L’aventure est au coin de la rue. Avec peu de moyens mais une volonté de fer, deux amis d’enfance ont parcouru la mythique National 7 sur de vieilles mobylettes des années 60, entre Paris et Hyères. Leur soif de découvertes leur a permis d’admirer les beaux paysages et les anciens vestiges de cette route des vacances. Allant naturellement au contact de nombreuses personnes rencontrées au cours de leur périple, Patrick et Morad passionnés d’aventure en deux roues, désiraient aussi à travers cette escapade, faire connaître l’association ARC-EN-CIEL qui s’occupe de réaliser les rêves d’enfants atteints de graves maladies. C’est ce qu’ils firent…
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L’aventure est au coin de la rue. Avec peu de moyens mais une volonté de fer, deux amis d’enfance ont parcouru la mythique National 7 sur de vieilles mobylettes des années 60, entre Paris et Hyères. Leur soif de découvertes leur a permis d’admirer les beaux paysages et les anciens vestiges de cette route des vacances. Allant naturellement au contact de nombreuses personnes rencontrées au cours de leur périple, Patrick et Morad passionnés d’aventure en deux roues, désiraient aussi à travers cette escapade, faire connaître l’association ARC-EN-CIEL qui s’occupe de réaliser les rêves d’enfants atteints de graves maladies. C’est ce qu’ils firent…
Parcourir les routes du monde ! Pour découvrir d'autres horizons, d'autres valeurs, pour apprendre à mieux se connaître... Nous l'avons fait mon fils de 14 ans et moi, à moto entre Hyères et le cap Nord pendant 4 semaines.
Quoi de plus fascinant et captivant qu’une histoire vécue ? Qui plus est, de celles qui n’arrivent pas qu’aux autres. C’est bien le cas dans cet ouvrage, où l’authenticité vous interpelle page après page.
Un récit qui s’affranchit volontairement des us et coutumes en traitant d’un sujet trop souvent éludé : celui des victimes collatérales… Libres, mais comme « emprisonnées dehors ». Un récit poignant de vérité et touchant de sincérité.
« Quand je me suis exilé, j’ai d’abord estimé que ma femme avait ruiné mon existence en m’éloignant de la civilisation. Au contact de la nature, j’ai vite compris qu’Aurélie m’avait en fait sauvé, à son insu. Il faut que j’en témoigne. Ainsi, sur mon lit de mort, ai-je demandé à Stéphanie et à Claude de raconter ma vie dans les grottes du Tarn. Pour rédiger mes Mémoires, il me fallait des auteurs qui me ressemblent, des auteurs pour lesquels écrire, c’est courir nu dans la baie du Mont-Saint-Michel, c’est hurler en silence. »
Deux mois avant la Coupe du Monde de Football de 2014, je décidai de déposer mes valises dans un hôtel du quartier de Copacabana, à Rio de Janeiro, qui serait mon QG d’où j’allais arpenter, objectif à la main, une ville dans tous ses états et sous tous les angles : sa Nature époustouflante comme le Pain de Sucre, le Corcovado orné de son Christ Rédempteur, ou la plage mythique de Copacabana ; son architecture aux mille contrastes florissant un centre-ville de ses buildings vitrés, ses favelas tenant vaillamment debout avec des matériaux de récupération, dévorant, par leur étendue, presque toutes les collines de Rio ; son tourisme médiatique « en cage », dressé au mutisme, pour accueillir les supporters venus assister à la Coupe du Monde de Football...
Avec plus de 1400 films à son actif, Rémy Julienne a été pendant de longues années la référence mondiale en termes de cascades. Derrière ce professionnel reconnu et respecté se cache aussi l’homme amoureux. C’est ce que raconte Justine Poulin, la compagne de ses dix dernières années, via Rémy Julienne intime…
Parti du Var à la fin du 19è siècle, le Théâtre ambulant Désiré Ravel a donné des dizaines de représentations durant de nombreuses années. Au rythme du cheval, au gré des saisons, cet ouvrage vous transportera à travers et jusqu’aux confins de la Provence. Des petites villes aux hameaux les plus isolés, vous cheminerez auprès d’une bande « d’intermittents du spectacle ». Ces personnages hauts en couleur, acteurs ou victimes d’anecdotes plus ou moins heureuses, sont les témoins d’un temps révolu que l’auteur fait revivre avec ardeur et poésie.
L’idée de ces chroniques, lancée comme une boutade autour d’un repas d’anciens journalistes, s’est vite concrétisée, en allumant la flamme de l’écriture, jamais éteinte, mais parfois endormie.
Sous l’œil bienveillant de sa maman, l’enfance de Jean fut très agréable. Insouciant des atrocités de la Seconde Guerre mondiale, sa vie se partageait entre les jeux avec ses camarades d’école et ses plongées dans la baie d’Agadir, inondée de soleil. Ce petit coin de France vivait alors en toute quiétude, en compagnie des Marocains, sous l’égide des autorités françaises. L’atmosphère y était paisible... Jusqu’à ce terrible jour du 29 février 1960, où un tremblement de terre a fait basculer la vie de Jean. Plus rien ne sera comme avant.
Ce petit personnage très attachant, fille aînée de Tatiana, vous séduira par sa spontanéité, sa gentillesse, son intelligence hors du commun. Effrontée, lucide, elle n’en est pas moins une peste qui fait l’unanimité autour d’elle. Sa fragilité, ses émotions à fleur de peau, sa maîtrise en toutes circonstances en font une adorable fillette qui ravira le cœur de Jeannot. Son défaut de langue, ses yeux de braise et ses pitreries vous feront passer de merveilleux moments de lecture. Junior est une surdouée heureuse de vivre… Mais, elle prendra une décision immédiate, radicale, qui va affoler son entourage, confrontée à une situation qu’elle n’accepte pas. L'émotion est au rendez-vous. Le rire aussi.
Au regard des terribles épreuves qu'elle a rencontrées, Isabelle Bourgeais est une véritable miraculée de la vie. C'est au sein d'un indescriptible chaos quotidien qu'elle a évolué entre maltraitance et inceste infligés très jeune par son beau-père. Personne pour se confier ou lui venir en aide entre un père inexistant et une mère sous l'emprise, elle aussi, de cet homme pervers sadique et manipulateur. Grâce à son témoignage courageux et bouleversant « Le baiser de l’infini », elle passe des mots mortifères aux mots qui libèrent.
Cette femme en souffrance devient auteure en espérance. Mais c'est aussi au bout d'une longue traversée spirituelle, ouvrant la voie à la transcendance, que l'auteure parviendra à ce que son âme ne pleure plus.
Différentes histoires belles, surprenantes, étranges, drôles et cocasses. De cette belle histoire de santons d’Auriol, unique en son genre. Quelle explication peut-on donner aux phénomènes paranormaux auxquels certaines personnes sont confrontées au cours de leur vie ? De cette personne qui ne pensait pas à mal en vendant ses fruits et légumes et pourtant… Par ce pêcheur généreux invitant ses amis à un repas un peu spécial. À ce monstre marin qui avait défrayé la chronique sur les bords de la Méditerranée. Au monde marin et sa sirène légendaire dans la plus belle baie de Marseille. De ce chien victime malgré lui de son manque d’efficacité. Et bien d’autres…
C’était le 23 octobre 1917, un début de soirée d’automne, Ferdinand n’avait pas encore 20 ans, il venait d’obtenir son baccalauréat. Affecté sur le front ouest, il exécutait dans des conditions difficiles les ordres reçus, alors qu’une montée à l’assaut se préparait après le passage de la première vague... Il perçut le sinistre sifflement de l’obus et une puissante déflagration… touché à la tête par un éclat, il gît dans le sang et dans la boue. Ferdinand Angousture était un Nettoyeur de Tranchées, mais ce n’était ni un " zigouilleur " ni un " tueur ". Il était un jeune Poilu engagé dans le conflit, pour participer à la libération de la France. La personnalité de ces soldats n’a jamais été bien définie.
« En 39, j’avais 10 ans » est le livre de ma vie. Un récit que j’ai voulu poignant de vérité. Ainsi les passages marquants et anecdotes révélatrices sur des périodes historiques fortes, comme la Seconde Guerre mondiale bien sûr, se succèdent page après page. Les lecteurs découvriront les réalités d’une existence riche en émotions rythmée par les situations vécues, les gens rencontrés et les lieux traversés. Et si certains passages peuvent paraître incroyables, ils sont pourtant d’une véracité incontestable. À l’image de ces années qui ont fait de moi celui que je suis…
L’aventure est au coin de la rue. Avec peu de moyens mais une volonté de fer, deux amis d’enfance ont parcouru la mythique National 7 sur de vieilles mobylettes des années 60, entre Paris et Hyères. Leur soif de découvertes leur a permis d’admirer les beaux paysages et les anciens vestiges de cette route des vacances. Allant naturellement au contact de nombreuses personnes rencontrées au cours de leur périple, Patrick et Morad passionnés d’aventure en deux roues, désiraient aussi à travers cette escapade, faire connaître l’association ARC-EN-CIEL qui s’occupe de réaliser les rêves d’enfants atteints de graves maladies. C’est ce qu’ils firent…