Un avion dans lequel se trouve un grand nombre de savants disparaît mystérieusement peu après le décollage de Kuala Lumpur, en pleine nuit.

Deux de chute… Au bridge, cela signifie ne pas avoir rempli son contrat. L’inspecteur Geo doit remplir le sien face à une situation compliquée où les morts (pas ceux du bridge) ne montrent pas toutes leurs cartes. A lui de retrouver dans celles des vivants la clef qui le mènera à la résolution de son enquête.

Roman erra longtemps dans la rue qu’on lui avait indiquée puis, soudain il s’arrêta devant une maison, poussa la lourde porte de bois peinte en gris, grimpa quelques marches et s’arrêta sur un palier où il y avait trois portes. Il cogna à l’une d’entre elles qui s’ouvrit presque aussitôt.

Après Les Illusionnistes, Les Passeurs de Vie et Les Chemineaux de la Sauvegarde, l’auteur s’attache à une période oubliée, le Coup d’État du 2 décembre 1851

Abel Ventura traverse des moments difficiles. Il faut bien reconnaître qu’il est à l’origine d’un bon nombre d’entre eux. Ce quadra désabusé, railleur, menant une existence dissolue, s’efforce cependant de réussir sa reconversion dans l’édition et un journalisme de seconde zone.

À la suite d’un épisode mouvementé, il se voit dans l’obligation d’accepter un contrat que lui confie Camille, sa directrice de collection, pour laquelle il éprouve une attirance à peine dissimulée. Afin d’exécuter cette commande, il devra s’exiler loin de la capitale. Destination Collobrières. Cette mise au vert s’annonce longue et ennuyeuse. Mais les villages ensoleillés de Provence cachent souvent des secrets inavouables…

– Tais-toi le chien ! Pourquoi aboies-tu après l’océan, il n’y a que des mouettes ?

Marc Waro fit rentrer son chien dans la petite cabane de pêcheur, sous les filaos. La main légèrement tremblante, il se servit un verre de rhum et regarda son chien avec compassion.

– Le désir, mon chien, c’est ce qui tue l’être humain… Buvons à sa mort prochaine !

Au large, la course des frégates sud-africaines marquait l’océan d’un sillon blanc… Le capitaine Louis se déplaçait à grands pas dans les coursives. Posant le pied sur la première marche de l’échelle, il reçut un coup sur la tête ou du moins le pensa-t-il… Ses lèvres formulaient un juron, il ferma les yeux. À cet instant précis, une voix éclata dans son crâne.

– Je suis Yambo ! Prends le chemin du retour avant qu’il ne soit trop tard !

Foutaises ! C’est ce que vous diriez si on vous annonçait que les « démons » sont à l’affût et que les adorateurs du dieu Dagon font couler le sang pour hâter son retour du fond des océans. Foutaises ! C’est ce qu’aurait dit le commandant de police Chaval avant son enquête sur le triple meurtre de la rue de Gand à Lille.

Ils veulent faire échouer l’enquête, mais l’Anonyme d’Anvers va s’en mêler. À sa façon... Et ses investigations, en exhumant des vieilles affaires marseillaises liées aux mafias de la drogue et de la ferraille, vont faire remonter d’autres cadavres à la surface.

Que feriez-vous si brusquement vous réalisiez la fragilité de la vie ? Si le hasard ou la fatalité, qui sait, enrayait d’un grain de sable les rouages bien huilés de votre quotidien ?

Lire un extrait

« Après la mort on rejoint le Grand Tout Universel, vois-tu Rémi. Car tout est lié, les choses, les gens, dans le visible et dans l’invisible. Que l’on soit vivant ou que l’on soit mort. Nous sommes tous issus de la même graine cosmique, ne l’oublions pas. Tout finit toujours par se rejoindre, tôt ou tard. Seulement la plupart du temps nous n’y prêtons pas attention… » De la Provence des années soixante, à l’Iran des années cinquante, suivi d’un saut jusqu’à nos jours, c’est le fil de la vie de deux jeunes frères et d’un vieil homme, qui se déploie sous la plume de Laurent Ducourtioux.

Venise : la ville d’art par excellence ! Comment s’étonner que tant de richesses accumulées au cours des siècles, dans les palais de cette ville, puissent donne des idées… La découverte de faux tableaux, de parfaite facture, va susciter l’émoi dans es milieux aristocratiques et feutrés de la ville. Mais Venise c’est aussi les brumes humides de novembre, l’odeur entêtante de ses canaux endormis et de l’Acqua Alta. Qui est l’assassin qui sévit sur ses quais à la tombée de la nuit ? Qui donc se cache derrière un masque lors d’un bal costumé, version Casanova, donné dans un palais, pour mieux tuer ?

Loin de leur Japon natal à la suite du drame de Fukushima, Hideki et Lia ont choisi de s’exiler à Toulon où Kei, l’ancien élève d’Hideki, tient une galerie de peinture. Ils vont découvrir les mœurs à l’Occidentale, éloignées de la culture et de l’esprit japonais, les relations parfois complexes avec les Européens, semées d’embûches, faites souvent d’incompréhensions.

Abandonnée par sa mère, Lucie parviendra cependant à devenir une femme respectée et à fonder sa famille.