Ce magnifique cadeau qu’est l’existence n’est pas donné, il n’est prêté que pour un temps. Une situation insupportable pour l’être pensant qui cherche depuis l’apparition de ses premiers représentants à percer les arcanes de la mort et à lui imaginer une suite. Les religions sont, pour une grande part, probablement nées pour tenter d'éclairer ce mystère. La vie ; ses origines ; sa stupéfiante diversité ; son corollaire qu’est la conscience sont-ils les fruits d’un dessein ou d’une intelligence qui nous dépasse ? Le divin, mais aussi la raison proposent des réponses à ces énigmes qui, jusqu’à preuve établie, demeurent au stade des hypothèses. Autant de sujets sensibles que l’auteur aborde avec une fausse naïveté et un rien d’humour bienvenu sur un terrain aussi délicat.
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Ce magnifique cadeau qu’est l’existence n’est pas donné, il n’est prêté que pour un temps. Une situation insupportable pour l’être pensant qui cherche depuis l’apparition de ses premiers représentants à percer les arcanes de la mort et à lui imaginer une suite. Les religions sont, pour une grande part, probablement nées pour tenter d'éclairer ce mystère. La vie ; ses origines ; sa stupéfiante diversité ; son corollaire qu’est la conscience sont-ils les fruits d’un dessein ou d’une intelligence qui nous dépasse ? Le divin, mais aussi la raison proposent des réponses à ces énigmes qui, jusqu’à preuve établie, demeurent au stade des hypothèses. Autant de sujets sensibles que l’auteur aborde avec une fausse naïveté et un rien d’humour bienvenu sur un terrain aussi délicat.
Si l’on voulait accorder quelque crédit à la mythologie grecque, on pourrait penser que l’ombre de Gaïa plane sur l’époque que nous traversons. La déesse de la Terre serait courroucée qu’elle ne s’y prendrait pas autrement.
Il y a suffisamment d'éléments solides dans le dossier OVNI pour ne pas laisser le moindre doute sur le fait qu'un phénomène intelligent se manifeste dans notre environnement, et ce, depuis longtemps, même si ses exhibitions sont incompatibles avec la logique et les dogmes scientifiques humains.
Dans presque tous les pays démocratiques, on assiste actuellement à une multiplication quasi silencieuse du nombre des monnaies locales, en complémentarité avec l’Euro, la Livre Sterling ou le Yen. Si, sur un moteur de recherche, vous faites : « 1001 monnaies. Monnaies locales », vous aurez un bilan en forme de match en date de mai 2011 pour le nombre de monnaies locales créées à ce moment en Allemagne et en France ; voici le score : Allemagne : 65, France : 12 ! Si c’était au basket, ce serait une sacrée raclée ! Ce petit livre voudrait contribuer à ce que la France rattrape son retard en ce domaine clef.
Depuis Pythagore (et sa formule célèbre « Les Nombres gouvernent le monde »), depuis Platon et Plotin, la méditation sur les Nombres fait partie des commencements de la philosophie. Ici, cette méditation sur les Nombres, entendus comme fréquences sonores, est reliée, à la manière de Schopenhauer, à une réflexion sur les fondements même du Réel.
Cet ouvrage survole 10 000 ans d’histoire de cette terre que l’on nomme selon ses croyances Terre Promise ou Terre Sainte. Il veut montrer que les luttes sanglantes existent depuis la nuit des temps et que, préhistoire mise à part, la Palestine a changé 13 fois de carte d’identité.
Certes le monde n’est pas simple. Mais il y a des limites à l’incohérence. Pourquoi l’homo sapiens ne cesse-t-il de saccager son environnement où des milliards d’autres êtres vivants ne lui ont rien demandé ? Et cet imbécile s’en prend maintenant à lui-même. Après les souris et les porcs, il veut s’« améliorer » grâce à sa dernière manie, la cybergénétique. Encore un cataclysme de plus en perspective. Le développement extravagant de la « science sans conscience » et l’expansion démographique incontrôlable semblent, inéluctablement, mener l’humanité vers sa fin. Le grotesque de cette situation, défiant même l’imagination, est un véritable enchantement. Il transforme le dégoût en dérision : c’est le rire du diable.
Il y a 500 ans, à l’automne 1513, Machiavel entreprenait la rédaction de son ouvrage le plus célèbre, Le Prince, encore édité de nos jours. Replaçant cet « opuscule » dans l’ensemble de la production littéraire du secrétaire florentin, l’auteur reconstitue un puzzle qui révèle, loin de son image traditionnelle, une œuvre militante au service de la République. Après avoir démasqué le « machiavélisme » des détracteurs du penseur italien, l’auteur nous présente la modernité de ce dernier, et souline les enseignements qui peuvent aujourd’hui encore, trouver un écho dans nos démocraties en crise.
Rien n’est plus agréable que d’écrire un ouvrage avec ses souvenirs. En ajoutant les mots les uns après les autres, ces mots que nous utilisons à longueur de journée, je les appelle les mots passants. Tous ces mots font partie de notre vie. Ils risquent parfois de faire mal, la vérité est-elle toujours bonne à dire ? Mais celui qui a un message à transmettre, c’est dans la pierre qu’il doit le graver car les mots s’envolent et seuls les écrits restent. Certains poètes ont mis leurs vers en chansons, Trenet, Brassens, Brel, Ferré, Gainsbourg, Aznavour et c’est heureux, leurs chansons courent encore dans les rues...
L’archet… c’est une portion de temps, une portion d’espace, une portion d’esprit. L’archet est le segment visible d’une musique qui se poursuit vers l’infini. Il pourrait s’apparenter à une règle, que je prends comme outil pour tracer la portée… ces cinq lignes qui n’ont de limites que celles de la page qui les retient. En réalité, comme les notes que l’on y dépose, ces cinq lignes se prolongent beaucoup plus loin. Car la musique ne s’arrête ni au bout d’une ligne, ni au bout des crins de l’archet qui les fait naître.
Véronique Mas, pilote de ligne, philosophe, poète et musicienne, garde les pieds sur le sol de sa Provence natale et l’esprit résolument tourné vers le ciel.
Dans la troisième de ses Méditations métaphysiques, Descartes, à partir de la présence, en notre esprit fini et imparfait, de l’idée d’un être Infini et Parfait, soutenait que cet être Infini et Parfait est obligatoirement la cause, en nous, de la présence de cette idée du Parfait. Malebranche a repris cela en disant que « la preuve de l’existence de Dieu la plus belle, la plus relevée, la plus solide…, c’est l’idée que nous avons de l’infini ». Cette remontée argumentée depuis le fini vers l’Infini, Jérémie Bocchi s’y essaie à son tour dans ce dialogue entre un promeneur qui se dit athée et un berger ami des philosophes.
Démocrite, dont le visage ci-contre a été imaginé par Rubens d’après des documents antiques, meurt en octobre de l’an 370 avant notre ère, à l’âge de 103 ans. Lorsque, à l’Académie, on apprend la mort du philosophe, loin de vouloir le célébrer, Platon s’emporte contre la doctrine de Démocrite. Il veut même faire acheter tous les exemplaires disponibles de ses cinquante-deux livres et les faire détruire. Les pythagoriciens Amycias et Clinias l’en dissuaderont. Vingt siècles plus tard, la science européenne rendra hommage avec admiration aux géniales anticipations de la théorie des atomes de Démocrite.