Ai-je raison de vouloir vous raconter ma vie ? N’êtes-vous pas semblable aux autres hommes ? Egoïste… Cruel ? Aujourd’hui, où tout s’achève pour moi, il m’importe peu de découvrir quelqu’un prêt à m’écouter ou à me plaindre. Devant la mort, tout change de valeur, et la vie surtout dont on ne conserve que l’amertume. Les souvenirs défilent, rapides ; la mesure du temps est renversée ; tout devient court et s’atténue.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Ai-je raison de vouloir vous raconter ma vie ? N’êtes-vous pas semblable aux autres hommes ? Egoïste… Cruel ? Aujourd’hui, où tout s’achève pour moi, il m’importe peu de découvrir quelqu’un prêt à m’écouter ou à me plaindre. Devant la mort, tout change de valeur, et la vie surtout dont on ne conserve que l’amertume. Les souvenirs défilent, rapides ; la mesure du temps est renversée ; tout devient court et s’atténue.
Dans la langue chère au grand maître du félibrige, Frédéric Mistral, une sartan n'est qu'une superbe poêle destinée à cuisiner. Mais dans la vie de tous les jours, au siècle dernier, ce terme désignait aussi une jeune fille espiègle jouant avec les flammes de l'enfer ! Alors, prenez garde si vous la croisez...
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
Elliot ne peut résister à la tentation de se plonger dans son tout nouveau jeu de console. L’aventure dans « Le Royaume des Ténèbres » promet d’être très excitante… Mais lorsque l’adolescent se retrouve soudain piégé dans ce monde virtuel, toutes ses certitudes s’effondrent. Ses camarades de classe, Arthur et Pauline, ont eux aussi subi le même sort. Ils devront dès lors faire preuve de beaucoup de courage et d’abnégation pour tenter de survivre dans un lieu hostile des plus maléfiques. Car Mortifer, le Maître des Ténèbres, est un sorcier aux pouvoirs redoutables. Et il ne permet à quiconque de contester la légitimité de son trône. Les héros n’auront d’autre choix que de se plier aux règles diaboliques d’un jeu sans cesse en évolution.
A travers les yeux d’Espérance se dessine une Provence imaginaire, teintée d’exotisme, « une campagne idéale ». Dans cet univers où nul malheur ne semble pouvoir survenir, cette petite fille accompagnée par ses arrière-grands-parents qui l’ont élevée, saura-t-elle parcourir le chemin qui mène de l’enfance à la vérité ?
Deux de chute… Au bridge, cela signifie ne pas avoir rempli son contrat. L’inspecteur Geo doit remplir le sien face à une situation compliquée où les morts (pas ceux du bridge) ne montrent pas toutes leurs cartes. A lui de retrouver dans celles des vivants la clef qui le mènera à la résolution de son enquête.
Les écoliers d’Avressieux, vont vivre au pied du château de Montfleury, une aventure inattendue. Hugo, dont la famille est issue de la vieille noblesse, éprouve des difficultés à s’intégrer à la jeunesse de ce village. L’esprit de l’épouvantail Avricia et celui de l’armure du Chevalier de Mareste vont s’allier pour redonner à la Tolérance ses lettres de noblesse. Leur action permettra-t-elle à Hugo d’apprécier enfin l’amitié et la compagnie des autres enfants de son âge ? La réponse vous attend dans ce livre.
Je n’avais jamais imaginé qu’un jour me viendrait l’idée de vous raconter tout ce qui va suivre. Aussi, je vous demande de vous armer de patience puis d’indulgence car l’histoire que je vous propose n’est pas une vie de saint homme, vous le constaterez… Notamment pendant la 2e guerre mondiale. Cependant, vous n’y trouverez nulle trace de forfaiture ou de malhonnêteté : au soir de ma vie, j’en retire une extrême satisfaction.
Aimes-tu la neige ? As-tu déjà passé une nuit dans un igloo ? As-tu déjà traversé des forêts sur un traîneau tiré par des chiens ?
Alors, habille-toi chaudement et va rejoindre la bande à Nanouk. Iris, Kevin, Frédéric, Yann, Sylvie et leur oncle Maurice vont te faire vivre une folle course contre la montre. Tu vas découvrir l’hiver au Canada dans toute sa splendeur !
Bruno, dont le grand-père a été rapatrié du Maroc, vit dans les beaux quartiers. Chaïma vient de banlieue. Son grand-père s’est battu pour l’indépendance du Maroc. Rien : ni leur éducation, ni leurs traditions ne les destinent à se rencontrer. Pourtant, ils vont se retrouver face à face. Après s’être méfiés l’un de l’autre, ils vont se chercher et finalement s’aimer. Ils devront payer leur amour au prix fort. Sur fond de violence des banlieues, de racisme ou d’intolérance, Chaïma est avant tout l’histoire de deux jeunes qui décident, envers et contre tous, d’aller de l’avant, aussi loin que possible, ensemble. C’est aussi un témoignage réaliste sur notre époque en même temps qu’une idylle si pure et si belle qu’elle paraît démodée.
Juillet 1994, en quelques jours, plusieurs adolescentes disparaissent mystérieusement dans un rayon de trente kilomètres au cœur du vignoble champenois. Que leur est-il arrivé ?