Laisser sa plume exprimer tout ce qui traverse l’esprit et bouscule l’âme, dévoile une amitié donnée ou reçue, un amour insoupçonné ou avoué. Ces ressentis tardifs ou nouveaux n’entravent aucun avenir du fait que ces lumières frissonnantes représentent, dans ce monde si difficile, l’expression d’une libération. Celle qui va permettre d’entrer avec bonheur ou désespoir, dans un virtuel secouant la réalité qui, quelquefois, a tant besoin d’évasion.
Pour quelle raison demander aux amis du Ruisseau de la ville d’Alger, de se souvenir, de leur passage de l’Algérie, à la France ? N’ont-ils pas essuyé suffisamment de larmes pour les solliciter à nouveau ?
Nous approchons des huit milliards d’êtres humains sur la planète Terre. Entre microcosme et macrocosme, se trouve l’Êtreté. Qui sommes-nous ? Que faisons-nous dans cet Univers méconnu ?
La solitude, confine un être dans une prison virtuelle, engendre un mutisme éloquent parce que les journées vont défiler sans qu’aucune visite fasse ouvrir la porte d’un appartement ou d’une maison. Les appels téléphoniques, le temps d’entendre :
― Oui, je vais bien remplacent-ils la chaleur humaine ?
Dans le premier témoignage du parcours emprunté depuis sa naissance, Élisa, a occulté certains passages D’autres souvenirs se manifestent, revendiquent une place, dans la narration, reliant le déjà-dit aux découvertes de la mémoire qui interroge, à nouveau, son passé.
Élisa prend conscience, dans les premières années de sa vie que la plénitude résulte toujours d’un libre arbitre dans les réponses exprimées selon des convictions et des analyses, propres à soi, pour le futur choix d’une vie.
La Vienne d’après-guerre vue par un jeune interne en psychiatrie débarquant de sa province niçoise. Parti à la recherche d’un mystérieux docteur, notre héros découvrira, à défaut d’un génie de la médecine, un autre monde. Cette parenthèse l’amènera à se remettre en question et ébranlera bien des certitudes.
Saint-Petersbourg, années 1900, un bel officier fait la connaissance de Tatiana au cours d'un de ces bals prestigieux qu'affectionne l'aristocratie. Un mariage s'ensuit, des enfants naissent, leur mère s'installe dans des garnisons aux frontières de l'Empire. Un climat insouciant berce l'enfance de Kolya Pankov. Le palais de glace miniature où il joue lors d'un hiver est-il la fin d'une époque ? Cette ambiance idyllique peu à peu se détériore. Une rupture se dessine alors que la guerre éclate et que les années terribles de la Révolution d'Octobre vont bouleverser la vie de tant de familles. Lors de l'exode, Kolya n'emportera pratiquement qu'un seul objet : un oreiller ! Bercera-t-il encore son enfance alors que les combats font rage ? Apaisera-t-il ses blessures, la faim, le froid tenace?
La duchesse de Ramatuelle, c’est le surnom que ses amis donnaient à Lucile, cette femme indépendante qui égayait les fêtes de leurs nuits d’été, au détour des années soixante.
Juin 1945 L’Ascanius, un bateau anglais, transport de troupes, pénètre dans le port de Marseille. Le navire accoste près du quai de la Joliette. À bord, un millier de rescapés des camps de déportation rejoignent leur pays d’origine. Parmi eux, Jean Perotti, un enfant de Marseille. Une jeune femme l’accompagne. Elle s’appelle Kotechka. Une Polonaise. Elle a recueilli Jean après son évasion de la citadelle de Lwow en Pologne. Ils s’aiment.
Albane est une jeune adolescente de 13 ans, curieuse et à l’esprit libertaire. Le jour où elle quitte sa ville natale, pour suivre sa mère mutée dans le midi, elle va entamer une nouvelle étape de vie.
La féerie de Saint Petersbourg ! La magie du Théâtre Mariinsky ! Un trou noir quantique pour voyager dans le temps ! La fabuleuse invention du physicien Serguei Malakov va bouleverser inéluctablement l’avenir de Nathacha « jeune ballerine russe ».
Rita, jeune artiste parisienne, voit sa vie s’effondrer quand elle perd soudain toute capacité à créer. Pour comprendre cette chute vertigineuse, elle entame un voyage en se laissant entraîner vers des lieux aussi différents que Jérusalem, Assise ou Brive-la-Gaillarde. Questionnements, résilience, culture, création artistique, religion, emprise familiale, amour inavouable. Autant de thèmes qui s’entremêlent dans ce roman au goût de voyage initiatique où le cocasse et le mystique se rencontrent. Il frôle volontiers la frontière du surnaturel tout comme celle de la transcendance de l’art.
Comme tous les samedis matins, dès neuf heures, la Grande Brasserie, elle fait peau neuve. Y sont tous là, les buveurs de kaouah dans le traditionnel verre à la turque, les commerçants du coin qui tapent un bain de jouvence auprès de l’amitié d’enfance, les joueurs de flippers qui secouent le billard comme un prunier et font Tilt à chaque partie, tout un monde bon enfant, habitué du lieu avant d’entreprendre leur journée.
Une nuit de pleine lune, Le concerto de Paganini prit vie en sortant du violon de Vanessa et pénétra tout le village de Moustiers, jusqu’à l’étoile… Un grand bouleversement s’annonçait qui toucherait Philidor le conseiller municipal, à cheval sur les traditions, et le reste des habitants du village, de Maryse la factrice à l’éthique si singulière, jusqu’à Titin le borgne, un peu simplet mais tellement humain ou presque… Du rire aux larmes le drame s’installa… jusqu’à cette issue si inattendue…
Chléo se réveilla en sursaut ! Encore ce cauchemar ! Depuis quand ne l’avait-elle plus fait ? Dix ans, peut-être ? Un peu moins ? Non, dix ans, sûr ! En fait, depuis que Norbert était entré dans sa vie. Comme si en l’épousant, il avait enfin mis un terme à ce passé qui la hantait depuis près de vingt ans. ... Machinalement, elle jeta un œil sur le réveil : cinq heures du matin ! Et la place à côté d’elle était vide. Norbert n’était pas rentré. Où est passé Norbert ? Pourquoi Clément Garant, comptable de l’entreprise de construction Desfontaines, s’est-il jeté du toit de son immeuble ? Suicide ou meurtre ? Pris au piège du troublant sourire et du charme magnétique de la douce Chléo, le très séduisant, mais ténébreux commissaire, Vincent Alguazil va devoir résoudre cette affaire.
Deux de chute… Au bridge, cela signifie ne pas avoir rempli son contrat. L’inspecteur Geo doit remplir le sien face à une situation compliquée où les morts (pas ceux du bridge) ne montrent pas toutes leurs cartes. A lui de retrouver dans celles des vivants la clef qui le mènera à la résolution de son enquête.
Laisser sa plume exprimer tout ce qui traverse l’esprit et bouscule l’âme, dévoile une amitié donnée ou reçue, un amour insoupçonné ou avoué.