SAINT TROPEZ - Histoires de clochers de Jean-Charles MEYER - François COPPOLA
Référence: L1831
16,00 €
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Après “Saint Tropez, histoires des gens d'ici”, Jean-Charles MEYER nous livre dans cet ouvrage une suite de ces histoires tropéziennes. Pour cela il s'est adjoint la mémoire du village, François COPPOLA. Ils ont travaillé de concert, à quatre mains, afin de poursuivre en un nouveau tome, cette saga des tropéziens et de leurs amis résidents ou de passage. C'est ainsi qu'au fil des pages vous pourrez découvrir comment en 1937, la Bravade faillit exploser, comment les peintres Georges Cotos et Dany Lartigue ont posé sur la toile leurs magnifiques oeuvres, l'origine de la fabrication des sandales tropéziennes, les vespasiennes au Conseil municipal et bien d'autres aventures telle le Grand Prix cycliste de la place des Lices, survenues dans ce "petit" village connu du monde entier.
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Après “Saint Tropez, histoires des gens d'ici”, Jean-Charles MEYER nous livre dans cet ouvrage une suite de ces histoires tropéziennes. Pour cela il s'est adjoint la mémoire du village, François COPPOLA. Ils ont travaillé de concert, à quatre mains, afin de poursuivre en un nouveau tome, cette saga des tropéziens et de leurs amis résidents ou de passage. C'est ainsi qu'au fil des pages vous pourrez découvrir comment en 1937, la Bravade faillit exploser, comment les peintres Georges Cotos et Dany Lartigue ont posé sur la toile leurs magnifiques oeuvres, l'origine de la fabrication des sandales tropéziennes, les vespasiennes au Conseil municipal et bien d'autres aventures telle le Grand Prix cycliste de la place des Lices, survenues dans ce "petit" village connu du monde entier. Que cet ouvrage vous apporte un éclairage sinon au plus près de la réalité quotidienne des tropéziens qui sont, comme chacun le sait, sous les projecteurs des média internationaux.
Dans ce deuxième tome de La vie est un éclat de rire, les lecteurs retrouveront de nombreux personnages au tempérament bien particulier et à l’humour caustique.
Ensemble, nous traverserons les trente premières années du XXe siècle dans l’Italie aux prises avec les luttes sociales et le premier conflit mondial.
Puis viendra la montée du fascisme et la prise du pouvoir par Benito Mussolini, le Duce de sinistre mémoire.
Un récit qui tient en haleine où, là encore, l’anecdote rejoint parfois la légende.
Signes est riche de son patrimoine : Fontaine aux sorcières, Cour d’Amour. Riche de ses traditions : Fête de la Saint Jean et de la Sainte Éloi. Riche de son air vivifiant connu entre autres des Évêques marseillais qui cherchaient à s’éloigner des épidémies de peste. Riche de sa plaine alluvionnaire et de ses collines, bien connues des excursionnistes varois et marseillais. Robert, le cartophile, est originaire du village. Il a su faire apprécier à son épouse Gisèle, toute la beauté de ce terroir. Aujourd’hui le village a une zone d’activités importante près du circuit Paul Ricard (celui-ci en fut le maire de 1972 à 1980). Beaucoup d’associations sont actives et bien soutenues par le maire Jean MICHEL et son conseil municipal.
La rivière, nommée l’Infernet sur son cours supérieur, puis la Cause sur la fin de son parcours, draine tous les versants nord du massif de Sainte Victoire dans le département des Bouches-du-Rhône. Elle prend sa source sur la commune de Vauvenargues, et traverse ensuite les communes de Saint-Marc-Jaumegarde et du Tholonet. C’est un affluent rive droite du fleuve l’Arc.
L’œuvre du Saint-Esprit a contribué à la construction du seul pont en maçonnerie existant au XVIIIe entre Lyon et la Méditerranée. Seul lien entre les deux rives du Rhône à une époque où le moindre déplacement correspondait à une véritable aventure, cet ouvrage d’art a ponctué la vie passée de la région. Pour preuve, la ville de Saint-Saturnin-du-Port a été rebaptisée Pont-Saint-Esprit. Après sept siècles de solitude sur ce site exceptionnel, l’ancien édifice a partagé l’espace avec un nouveau pont. L’évolution des conditions de circulation routière a rendu indispensable la réalisation d’un nouvel ouvrage d’art à Pont-Saint-Esprit en 1996.
À Alger, la mobilisation générale avait vu les hommes de toutes conditions et de tous horizons se regrouper dans la capitale pour être envoyés vers diverses destinations. Le Maroc, mais surtout la Tunisie et l’Algérie furent des terres de prédilection pour des hommes partis la fleur au fusil, le cœur plein d’espoir ou la peur au ventre.
Richard Atlan, Norbert Bensimon et Pierrot Abergel, les trois enfants du quartier de l'Esplanade se trouvèrent subitement confrontés à la réalité de la vie et non plus à la fiction cinématographique française ou américaine que présentaient les écrans des neuf cinémas de Bab El Oued.
Ce livre-guide, à ce jour le plus complet en son genre, offre au lecteur une description de 14 parcs et jardins plantés de beaux arbres et situés sur la commune de Montpellier. Pourquoi 14 sur les 48 qui agrémentent cette ville, l'une des plus vertes de France ? Ils ont été retenus pour la facilité de leur accès, parfois avec un faible droit d'entrée, mais surtout grâce à leur diversité en espèces d'arbres remarquables, la plus grande diversité étant observée dans le Jardin des Plantes. Leur pérennité dépend de votre visite et de l'intérêt que vous leur apporterez. Pourquoi les arbres ? Ce sont eux qui constituent l'environnement le plus visible, le plus majestueux et le plus durable de nos parcs et jardins urbains, lieux de vie et d'échanges intenses entre les hommes et la nature.
Pour notre plaisir, l’auteur nous fait partager sa passion et ses connaissances sur la capitale des Gaules. Il y réussit fort bien grâce à une écriture aisée, savante quand il le faut, mais jamais avec excès, parfois primesautière dans le meilleur sens du terme et toujours adaptée aux sujets traités. Ceux-ci se révèlent d’une grande variété : tranches d’Histoire ou anecdotes marquantes, portraits de hautes figures lyonnaises se dévouant au service de leurs semblables. Puisant aux meilleures sources historiques et archivistiques, en les confrontant au besoin, ce récit alerte, enrichi de notes et d’encadrés mettant certains faits en perspective de l’Histoire de France, nous fait découvrir des aspects inédits sur la Ville et sur quelques-uns de ses citoyens.
Ce n’est pas un historien qui a écrit cet ouvrage, mais simplement un Campsois passionné par sa commune de naissance.
Notre territoire possède une histoire et un patrimoine remarquable qui ont été admirablement racontés par Edmond Ortigues et Raymond Rolland dans plusieurs livres. En conséquence, il m’a semblé préférable de vous faire partager certaines curiosités locales, le destin de quelques Campsois notoires et aussi des passages de mon existence sans oublier mes coups de gueule.
A la fin de la seconde guerre mondiale, le 8 mai 1945, à Sétif en Algérie, des manifestations contre le colonialisme se transforment en un bain de sang. Le général Duval dirige une terrible répression et prévient les autorités françaises d’Alger et de Paris : « Je vous ai donné la paix pour 10 ans. Mais il ne faut pas se leurrer. Tout doit changer en Algérie. » Pratiquement rien ne change pendant 9 ans. En 1954, la guerre d’indépendance éclate et, en 1962, elle sépare définitivement la communauté musulmane et la communauté européenne.
Au travers d’une intrigue, l’auteur vous fait partager sa passion entre deux territoires qui lui sont chers. Le PIEMONT, berceau de ses parents, plus encore la Val Varaita “bella d’estate e stupenda d’inverno”, avec ses bergers et leur mélodieux “mazzolin dei fiori”, où, enfant, il jouait pendant ses vacances d’été. Et sa PROVENCE, aux oliviers et figuiers aromatisés par les senteurs de thym et de lavande, sous le chant des cigales, où le soleil, poussé par l’accent du mistral, réchauffe les coeurs à l’envi, en entonnant un vibrant “coupo santo” !
On a beaucoup écrit sur l'histoire de Toulon, du Mourillon et du fort St Louis, mais, bizarrement, aucun ouvrage n'existait sur le port St Louis. C'est chose faite aujourd'hui avec ce livre facile à lire et divertissant. Bourré d'anecdotes, il est rédigé à la façon d'un conte drolatique. Son personnage central est un veuf un peu philosophe qui va découvrir peu à peu l'univers du petit port. Réalisé "à quatre mains" par deux amis toulonnais, ce récit permet de passer un moment agréable et de faire mieux connaissance avec ce coin particulier de la Ville.
Après “Saint Tropez, histoires des gens d'ici”, Jean-Charles MEYER nous livre dans cet ouvrage une suite de ces histoires tropéziennes. Pour cela il s'est adjoint la mémoire du village, François COPPOLA. Ils ont travaillé de concert, à quatre mains, afin de poursuivre en un nouveau tome, cette saga des tropéziens et de leurs amis résidents ou de passage. C'est ainsi qu'au fil des pages vous pourrez découvrir comment en 1937, la Bravade faillit exploser, comment les peintres Georges Cotos et Dany Lartigue ont posé sur la toile leurs magnifiques oeuvres, l'origine de la fabrication des sandales tropéziennes, les vespasiennes au Conseil municipal et bien d'autres aventures telle le Grand Prix cycliste de la place des Lices, survenues dans ce "petit" village connu du monde entier.