Une babacool baroudeuse rasta, fumeuse, à la voix rauque, rencontre en salle d’embarquement à Roissy-CDG une rêveuse, mère de famille bobo, facilement exaltée mais les pieds sur terre… Premier récit de voyage autobiographique de l‘auteur. Première fois en Inde. Mars 2017. J’ai raté mon avion, j’ai raté mon groupe. Vais-je rentrer chez moi ? Un voyage extraordinaire, une aventure belle et émouvante comme vous en rêveriez, entre New Delhi et l’Himalaya avec deux amies venues me rejoindre, en bordure du Népal et du Cachemire.
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Une babacool baroudeuse rasta, fumeuse, à la voix rauque, rencontre en salle d’embarquement à Roissy-CDG une rêveuse, mère de famille bobo, facilement exaltée mais les pieds sur terre… Premier récit de voyage autobiographique de l‘auteur. Première fois en Inde. Mars 2017. J’ai raté mon avion, j’ai raté mon groupe. Vais-je rentrer chez moi ? Un voyage extraordinaire, une aventure belle et émouvante comme vous en rêveriez, entre New Delhi et l’Himalaya avec deux amies venues me rejoindre, en bordure du Népal et du Cachemire.
Paris, mai 1988. François Mitterrand est réélu. Au même moment, deux couples de touristes parisiens, qui ne se connaissent pas encore, partent se reposer en Andalousie. Des vacances de rêve sur la Costa del Sol ; un séjour au Palais de l’Alhambra, bijou de l’Art andalou, où surgit le fantôme de la favorite du dernier roi Nasride ; quatre voyageurs piégés dans la Sierra Névada. Quels sont ces bruits stridents qui déchirent la Sierra ? Pourquoi chaque printemps, disparaissent de jeunes touristes, lors de la pleine lune ? Dans ce somptueux décor, la Lune illumine les fleurs jaunes de la Sierra, mais le « Pacte de la Lune Noire » et les éléments surnaturels déchaînés vont se refermer sur les touristes français.
C'est alors que le mauvais génie décida que le mauvais sang accompagnerait chaque journée. Ma mère parlait toujours sous la protection de la sacro-sainte main de Fatma afin de prémunir les siens de malchance ou de fatalité. Il faut croire que cela ne suffisait pas. En ouvrant son magasin de la rue Bab Azoun, mon père nous faussa compagnie pour s'en aller errer au firmament des paradis célestes. Une crise cardiaque l'emporta avant qu'il ait pu dire adieu à son épouse, à son fils et à ses belles-sœurs.
Du Turin de 1522 au New York de 2007 en passant par Montréal, le Paris des années soixante et la Rome contemporaine, "Bryant Park" narre l'histoire d'un tableau et des personnages qui vont graviter autour de lui : un décorateur de Boston, une universitaire de Manhattan, un téméraire curé du Haut-Pays niçois, une très volontaire conservatrice du Louvre, la veuve un rien shakespearienne mais confite en dévotion d'un éminent mafieux, et des trafiquants d'art prêts à tout... Un roman policier ? Oui mais comme Bernard Oustrières aime à les trousser, fuyant toute vulgarité, plongeant au plus intime des êtres comme des villes et gardant aux acteurs leur part d'humanité sans jamais nuire au rythme haletant du récit.
Au crépuscule de son existence, Philippe n’a plus rien à perdre. Nabil, lui, a tout perdu, mais a la vie devant lui. Tout oppose les deux hommes, hormis la mécanique et surtout l’Algérie. Le premier est résolu à y retourner pour chasser les démons qui le hantent depuis la guerre. Le second y voit l’occasion d’enfin découvrir ses racines.
Ils sont trois couples octogénaires, amis depuis leur jeunesse ou leur adolescence. Ils vivent dans une sérénité heureuse, chacun chez soi mais très proches. Soudain un meurtre imprévisible, stupide… Dans le prétoire, une réflexion irresponsable du coupable aggravée par une attitude abjecte du Président du tribunal. Et tout va basculer et se conclure par un meurtre, prévisible… Mais la vie va reprendre son cours…
La mort de mon grand-père fut ressentie par toute la famille comme un cataclysme. Il était le pivot de cette famille d’immigrés italiens qui avait tant bien que mal réussi à s’intégrer sur le sol de France.
Tous les habitants du quartier étaient présents aux obsèques célébrées dans l’église voisine de la maison familiale, par un beau soleil d’hiver. Pendant la cérémonie, ma mère ne pleurait plus. Assise sur un banc de cette église dans laquelle elle avait vécu tant de bonheurs, elle revoyait son enfance heureuse avec sa sœur et son frère, sa communion solennelle, son mariage. Elle revoyait aussi sa mère telle qu’elle était avant de sombrer dans la dégradation de tout son corps, lâchée par son cerveau usé. À chaque image, son père lui apparaissait, souriant, fier.
Contraint par son mystérieux interlocuteur d’expliquer les évènements qui ont « fait basculer son existence », Guillaume Einaudi doit se mettre à table. Il voit défiler devant ses yeux le film de sa vie, dans un suspense qui tiendra le lecteur en haleine jusqu’au dernier coup de théâtre.
Deux voyageurs, à peine majeurs. Une ombre, parfois envahissante, un fil rouge inconscient… Il l’appelle « elle » sans autre précision. Pas de prénom, juste un pronom et de très brèves apparitions. Leur destination, l’Orient, l’est du monde, là où le soleil se lève. Istanbul est la première étape. La ville donne le la à un voyage initiatique sur les routes de Katmandou. En bus, en train, à pied. Le narrateur déroule son récit d’une traite, sans reprendre son souffle. Parfois on a peur, peur pour eux, peur de leur insouciance. On a envie de les retenir, de les prévenir. Souvent ils frôlent la correctionnelle, le drame. Elle ne dit rien. Pas un mot. Jusqu’à la fin.
Bruno, dont le grand-père a été rapatrié du Maroc, vit dans les beaux quartiers. Chaïma vient de banlieue. Son grand-père s’est battu pour l’indépendance du Maroc. Rien : ni leur éducation, ni leurs traditions ne les destinent à se rencontrer. Pourtant, ils vont se retrouver face à face. Après s’être méfiés l’un de l’autre, ils vont se chercher et finalement s’aimer. Ils devront payer leur amour au prix fort. Sur fond de violence des banlieues, de racisme ou d’intolérance, Chaïma est avant tout l’histoire de deux jeunes qui décident, envers et contre tous, d’aller de l’avant, aussi loin que possible, ensemble. C’est aussi un témoignage réaliste sur notre époque en même temps qu’une idylle si pure et si belle qu’elle paraît démodée.
Été 1912, toute la tribu Sénéchal se retrouve réunie à Saint-Cyr les Lecques, pour les grandes vacances. Anaïs, belle, effrontée, venant tout juste de fêter ses dix-huit ans, déborde d’énergie et de projets. Rires et jeux tapageurs animent la bande de cousins, quand soudain la vie d’Anaïs bascule, lorsqu’elle rencontre Jacques, aviateur et fiancé à sa cousine Sophie. Dès leur rencontre, l’attirance qu’éprouvent les deux jeunes gens l’un pour l’autre est si forte, que Anaïs se retrouve cruellement partagée entre l’amour pour son bien-aimé, et sa loyauté envers sa chère cousine ! Elle tente alors d’oublier Jacques, mais en aura-t-elle vraiment le courage ?
Fort de son premier succès dans « l'ange et la toile », revoici Fabien Not et ses visions prophétiques sur le monde de demain, projection 2032 ! Le titre évocateur, l'intrigue à rebondissements nous interpellent sur nos choix de vie actuels. L'homme continuera-t-il à dominer la machine ?...ou celle-ci le rendra-t-elle esclave, anonyme, numéro ou code consommateur ? Les descriptions au scalpel d'un mode de vie numérisé et virtualisé font frémir. Une humanité survivante mais désociabilisée qui semble se soumettre !.. Encore une fois l'auteur introduit un « grain de sable » dans le « meilleur des mondes » des temps modernes et une similitude non déguisée avec le 1984 d'Orwell. Qui vaincra de l'internet et ses marionnettes virtuelles ou de l'homme...homo librum ?
S’inspirant d’un fait divers qui défraya la chronique locale dans les années soixante-dix, Michel PARRA nous entraîne dans les arcanes d’une entreprise familiale. Une saga romanesque où se mêlent passion, amour et drame, au cœur même de la ville stéphanoise. Il nous plonge avec émotion et attachement, indignation et révolte dans les entrailles d’une enquête policière sur fond de violences conjugales.