Dans cet essai sur le thème de l’avortement, l’auteur s’appuie, dans un premier temps, sur une expérience passionnelle douloureuse et sociétale pour exprimer un certain nombre de remarques. Elle soulève un problème très important et mal cerné en 2015, qu’elle aborde en tant que pharmacienne d’officine : l’utilisation de la pilule dite « du lendemain » (contraceptif d’urgence) comme contraceptif régulier, avec tous les dangers auxquels s’exposent les jeunes filles mal informées sur la contraception.
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De nos plus lointaines origines jusqu’à un avenir plus rassurant. Tel pourrait être le parcours de ce spermatozoïde dont le docteur Jean-Pierre Simoni nous livre ici l’atypique autobiographie. Le lecteur est ainsi convié à un périple touristique à l’intérieur de cette cellule de cinq millièmes de millimètre sans laquelle personne n’existerait… Un sacré paradoxe au moment où la préservation de l’avenir de l’humanité est en jeu compte tenu de la pandémie liée à la covid-19. En effet, les recherches généalogiques en paternité par l’étude des ADN, la fertilité, les anomalies génétiques transmissibles, l’apparition des PMA et GPA, dépendent de la survivance des spermatozoïdes. C’est ainsi qu’à chaque paragraphe, l’infiniment petit rayonne immensément. Un ouvrage illustré et documenté pour une compréhension facilitée. D’ailleurs les références scientifiques qui jalonnent ce livre constituent autant de précisions que de mises en garde. Le message subliminal issu de ces 140 pages étant de ne pas oublier d’où l’on vient.
Si l’on voulait accorder quelque crédit à la mythologie grecque, on pourrait penser que l’ombre de Gaïa plane sur l’époque que nous traversons. La déesse de la Terre serait courroucée qu’elle ne s’y prendrait pas autrement.
Après La Mémoire de Pythagore, la Collection La Méditerranée des philosophes se poursuit avec des scènes de la vie de sept Présocratiques : Anaximandre et Anaximène de Milet, Xénophane de Colophon, Parménide et Zénon d’Élée, Héraclite d’Éphèse et Empédocle d’Agrigente. L’ouvrage débute aux environs de l’an 580 avant notre Ère et se termine aux alentours de l’an 435, quelques années avant la naissance de Platon. Anaximandre était très populaire à Sparte parce qu’il y avait réalisé un cadran solaire pour l’Agora de la ville ; en astronomie, il étudia « le cercle des éclipses », ce que nous nommons « l’écliptique ».
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
Emmanuel Levinas a joué un grand rôle au début du chemin philosophique de Sartre en lui faisant découvrir en 1930 (Sartre a 25 ans) les pensées de Husserl et de Heidegger. À la fin de la vie de Sartre, Levinas intervient à nouveau de façon décisive en influençant profondément Benny Lévy, l’ancien « Commandant Victor », chef de la Gauche Prolétarienne, ami de Sartre, et en train d’approfondir, sous la direction de Levinas, … le Talmud et la spiritualité hébraïque. Scandale alors pour beaucoup de « sartriens », y compris Simone de Beauvoir : l’ancien philosophe de l’athéisme parle désormais avec le plus grand respect de la Torah et des conceptions de la Tradition juive sur les existences successives d’un être humain …
« C’était mieux avant »… Qui n’a pas entendu ou prononcé cette phrase devenue symptomatique. Symbolique même d’une nostalgie galopante, d’un nivellement vers le bas. Avec cet ouvrage : « Avant l’on disait bonjour », l’auteur Jean-Michel Barra va plus loin. L’intéressé évoque point par point ce passé pas si lointain que nous avons tous connu de près ou de loin. Ce temps où l’éducation était tout autre, où les rapports humains étaient sincères, où les valeurs du travail étaient respectées. Où le mot confiance supplantait le mot méfiance. Une époque bénie tout en simplicité. Pas celle des réseaux sociaux ou de la télé réalité. 48 pages vivifiantes qui en filigrane nous obligent à nous interroger. Sur nous-mêmes. Sur le monde qui nous entoure. Comment en sommes-nous arrivés là ?
« Il est des êtres qui contemplent le ciel comme s’ils faisaient une promesse continuelle et inviolable, imperméable à toutes les monstruosités humaines, celle de poursuivre le chemin vers plus d’humanité et d’amour, ne baissant jamais les bras, bien que parfois se sentant si lourds d’objectivité et de clairvoyance sur les affres planétaires des mondes mutants et tous les effondrements de l’âme humaine ou les tentatives d’anéantissement. »
Cet ouvrage survole 10 000 ans d’histoire de cette terre que l’on nomme selon ses croyances Terre Promise ou Terre Sainte. Il veut montrer que les luttes sanglantes existent depuis la nuit des temps et que, préhistoire mise à part, la Palestine a changé 13 fois de carte d’identité.
Depuis Pythagore (et sa formule célèbre « Les Nombres gouvernent le monde »), depuis Platon et Plotin, la méditation sur les Nombres fait partie des commencements de la philosophie. Ici, cette méditation sur les Nombres, entendus comme fréquences sonores, est reliée, à la manière de Schopenhauer, à une réflexion sur les fondements même du Réel.
Rien ne vaut la vie, pas même son sacrifice sur l'autel de ce qu'on croit être sa dignité, ni la consumer à en améliorer le confort. L'homme ne prend la mesure de ces vanités qu'au crépuscule naturel de l'existence et la conscience d'être la seule créature terrestre à se savoir en sursis, le temps de réinventer le réel, met à mal sa résignation à se considérer comme un banal agencement de particules. Dès lors, seule la foi religieuse ou profane en un principe d'éternité peut apaiser chez lui ce tourment à nul autre pareil, un transport auquel il s'abandonne volontiers, lorsqu'il croit toucher du doigt ou de la raison la manifestation, même ténue, de ce principe... ou lorsque son sablier à la côte d'alerte le presse de sonder l'indicible.
Au terme de plus de deux décennies d’immobilisme et de faux semblants, la France est devenue l’homme malade d’une Europe elle-même affaiblie par le Brexit et la montée des populismes. Partout dans le monde, les fractures ouvertes dans la société apparaissent chaque jour plus visibles entre ceux qui veulent construire des murs et ceux qui militent au contraire pour l’ouverture.
Ce magnifique cadeau qu’est l’existence n’est pas donné, il n’est prêté que pour un temps. Une situation insupportable pour l’être pensant qui cherche depuis l’apparition de ses premiers représentants à percer les arcanes de la mort et à lui imaginer une suite. Les religions sont, pour une grande part, probablement nées pour tenter d'éclairer ce mystère. La vie ; ses origines ; sa stupéfiante diversité ; son corollaire qu’est la conscience sont-ils les fruits d’un dessein ou d’une intelligence qui nous dépasse ? Le divin, mais aussi la raison proposent des réponses à ces énigmes qui, jusqu’à preuve établie, demeurent au stade des hypothèses. Autant de sujets sensibles que l’auteur aborde avec une fausse naïveté et un rien d’humour bienvenu sur un terrain aussi délicat.
Sur l’infinitude d’un temps où s’allient la sagesse du passé et l’allant du futur, la « Passion » paraît être chantée tout au long des chapitres. Loin d’être une cause d’asservissement comme le considéraient les stoïciens, elle devient le moteur d’une force irremplaçable : source d’inspiration pour l’artiste, de motivation pour le chercheur, énergie du travail, outil de l’édification, la passion est pour l’Homme cette flamme qui transforme le rêve en une volonté inlassable capable de changer le cours de l’histoire, le sens de l’avenir.
Avec une philosophie où se mêlent poésie et spiritualité, cet ouvrage s’attache à éclairer toujours le côté le plus gai de l’astre qu’est notre vie.
Dans cet essai sur le thème de l’avortement, l’auteur s’appuie, dans un premier temps, sur une expérience passionnelle douloureuse et sociétale pour exprimer un certain nombre de remarques. Elle soulève un problème très important et mal cerné en 2015, qu’elle aborde en tant que pharmacienne d’officine : l’utilisation de la pilule dite « du lendemain » (contraceptif d’urgence) comme contraceptif régulier, avec tous les dangers auxquels s’exposent les jeunes filles mal informées sur la contraception.