Hegel, dans son Histoire de la philosophie, écrit : « Spinoza est un point crucial dans la philosophie moderne. L’alternative est : Spinoza ou pas de philosophie… La pensée doit absolument s’élever au niveau du spinozisme avant de monter plus haut encore. Voulez-vous être philosophes ? Commencez par être spinozistes ; vous ne pouvez rien sans cela ». De son côté Freud disait : « J’avoue volontiers ma dépendance à l’égard des enseignements de Spinoza ». Et Bergson ajoutera : « On pourrait dire que tout philosophe a deux philosophies : la sienne, et celle de Spinoza ».
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Hegel, dans son Histoire de la philosophie, écrit : « Spinoza est un point crucial dans la philosophie moderne. L’alternative est : Spinoza ou pas de philosophie… La pensée doit absolument s’élever au niveau du spinozisme avant de monter plus haut encore. Voulez-vous être philosophes ? Commencez par être spinozistes ; vous ne pouvez rien sans cela ». De son côté Freud disait : « J’avoue volontiers ma dépendance à l’égard des enseignements de Spinoza ». Et Bergson ajoutera : « On pourrait dire que tout philosophe a deux philosophies : la sienne, et celle de Spinoza ». Le lecteur trouvera, dans ce livre de la collection « Une Histoire des philosophes par le théâtre, quelques-unes des scènes marquantes de la vie du philosophe qui, le premier, devant le fait de la pluralité des religions, a clairement énoncé ce que devrait être, pour l’Etat, le principe de ce que nous nommons aujourd’hui, la laïcité.
Si j’ai choisi de vous parler humblement de Jacques Brel et de son œuvre, c’est qu’ils sont indissociables et qu’ils s’inscrivent dans « l’intemporalité des mondes visibles et invisibles » et de l’impermanence. Ecouter Brel c’est forcément le connaître un peu, le sentir… Cet être au grand cœur m’a séduit, que je devinais tendu comme un nerf vers le ciel, si « espérant » qu’il quittait déjà ce monde de son vivant. Je me demande encore s’il n’a pas refusé inconsciemment de grandir, tout simplement pour garder l’enfance qu’on lui avait dérobée.
Démocrite, dont le visage ci-contre a été imaginé par Rubens d’après des documents antiques, meurt en octobre de l’an 370 avant notre ère, à l’âge de 103 ans. Lorsque, à l’Académie, on apprend la mort du philosophe, loin de vouloir le célébrer, Platon s’emporte contre la doctrine de Démocrite. Il veut même faire acheter tous les exemplaires disponibles de ses cinquante-deux livres et les faire détruire. Les pythagoriciens Amycias et Clinias l’en dissuaderont. Vingt siècles plus tard, la science européenne rendra hommage avec admiration aux géniales anticipations de la théorie des atomes de Démocrite.
À Wattrelos, dans la châtellenie de Lille, les copés in deux (les Wattrelosiens) célèbrent Berlouffes. Aux Amis, bistrot de la place, le Zot, un étrange bonhomme, raconte ce village du comté de Flandre lié à l’abbaye de St Bavon de Gand. Les comtes de Flandre tiennent alors tête à leurs suzerains, les rois de France. Tel Ferrand de Portugal, l’un des Géants de la ville ! Autrefois Aux Amis s’appelait Au Cheval volant. Tel celui d’Adenet le Roi (Cléomadès, 1280), ménestrel du comte Gui de Dampierre qui impose le Lion sur ses armoiries. Telle cette maison d’édition du Cheval-Volant, point de chute à Paris des Réformés. Avec l’émergence de l’imprimerie, les satires d’Érasme, les thèses de Luther (1517) et la doctrine de Calvin se répandent dans une population lasse du système.
PROPRIÉTAIRE de bonne foi, l’auteur a fait confiance à un homme. Il lui a remis les clés de son appartement contre la promesse d’un virement immédiat. Ce locataire indélicat est resté TROIS ANS sans débourser un centime, DONT DEUX grâce ou à cause de la justice. Après avoir SUBI, devant un tribunal de proximité, une procédure judiciaire dont la longueur excessive lui a causé un PRÉJUDICE FINANCIER, l’auteur s’est interrogé. Il nous livre une ANALYSE IMPITOYABLE de cette justice qui s’arroge le droit d’être lente sans avoir à en rendre compte même quand cette lenteur génère l’injustice. Ce livre est un TÉMOIGNAGE qui révèle les faiblesses de notre justice de proximité et un DÉFI lancé aux plus hautes autorités sous forme de deux questions : SEREZ-VOUS CAPABLES d’entendre ces critiques ?
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
Qui suis-je, où suis-je, où vais-je et d'où suis-je tiré ? écrivait VOLTAIRE dans la préface de son Poème sur le désastre de Lisbonne.
De temps à autre cette question a donné à réfléchir à l'auteur qui, au cours de son existence, a essayé de déceler certains repères lui permettant de la résoudre. Ces pages sont le résultat de ses méditations sur le sujet.
Après La Mémoire de Pythagore, la Collection La Méditerranée des philosophes se poursuit avec des scènes de la vie de sept Présocratiques : Anaximandre et Anaximène de Milet, Xénophane de Colophon, Parménide et Zénon d’Élée, Héraclite d’Éphèse et Empédocle d’Agrigente. L’ouvrage débute aux environs de l’an 580 avant notre Ère et se termine aux alentours de l’an 435, quelques années avant la naissance de Platon. Anaximandre était très populaire à Sparte parce qu’il y avait réalisé un cadran solaire pour l’Agora de la ville ; en astronomie, il étudia « le cercle des éclipses », ce que nous nommons « l’écliptique ».
« Il est des êtres qui contemplent le ciel comme s’ils faisaient une promesse continuelle et inviolable, imperméable à toutes les monstruosités humaines, celle de poursuivre le chemin vers plus d’humanité et d’amour, ne baissant jamais les bras, bien que parfois se sentant si lourds d’objectivité et de clairvoyance sur les affres planétaires des mondes mutants et tous les effondrements de l’âme humaine ou les tentatives d’anéantissement. »
Rien n’est plus agréable que d’écrire un ouvrage avec ses souvenirs. En ajoutant les mots les uns après les autres, ces mots que nous utilisons à longueur de journée, je les appelle les mots passants. Tous ces mots font partie de notre vie. Ils risquent parfois de faire mal, la vérité est-elle toujours bonne à dire ? Mais celui qui a un message à transmettre, c’est dans la pierre qu’il doit le graver car les mots s’envolent et seuls les écrits restent. Certains poètes ont mis leurs vers en chansons, Trenet, Brassens, Brel, Ferré, Gainsbourg, Aznavour et c’est heureux, leurs chansons courent encore dans les rues...
La Provence éternelle, celle des oliviers et des cigales qui ponctuent de leur chant les savoureuses répliques des personnages de Marcel Pagnol, existe toujours. Pour la découvrir, il suffit d'aller se promener sur un terrain de boules, dans l'ombre fraîche d'un platane centenaire et d'écouter quelques anciens parler. La chine, art ancien qui consiste à mettre au bon moment quelques gouttes d'huile (d'olive) sur le feu de la discussion, y règne toujours aux côtés de la galéjade, de la vantardise bon enfant et des réflexions frappées au coin du bon sens. Jean-Michel Barra nous décrit, au fil de portraits plein d'humour, ce petit monde qui perpétue chaque après-midi la gaîté et l'art du vivre ensemble.
Certes le monde n’est pas simple. Mais il y a des limites à l’incohérence. Pourquoi l’homo sapiens ne cesse-t-il de saccager son environnement où des milliards d’autres êtres vivants ne lui ont rien demandé ? Et cet imbécile s’en prend maintenant à lui-même. Après les souris et les porcs, il veut s’« améliorer » grâce à sa dernière manie, la cybergénétique. Encore un cataclysme de plus en perspective. Le développement extravagant de la « science sans conscience » et l’expansion démographique incontrôlable semblent, inéluctablement, mener l’humanité vers sa fin. Le grotesque de cette situation, défiant même l’imagination, est un véritable enchantement. Il transforme le dégoût en dérision : c’est le rire du diable.
De quoi cette comédie un peu loufoque se moque-t-elle ? Elle fait la satire d’un usage caricatural de la dialectique marxiste et du schéma de Hegel « Thèse, Antithèse, Synthèse » ; cet usage caricatural avait lieu dans l’ex URSS, et dans tous les pays et les partis où l’on glorifiait le stalinisme.
Hegel, dans son Histoire de la philosophie, écrit : « Spinoza est un point crucial dans la philosophie moderne. L’alternative est : Spinoza ou pas de philosophie… La pensée doit absolument s’élever au niveau du spinozisme avant de monter plus haut encore. Voulez-vous être philosophes ? Commencez par être spinozistes ; vous ne pouvez rien sans cela ». De son côté Freud disait : « J’avoue volontiers ma dépendance à l’égard des enseignements de Spinoza ». Et Bergson ajoutera : « On pourrait dire que tout philosophe a deux philosophies : la sienne, et celle de Spinoza ».