Cette histoire romancée raconte l’exode de nombreux Russes blancs qui ont souffert pendant des décennies de la faim et des représailles. Face à un gouvernement impitoyable, ces apatrides ont essayé de refaire leur vie dans des pays qui les ont accueillis avec complaisance.
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Cette histoire romancée raconte l’exode de nombreux Russes blancs qui ont souffert pendant des décennies de la faim et des représailles. Face à un gouvernement impitoyable, ces apatrides ont essayé de refaire leur vie dans des pays qui les ont accueillis avec complaisance.
1961-1962, années fatidiques pour les pieds-noirs d’Oran ! Ils sont épouvantés par les exactions du FLN et cette guerre cruelle qui dure depuis si longtemps. Ils sont aussi pris en otages par l’OAS, dont l’emprise sur la ville se fait de plus en plus pesante. Et ils se demandent si les méthodes violentes utilisées par « l’armée secrète » ne vont pas les conduire à leur perte ?
C’est au cœur de cette ville effervescente, que débarque un jeune couple métropolitain, Anne et François. Ce dernier qui effectue un reliquat de service militaire, est affecté à la préfecture d’Oran. Tous deux ont des idées généreuses et ils vont tenter de se rendre utiles et de tracer leur chemin personnel au milieu de la folie générale.
Giufà est un personnage fictif qui apparaît dans les récits anciens de la tradition orale en Sicile. Qui a tué Giuseppe Fafa qu’on surnommait Giufà ? Dans ce village de Sicile près d’Agrigente, tout le monde se pose la question mais personne n’ose chercher la réponse. Seule La Nonna accompagnée de son petit-fils a décidé de mener l’enquête. Mais qui était réellement la victime ? Un fou du village, un bouffon du roi ou un être secret et énigmatique…
Chantal Losfeld, originaire du Nord de la France a commencé à écrire en faisant deux biographies sur les Sunlights, groupe mythique des années 70. Elle a toujours baigné dans les livres avec des parents libraires. Plus tard, son père devint l’éditeur des Surréalistes. Son huitième récit, qui relate la perspicacité d’un inspecteur de police pour trouver l’assassin de personnes innocentes, vient étayer une collection de petits romans variés et faciles à lire.
Ma vie, consacrée à une activité professionnelle débordante, s’éclaire d’une embellie soudaine : une rencontre, un sourire, peut-être des perspectives d’avenir… Très vite, l’éclaircie poussée par les vents de la discorde s’éloigne. Une naissance inattendue, le sourire d’un bébé innocent, annonceraient-ils le retour de l’espoir ? Mais la rupture gronde, le couple se casse. Janus intransigeant kidnappe mon enfant qui s’attache de plus en plus à moi. Une justice malentendante et malvoyante, prisonnière de ses multiples faiblesses et de ses préjugés, m’écarte de lui. L’amour paternel est fort et une lutte inégale s’engage contre cette justice frileuse qui m‘impose une attente infernale. Mon fils, 2 ans, grandira-t-il loin de moi ?
Michel Parra nous transporte une nouvelle fois sur les sentiers du roman initiatique. Une étude complexe et aboutie sur la régression humaine à travers le regard d’un chien. Ses personnages sont attachants, et nous ouvrent sur les lisières de l’impensable. Pourtant, la frontière est bien mince entre l’homme et l’animal… Un récit émouvant, porté par une intrigue policière aux accents humoristiques omniprésents.
« Le colporteur de Nîmes » est un roman dont le souffle romantique et parfois sulfureux accompagne le récit des aventures de nombreux personnages réels et imaginaires du XVIIIe siècle.
Joseph Raynal, 16 ans, vif, intelligent, créatif, désire s’échapper de la menuiserie paternelle et rêve de s’engager dans la marine royale nationale...
Berthe Randon, jeune et jolie veuve de 24 ans est herboriste à Nîmes. Sa démarche ondulante et son élégant visage troublent bien les hommes. Chargée d’assurer la formation de Joseph Raynal qui présente l’examen d’enrôlement, elle tombe follement amoureuse de son élève.
La marquise de Nîmes est un roman qui se déroule pendant la Révolution Française, la Terreur et les premières victoires napoléoniennes. C’est le récit des aventures passionnées, orageuses, romantiques et libertines de trois officiers, compagnons de gloire du général de La Fayette : Le marquis Yan de Kerguy, fidèle au roi Louis XVI et à Marie-Antoinette, succombe aux charmes de Berthe Randon, herboriste à Nîmes. Le couple vit heureux les dernières heures fastes de la Cour à Versailles, mais la Terreur leur sera fatale. Le marquis Charles Valfére de Lardier est un séduisant officier bonapartiste doté d’une intelligence rare qui lui permet de réussir avec panache les diverses missions que l’Empire lui confie. Son secret : une Amérindienne iroquoise...
Elle avait parcouru les lieux qu'ils avaient connus, la promenade au bord de mer, avec ses palmiers, les restaurants. Elle photographiait les couchers de soleil entre deux arbres, le mercure de l'eau, quand il y avait des nuages, le jardin exotique, les fleurs orangées des strelitzias, le banc où il s'asseyait, pour admirer le paysage marin, et puis elle avait comparé les photos, prises avec lui, les mêmes endroits. Mais là, il n’y avait nulle présence, juste le témoignage d'une absence.
Ai-je raison de vouloir vous raconter ma vie ? N’êtes-vous pas semblable aux autres hommes ? Egoïste… Cruel ? Aujourd’hui, où tout s’achève pour moi, il m’importe peu de découvrir quelqu’un prêt à m’écouter ou à me plaindre. Devant la mort, tout change de valeur, et la vie surtout dont on ne conserve que l’amertume. Les souvenirs défilent, rapides ; la mesure du temps est renversée ; tout devient court et s’atténue.
“ Cette affaire fit grand bruit dans toutes les chaumières valfleuraines, et servit enfin de catalyseur pour développer l’idée que tous les malheurs subis depuis quelque temps par de nombreuses familles n’étaient peut-être pas le fruit de la fatalité ni l’expression d’une vengeance céleste, mais bel et bien le fait d’une malveillance humaine entreprise pour des motifs des plus basses espèces, et certainement de celles qui ne sont peut-être pas toujours sonores, mais inévitablement trébuchantes, et quoi qu’on dise exhalant parfois une épouvantable odeur de pourriture ! “
Bernard William, de son vrai nom Bernard Mabille de Paoli Leoni, né en 1947 à Toulon, est comédien, chanteur lyrique, metteur en scène, pianiste, producteur de spectacles vivants… À ses multiples talents, s’ajoute aujourd’hui l’écriture d’un passionnant roman dans lequel le lecteur, pris dans la magie d’une intrigue dont il ne pourra pas se défaire avant d’en connaitre le fin mot, va se retrouver piégé d’une manière si fulgurante, qu’à la dernière page il ne résistera pas au besoin de revenir au début de cette incroyable histoire, afin d’en dérouler la pelote à la lumière de ce qui vient si subitement de le bluffer.
En réunissant les Palladions, Diane et Matthias espéraient fermer définitivement le dernier passage d’entre les mondes. Pour une raison inconnue, les Enfants-libres en ont décidé autrement. L’Aube rouge n’a pas empêché l’Obscurité de se libérer de sa toile de lumière. Resserrant son étau, avide d’envahir notre monde, elle prépare ses forces.