Il y a 500 ans, à l’automne 1513, Machiavel entreprenait la rédaction de son ouvrage le plus célèbre, Le Prince, encore édité de nos jours. Replaçant cet « opuscule » dans l’ensemble de la production littéraire du secrétaire florentin, l’auteur reconstitue un puzzle qui révèle, loin de son image traditionnelle, une œuvre militante au service de la République. Après avoir démasqué le « machiavélisme » des détracteurs du penseur italien, l’auteur nous présente la modernité de ce dernier, et souline les enseignements qui peuvent aujourd’hui encore, trouver un écho dans nos démocraties en crise.
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Il y a 500 ans, à l’automne 1513, Machiavel entreprenait la rédaction de son ouvrage le plus célèbre, Le Prince, encore édité de nos jours. Replaçant cet « opuscule » dans l’ensemble de la production littéraire du secrétaire florentin, l’auteur reconstitue un puzzle qui révèle, loin de son image traditionnelle, une œuvre militante au service de la République. Après avoir démasqué le « machiavélisme » des détracteurs du penseur italien, l’auteur nous présente la modernité de ce dernier, et souline les enseignements qui peuvent aujourd’hui encore, trouver un écho dans nos démocraties en crise.
À Wattrelos, dans la châtellenie de Lille, les copés in deux (les Wattrelosiens) célèbrent Berlouffes. Aux Amis, bistrot de la place, le Zot, un étrange bonhomme, raconte ce village du comté de Flandre lié à l’abbaye de St Bavon de Gand. Les comtes de Flandre tiennent alors tête à leurs suzerains, les rois de France. Tel Ferrand de Portugal, l’un des Géants de la ville ! Autrefois Aux Amis s’appelait Au Cheval volant. Tel celui d’Adenet le Roi (Cléomadès, 1280), ménestrel du comte Gui de Dampierre qui impose le Lion sur ses armoiries. Telle cette maison d’édition du Cheval-Volant, point de chute à Paris des Réformés. Avec l’émergence de l’imprimerie, les satires d’Érasme, les thèses de Luther (1517) et la doctrine de Calvin se répandent dans une population lasse du système.
Dans ce petit essai, sorte de zoologie fantastique, les auteurs tentent de rapprocher les œuvres de deux personnages du XIXème siècle : l’un, d’origine portugaise, exprime son amour des bêtes dans 4 ouvrages d’allure scientifique mais quelque peu délirante. L’autre était un jeune poète, exprimant au contraire toute son agressivité contre l’univers animal : Isidore Ducasse - dit Lautréamont.
Rien ne vaut la vie, pas même son sacrifice sur l'autel de ce qu'on croit être sa dignité, ni la consumer à en améliorer le confort. L'homme ne prend la mesure de ces vanités qu'au crépuscule naturel de l'existence et la conscience d'être la seule créature terrestre à se savoir en sursis, le temps de réinventer le réel, met à mal sa résignation à se considérer comme un banal agencement de particules. Dès lors, seule la foi religieuse ou profane en un principe d'éternité peut apaiser chez lui ce tourment à nul autre pareil, un transport auquel il s'abandonne volontiers, lorsqu'il croit toucher du doigt ou de la raison la manifestation, même ténue, de ce principe... ou lorsque son sablier à la côte d'alerte le presse de sonder l'indicible.
Dans presque tous les pays démocratiques, on assiste actuellement à une multiplication quasi silencieuse du nombre des monnaies locales, en complémentarité avec l’Euro, la Livre Sterling ou le Yen. Si, sur un moteur de recherche, vous faites : « 1001 monnaies. Monnaies locales », vous aurez un bilan en forme de match en date de mai 2011 pour le nombre de monnaies locales créées à ce moment en Allemagne et en France ; voici le score : Allemagne : 65, France : 12 ! Si c’était au basket, ce serait une sacrée raclée ! Ce petit livre voudrait contribuer à ce que la France rattrape son retard en ce domaine clef.
Emmanuel Levinas a joué un grand rôle au début du chemin philosophique de Sartre en lui faisant découvrir en 1930 (Sartre a 25 ans) les pensées de Husserl et de Heidegger. À la fin de la vie de Sartre, Levinas intervient à nouveau de façon décisive en influençant profondément Benny Lévy, l’ancien « Commandant Victor », chef de la Gauche Prolétarienne, ami de Sartre, et en train d’approfondir, sous la direction de Levinas, … le Talmud et la spiritualité hébraïque. Scandale alors pour beaucoup de « sartriens », y compris Simone de Beauvoir : l’ancien philosophe de l’athéisme parle désormais avec le plus grand respect de la Torah et des conceptions de la Tradition juive sur les existences successives d’un être humain …
De quoi cette comédie un peu loufoque se moque-t-elle ? Elle fait la satire d’un usage caricatural de la dialectique marxiste et du schéma de Hegel « Thèse, Antithèse, Synthèse » ; cet usage caricatural avait lieu dans l’ex URSS, et dans tous les pays et les partis où l’on glorifiait le stalinisme.
Sur l’infinitude d’un temps où s’allient la sagesse du passé et l’allant du futur, la « Passion » paraît être chantée tout au long des chapitres. Loin d’être une cause d’asservissement comme le considéraient les stoïciens, elle devient le moteur d’une force irremplaçable : source d’inspiration pour l’artiste, de motivation pour le chercheur, énergie du travail, outil de l’édification, la passion est pour l’Homme cette flamme qui transforme le rêve en une volonté inlassable capable de changer le cours de l’histoire, le sens de l’avenir.
Avec une philosophie où se mêlent poésie et spiritualité, cet ouvrage s’attache à éclairer toujours le côté le plus gai de l’astre qu’est notre vie.
La Provence éternelle, celle des oliviers et des cigales qui ponctuent de leur chant les savoureuses répliques des personnages de Marcel Pagnol, existe toujours. Pour la découvrir, il suffit d'aller se promener sur un terrain de boules, dans l'ombre fraîche d'un platane centenaire et d'écouter quelques anciens parler. La chine, art ancien qui consiste à mettre au bon moment quelques gouttes d'huile (d'olive) sur le feu de la discussion, y règne toujours aux côtés de la galéjade, de la vantardise bon enfant et des réflexions frappées au coin du bon sens. Jean-Michel Barra nous décrit, au fil de portraits plein d'humour, ce petit monde qui perpétue chaque après-midi la gaîté et l'art du vivre ensemble.
« Pourquoi crier les mensonges et chuchoter les vérités ? » Cette citation de l’écrivain québécois Daniel Desbiens « colle » parfaitement avec : « À l’ombre de l’Histoire ». En effet, l’auteur, Pierre Lantier, grâce à un travail de recherches faramineux revient sur les faits historiques mondiaux sujets à controverse. Chaque événement relaté s’appuie sur des sources fiables, libre au lecteur par la suite de se forger une opinion ou de faire évoluer ses croyances initiales.
Dans la troisième de ses Méditations métaphysiques, Descartes, à partir de la présence, en notre esprit fini et imparfait, de l’idée d’un être Infini et Parfait, soutenait que cet être Infini et Parfait est obligatoirement la cause, en nous, de la présence de cette idée du Parfait. Malebranche a repris cela en disant que « la preuve de l’existence de Dieu la plus belle, la plus relevée, la plus solide…, c’est l’idée que nous avons de l’infini ». Cette remontée argumentée depuis le fini vers l’Infini, Jérémie Bocchi s’y essaie à son tour dans ce dialogue entre un promeneur qui se dit athée et un berger ami des philosophes.