Il y a 500 ans, à l’automne 1513, Machiavel entreprenait la rédaction de son ouvrage le plus célèbre, Le Prince, encore édité de nos jours. Replaçant cet « opuscule » dans l’ensemble de la production littéraire du secrétaire florentin, l’auteur reconstitue un puzzle qui révèle, loin de son image traditionnelle, une œuvre militante au service de la République. Après avoir démasqué le « machiavélisme » des détracteurs du penseur italien, l’auteur nous présente la modernité de ce dernier, et souline les enseignements qui peuvent aujourd’hui encore, trouver un écho dans nos démocraties en crise.
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Il y a 500 ans, à l’automne 1513, Machiavel entreprenait la rédaction de son ouvrage le plus célèbre, Le Prince, encore édité de nos jours. Replaçant cet « opuscule » dans l’ensemble de la production littéraire du secrétaire florentin, l’auteur reconstitue un puzzle qui révèle, loin de son image traditionnelle, une œuvre militante au service de la République. Après avoir démasqué le « machiavélisme » des détracteurs du penseur italien, l’auteur nous présente la modernité de ce dernier, et souline les enseignements qui peuvent aujourd’hui encore, trouver un écho dans nos démocraties en crise.
Pythagore et ses disciples ont gouverné la ville de Crotone, en Italie du sud il y a plus de 2500 ans, puis une émeute les a chassés du pouvoir, faisant quarante morts parmi eux. La conception du monde de Pythagore est abordée ici à partir de plusieurs scènes de sa vie, et on découvrira aussi, en chemin, quatre existences antérieures dont Pythagore enseignait à ses proches disciples qu’elles avaient été les siennes.
Dans ce deuxième ouvrage, l'auteur nous invite à découvrir son guide pratique « antivol ». Fort de 25 ans d'expérience dans la police, il met à notre disposition une véritable mine d'informations, de conseils et d'astuces simples, qui permettront au plus grand nombre de se protéger efficacement à l'avenir.
Cet antivol de papier, parsemé de traits d'humour, deviendra vite incontournable dans un domaine où nous avons tous besoin d'être rassurés. En l'adoptant, le lecteur fera un grand pas vers la tranquillité et quittera son carcan de victime potentielle en devenant le garant de sa propre sécurité. Ainsi, un mot d'ordre nous rassemblera désormais :
Après La Mémoire de Pythagore, la Collection La Méditerranée des philosophes se poursuit avec des scènes de la vie de sept Présocratiques : Anaximandre et Anaximène de Milet, Xénophane de Colophon, Parménide et Zénon d’Élée, Héraclite d’Éphèse et Empédocle d’Agrigente. L’ouvrage débute aux environs de l’an 580 avant notre Ère et se termine aux alentours de l’an 435, quelques années avant la naissance de Platon. Anaximandre était très populaire à Sparte parce qu’il y avait réalisé un cadran solaire pour l’Agora de la ville ; en astronomie, il étudia « le cercle des éclipses », ce que nous nommons « l’écliptique ».
Dans presque tous les pays démocratiques, on assiste actuellement à une multiplication quasi silencieuse du nombre des monnaies locales, en complémentarité avec l’Euro, la Livre Sterling ou le Yen. Si, sur un moteur de recherche, vous faites : « 1001 monnaies. Monnaies locales », vous aurez un bilan en forme de match en date de mai 2011 pour le nombre de monnaies locales créées à ce moment en Allemagne et en France ; voici le score : Allemagne : 65, France : 12 ! Si c’était au basket, ce serait une sacrée raclée ! Ce petit livre voudrait contribuer à ce que la France rattrape son retard en ce domaine clef.
Rien n’est plus agréable que d’écrire un ouvrage avec ses souvenirs. En ajoutant les mots les uns après les autres, ces mots que nous utilisons à longueur de journée, je les appelle les mots passants. Tous ces mots font partie de notre vie. Ils risquent parfois de faire mal, la vérité est-elle toujours bonne à dire ? Mais celui qui a un message à transmettre, c’est dans la pierre qu’il doit le graver car les mots s’envolent et seuls les écrits restent. Certains poètes ont mis leurs vers en chansons, Trenet, Brassens, Brel, Ferré, Gainsbourg, Aznavour et c’est heureux, leurs chansons courent encore dans les rues...
« Pourquoi crier les mensonges et chuchoter les vérités ? » Cette citation de l’écrivain québécois Daniel Desbiens « colle » parfaitement avec : « À l’ombre de l’Histoire ». En effet, l’auteur, Pierre Lantier, grâce à un travail de recherches faramineux revient sur les faits historiques mondiaux sujets à controverse. Chaque événement relaté s’appuie sur des sources fiables, libre au lecteur par la suite de se forger une opinion ou de faire évoluer ses croyances initiales.
Certes le monde n’est pas simple. Mais il y a des limites à l’incohérence. Pourquoi l’homo sapiens ne cesse-t-il de saccager son environnement où des milliards d’autres êtres vivants ne lui ont rien demandé ? Et cet imbécile s’en prend maintenant à lui-même. Après les souris et les porcs, il veut s’« améliorer » grâce à sa dernière manie, la cybergénétique. Encore un cataclysme de plus en perspective. Le développement extravagant de la « science sans conscience » et l’expansion démographique incontrôlable semblent, inéluctablement, mener l’humanité vers sa fin. Le grotesque de cette situation, défiant même l’imagination, est un véritable enchantement. Il transforme le dégoût en dérision : c’est le rire du diable.
Rien ne vaut la vie, pas même son sacrifice sur l'autel de ce qu'on croit être sa dignité, ni la consumer à en améliorer le confort. L'homme ne prend la mesure de ces vanités qu'au crépuscule naturel de l'existence et la conscience d'être la seule créature terrestre à se savoir en sursis, le temps de réinventer le réel, met à mal sa résignation à se considérer comme un banal agencement de particules. Dès lors, seule la foi religieuse ou profane en un principe d'éternité peut apaiser chez lui ce tourment à nul autre pareil, un transport auquel il s'abandonne volontiers, lorsqu'il croit toucher du doigt ou de la raison la manifestation, même ténue, de ce principe... ou lorsque son sablier à la côte d'alerte le presse de sonder l'indicible.
Après Un Tombeau pour Jean-Paul Sartre paru en janvier 2015 et Scènes de la vie de Spinoza, parut en mai 2015, voici, un nouvel ouvrage dans la Collection « Histoire des Philosophes par le théâtre » : RENÉ DESCARTES, Tribulations d’un cavalier français Le lecteur découvrira les relations amicales entre Descartes et la Princesse Élisabeth de Bohême, les relations orageuses entre Descartes et le mathématicien Roberval ; il assistera, à Paris, en 1647, à un entretien plein d’estime entre Descartes et Pascal, puis à une rencontre, sur fond de désaccord philosophique profond, entre Descartes et Hobbes.
« Il est des êtres qui contemplent le ciel comme s’ils faisaient une promesse continuelle et inviolable, imperméable à toutes les monstruosités humaines, celle de poursuivre le chemin vers plus d’humanité et d’amour, ne baissant jamais les bras, bien que parfois se sentant si lourds d’objectivité et de clairvoyance sur les affres planétaires des mondes mutants et tous les effondrements de l’âme humaine ou les tentatives d’anéantissement. »
Il y a 500 ans, à l’automne 1513, Machiavel entreprenait la rédaction de son ouvrage le plus célèbre, Le Prince, encore édité de nos jours. Replaçant cet « opuscule » dans l’ensemble de la production littéraire du secrétaire florentin, l’auteur reconstitue un puzzle qui révèle, loin de son image traditionnelle, une œuvre militante au service de la République. Après avoir démasqué le « machiavélisme » des détracteurs du penseur italien, l’auteur nous présente la modernité de ce dernier, et souline les enseignements qui peuvent aujourd’hui encore, trouver un écho dans nos démocraties en crise.