd’hui, s’il est un nom connu de la communauté militaire maritime dans le monde entier, c’est bien celui de MAHAN. Ses théories influèrent toutes les marines du monde vers la fin du XIXème siècle, autour du thème central de la Puissance maritime. La lecture de ses ouvrages, notamment celle de l’Influence de la Puissance maritime dans l’histoire, demeure cependant une affaire de spécialistes.