Loin de leur Japon natal à la suite du drame de Fukushima, Hideki et Lia ont choisi de s’exiler à Toulon où Kei, l’ancien élève d’Hideki, tient une galerie de peinture. Ils vont découvrir les mœurs à l’Occidentale, éloignées de la culture et de l’esprit japonais, les relations parfois complexes avec les Européens, semées d’embûches, faites souvent d’incompréhensions.
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Loin de leur Japon natal à la suite du drame de Fukushima, Hideki et Lia ont choisi de s’exiler à Toulon où Kei, l’ancien élève d’Hideki, tient une galerie de peinture. Ils vont découvrir les mœurs à l’Occidentale, éloignées de la culture et de l’esprit japonais, les relations parfois complexes avec les Européens, semées d’embûches, faites souvent d’incompréhensions. Mais, comme dans un jeu de miroir, ce sont les valeurs ancestrales attachées à l’âme japonaise, malgré certaines de leurs ambivalences, qui vont leur permettre de surmonter les difficultés. La défense de ces valeurs ira, pour leur fils Kado, jusqu’à ce que le sublime passe par le chemin de la tragédie, jusqu’au sacrifice élevé dans la grandeur et la beauté de la noble tradition des samouraïs.
Cet ouvrage parachève plusieurs années de travail sur une ville que l’auteur connaît bien. Il nous fait sortir des sentiers battus avec certains épisodes de la vie de la Cité pas toujours abordés dans d’autres ouvrages ou, parfois, insuffisamment traités, rectifiant au passage des erreurs ou des idées reçues.
Ce petit personnage très attachant, fille aînée de Tatiana, vous séduira par sa spontanéité, sa gentillesse, son intelligence hors du commun. Effrontée, lucide, elle n’en est pas moins une peste qui fait l’unanimité autour d’elle. Sa fragilité, ses émotions à fleur de peau, sa maîtrise en toutes circonstances en font une adorable fillette qui ravira le cœur de Jeannot. Son défaut de langue, ses yeux de braise et ses pitreries vous feront passer de merveilleux moments de lecture. Junior est une surdouée heureuse de vivre… Mais, elle prendra une décision immédiate, radicale, qui va affoler son entourage, confrontée à une situation qu’elle n’accepte pas. L'émotion est au rendez-vous. Le rire aussi.
Ce petit personnage très attachant, fille aînée de Tatiana, vous séduira par sa spontanéité, sa gentillesse, son intelligence hors du commun. Effrontée, lucide, elle n’en est pas moins une peste qui fait l’unanimité autour d’elle. Sa fragilité, ses émotions à fleur de peau, sa maîtrise en toutes circonstances en font une adorable fillette qui ravira le cœur de Jeannot. Son défaut de langue, ses yeux de braise et ses pitreries vous feront passer de merveilleux moments de lecture. Junior est une surdouée heureuse de vivre… Mais, elle prendra une décision immédiate, radicale, qui va affoler son entourage, confrontée à une situation qu’elle n’accepte pas. L'émotion est au rendez-vous. Le rire aussi.
Pour notre plaisir, l’auteur nous fait partager sa passion et ses connaissances sur la capitale des Gaules. Il y réussit fort bien grâce à une écriture aisée, savante quand il le faut, mais jamais avec excès, parfois primesautière dans le meilleur sens du terme et toujours adaptée aux sujets traités. Ceux-ci se révèlent d’une grande variété : tranches d’Histoire ou anecdotes marquantes, portraits de hautes figures lyonnaises se dévouant au service de leurs semblables. Puisant aux meilleures sources historiques et archivistiques, en les confrontant au besoin, ce récit alerte, enrichi de notes et d’encadrés mettant certains faits en perspective de l’Histoire de France, nous fait découvrir des aspects inédits sur la Ville et sur quelques-uns de ses citoyens.
Paris, an de grâce 1167. Après avoir tué son oncle qui voulait abuser d'elle, Claire, orpheline, part en pèlerinage à Compostelle pour obtenir le pardon du Seigneur. Elle est accompagnée de Will, un déficient mental qu'elle a recueilli et à qui elle voue l'amour d'une mère.
Nous méconnaissons ce que la vie nous réserve et nous ignorons totalement jusqu’où nos forces internes pourraient nous mener. La destinée d’une vie paisible à tout le moins régulière peut basculer en un instant.
Nous n’ignorons pas que le plus doux individu est susceptible malgré lui d’en arriver à commettre l’irréparable.
Vous êtes-vous déjà interrogé : "Et si un événement fortuit venait chambouler le déroulement de mon existence, de quelle manière réagirais-je ? Comment y ferais-je face ?"
Aussi étonnamment que cela puisse paraître, cette histoire pourrait être celle de madame et monsieur Tout-le-monde.
Le commissaire Guillaume Lefuret est prêt à classer l’enquête sur le fœtus mort retrouvé aux portes de la maternité (voir Tome 1 : La naissance d’une étoile). Même si Elen ne l’est pas réellement, elle restera la fille des époux Leroy. Il est bien décidé à ne pas la leur enlever. Mais voilà qu’avant de refermer définitivement le dossier pour le ranger parmi les constats d’accidents de tracteurs, y jetant un dernier coup d’œil, il s’aperçoit que les données des analyses ont changé. L’ADN d’Elen révèle qu’elle est bien la fille de Morgane. Comment cela est-il possible ? Cette énigme lui laisse une impression de déjà-vu qui le met particulièrement mal à l’aise. Pour l’oublier, Guillaume se lance dans une nouvelle enquête : la disparition d’une jeune fille.
À la demande de ses quatre petits-fils, un grand-père se voit contraint de rechercher ce qui s'est passé dans son village pendant la Seconde Guerre mondiale. Ils découvrent ensemble l'invasion, la fuite devant les troupes allemandes, le chaos, la vie quotidienne durant l'occupation, la résistance, la collaboration, la libération, l'épuration…
Dans un monde où la perfection apparente permet au peuple de ne plus se poser de questions, on est si bien les yeux fermés… La pensée est établie et la réflexion n’existe plus. Seul Veratio, jeune orphelin souffrant de "questionnements", ouvre les yeux. Contre les certitudes de tous, il réfléchit, il émet des doutes.
Si je vous disais où cette histoire d’amour a pris naissance, vous seriez surpris. Elle est née sur la falaise de Bonifacio, au-dessus des vagues, dans le petit cimetière blanc qui couronne le rocher. Le lieu de repos est un dédale de ruelles où de petites chapelles funéraires se tiennent serrées les unes contre les autres ~ comme dans un village, les maisons ~ pour mieux faire face aux vents marins… C’est là, au détour d’une allée que la vision s’est offerte à mon regard. Oh ! Ce n’était pas grand-chose. Simplement un foulard bleu ~ bleu profond, couleur de mistral ~ noué à la poignée de la porte d’une de ces chapelles funéraires. Un simple bandana en fait. De là, a pris corps cette suite de textes en forme de correspondance rêvée. Le reste ? Le reste tient dans un cri.
C’est l’histoire de Marie qui erre, un matin d’hiver, au bord de la mer. C’est l’histoire de Marie, une femme d’aujourd’hui, ni encore jeune ni déjà vieille, qui ignore pourquoi elle a fui. C’est l’histoire de Marie, aux prises avec ses « moi » multiples : le timoré, l’ego dingo et l’horripilante petite voix. C’est l’histoire de Marie qui décide de dérouler le fil de son passé pour s’aimer au présent et pouvoir un jour s’inventer au futur. C’est l’histoire de Marie, ballottée entre la peur de déplaire et la nécessité d’être. C’est l’histoire de Marie, une femme d’aujourd’hui, un peu secrète et empêchée, qui oscille en déséquilibre sur le bord de sa vie. Au loin, un homme l’épie.
Et les larmes des femmes qui roulent sur des joues sans maquillage, sans fard ni couleurs. Aux lèvres orphelines de rouge Baiser et aux paupières baissées sur l’absence qui déjà les hante. Et les hommes aux visages burinés, les yeux rougis, indifférents à l’indécence de l’instant. Les yeux qui piquent, qui brûlent et qui pleurent. Et moi qui partage ce moment d’histoire inhumaine pour un peuple en errance vers le pays de nulle part. Exodus à l’envers des temps modernes. Pleurer à peine sorti de l’enfance. Pleurer à seize ans ! Perdre le cadre de ma vie sans emporter dans mes valises le divin tableau. Perdre mes amitiés avant d’avoir refermé les dernières pages du livre de l’adolescence. Et la mémoire assassinée dans une guerre perdue d’avance contre le sablier.
Comme chaque année, l’Amiral Massiani a réuni le conseil d’administration de la Fondation dans un domaine luxueux, sur la partie militaire d’une île de la côte d’azur. Rapidement, plusieurs décès se produisent sur la propriété.
Une série de cassettes découvertes au cours d’un déménagement permettent de se remémorer un défunt racontant son existence particulière lors de la dernière guerre mondiale.