Peyrolles-en-Provence Son histoire au fil de la Durance de Maurice BILLO
Référence: L1914
23,00 €
TTC
L’histoire de Peyrolles-en-Provence est intimement liée à celle de la Durance, comme l’origine de son nom ancien « Petrolis » qui trouve ses racines dans le mot latin désignant les galets du fleuve provençal. Peyrolles-en-Provence occupe depuis toujours une position privilégiée sur la route des Alpes qui se profilent au-delà du défilé de Mirabeau. À son époque, le Roi René en fit sa résidence d’été et contribua à sa fortification et son embellissement. Vous découvrirez son château, sa chapelle du Saint Sépulcre, ses autres monuments et la vie de cette cité depuis ses origines. Ainsi l’histoire de notre village se transmettra à nos futures générations.
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L’histoire de Peyrolles-en-Provence est intimement liée à celle de la Durance, comme l’origine de son nom ancien « Petrolis » qui trouve ses racines dans le mot latin désignant les galets du fleuve provençal. Peyrolles-en-Provence occupe depuis toujours une position privilégiée sur la route des Alpes qui se profilent au-delà du défilé de Mirabeau. À son époque, le Roi René en fit sa résidence d’été et contribua à sa fortification et son embellissement. Vous découvrirez son château, sa chapelle du Saint Sépulcre, ses autres monuments et la vie de cette cité depuis ses origines. Ainsi l’histoire de notre village se transmettra à nos futures générations.
L’œuvre du Saint-Esprit a contribué à la construction du seul pont en maçonnerie existant au XVIIIe entre Lyon et la Méditerranée. Seul lien entre les deux rives du Rhône à une époque où le moindre déplacement correspondait à une véritable aventure, cet ouvrage d’art a ponctué la vie passée de la région. Pour preuve, la ville de Saint-Saturnin-du-Port a été rebaptisée Pont-Saint-Esprit. Après sept siècles de solitude sur ce site exceptionnel, l’ancien édifice a partagé l’espace avec un nouveau pont. L’évolution des conditions de circulation routière a rendu indispensable la réalisation d’un nouvel ouvrage d’art à Pont-Saint-Esprit en 1996.
Un pont se construit lentement, un ouvrage d’art est le résumé de plusieurs vies humaines. Chaque génération aide à bâtir ce lien solide qui dure à travers elle. Le dernier de la dynastie des bâtisseurs, s’il gouverne à son tour ce patrimoine, assure sa part de créateur.
Les ponts d’Arles ont à ce point ponctué la vie passée et présente de la cité qu’ils méritaient d’être associés à son histoire. C’est chose faite avec ce livre. Selon ses goûts, le lecteur le parcourra comme un récit pittoresque et coloré, ou s’informera du détail technique. Il permettra certainement d’apprécier toutes les difficultés de franchissement du Rhône et du Petit-Rhône depuis l’époque des bacs jusqu’aux ponts contemporains. Les caractéristiques des ouvrages construits y sont présentées successivement dans le contexte technique de leur époque.
Les Dames de Saint-Maur se sont installées à Toulon en 1686, lorsque Monseigneur de Chalucet, Evêque du diocèse, a sollicité leur aide pour éduquer les jeunes filles de notre cité, à une époque où l’éducation publique faisait défaut. Elles accomplirent leur mission pendant près de deux siècles et demi dans différents établissements toulonnais. C’est en 1842 qu’elles s’installèrent au quartier de Valbourdin, dans une grande propriété alors dénommée le « champ clos » où un internat et un externat fonctionnèrent jusqu’en 1906. Les Dames de Saint-Maur ont participé à la vie de Toulon, marquant de leurs empreintes l’histoire locale, en menant des actions auprès des enfants et des adolescentes, puis après la première guerre mondiale, au service des personnes âgées.
Après le succès de la saison 1, voici la suite avec l’entrée en lice de cacou, mariole, tafanari et bien d’autres mots issus de notre belle Provence. Chaque région possède son propre langage et qui mieux qu’Yves Pujol pour expliquer celui du Sud ? Dans le sillage de la pastille télévisuelle diffusée sur France 3, le leader du groupe Aïoli nous gratifie, avec ses acolytes Éric Malet et Odile Bertrand, d’un second volume tout aussi savoureux que le premier. Découvrez avec nous le sens du mot ravan, l’origine de brêle, les racines de tête d’ail, etc. Alors bonne lecture et n’oublie pas : “Demande-moi quand tu sais pas !”
Si ce vieux Hyèrois, âgé maintenant de plus de 91 ans ne s’était pas obstiné, bizarrement, à “rouler” exclusivement en 2 CV, il passerait totalement inaperçu parmi les 56 799 habitants de notre ville. En 2007, devenu octogénaire, il a entrepris d’écrire sur un cahier d’écolier la quantité de souvenirs engrangés dans sa mémoire… avant que tout s’envole. En 2018 c’était enfin terminé.
Après “Saint Tropez, histoires des gens d'ici”, Jean-Charles MEYER nous livre dans cet ouvrage une suite de ces histoires tropéziennes. Pour cela il s'est adjoint la mémoire du village, François COPPOLA. Ils ont travaillé de concert, à quatre mains, afin de poursuivre en un nouveau tome, cette saga des tropéziens et de leurs amis résidents ou de passage. C'est ainsi qu'au fil des pages vous pourrez découvrir comment en 1937, la Bravade faillit exploser, comment les peintres Georges Cotos et Dany Lartigue ont posé sur la toile leurs magnifiques oeuvres, l'origine de la fabrication des sandales tropéziennes, les vespasiennes au Conseil municipal et bien d'autres aventures telle le Grand Prix cycliste de la place des Lices, survenues dans ce "petit" village connu du monde entier.
Ce livre-guide offre aux lecteurs une description de onze parcs et jardins plantés de beaux arbres et situés à Toulon, La Garde, La Valette-du-Var et Six-Fours-les-Plages. Ces espaces arborés, dont un seul est privé, ont été retenus pour l’originalité et la diversité des espèces remarquables rencontrées, peu connues du grand public. Le maintien et le développement de ces magnifiques zones vertes spécialisées dépendent de l’intérêt que vous leur apporterez lors de votre visite.
Au terme de plus de deux décennies d’immobilisme et de faux semblants, la France est devenue l’homme malade d’une Europe elle-même affaiblie par le Brexit et la montée des populismes. Partout dans le monde, les fractures ouvertes dans la société apparaissent chaque jour plus visibles entre ceux qui veulent construire des murs et ceux qui militent au contraire pour l’ouverture.
Acteur et observateur de la vie politique varoise, Marc Bayle offre une précieuse étude d’histoire du temps présent sur l’évolution des droites à Toulon de 1958 à 1994, mettant son expérience administrative et politique au service d’un travail d’historien. Les fils conducteurs de cette réflexion sont la culture politique du ressentiment, reposant sur les réseaux « Algérie française », la mainmise du milieu patricien local sur la gestion de la ville, et la constitution d’une droite « sudiste ». Pour déchiffrer la situation toulonnaise, il fallait s’intéresser aux mutations politiques dans la moyenne durée. La prise en compte des contextes démographique, avec l’arrivée des pieds-noirs, et économique, avec la fin du Toulon ouvrier gravitant autour de l’arsenal, était essentielle.
Le contre-amiral DAVELUY, 1863-1939 fait incontestablement partie des grands marins et écrivains maritimes français, de réputation mondiale. Inventeur du périscope dans les années 1890 avec son camarade Violette, créateur de l’aéronautique navale en 1910, commandant des unités françaises en Asie à la recherche de l’Emden en 1914, chef d’état-major de l’armée navale en 1916, il a surtout beaucoup écrit, se plaçant dès 1900 aux avant-postes du retour de la marine française à sa vocation guerrière après les errements de la « Jeune école ».
Qui était Armand Vallé ? Ce capitaine des Dragons du 1er empire qui débarque à Toulon ce matin de juillet 1822, et pour qui la fameuse place d’Italie débaptisée, porte aujourd’hui son nom. Ce roman historique qui se déroule sur les bords de la rade où bien souvent la réalité dépasse la fiction, retrace la genèse d’un complot fomenté contre le roi Louis XVIII dans lequel est impliquée la très secrète « confrérie des bons cousins charbonniers »…
À Alger, la mobilisation générale avait vu les hommes de toutes conditions et de tous horizons se regrouper dans la capitale pour être envoyés vers diverses destinations. Le Maroc, mais surtout la Tunisie et l’Algérie furent des terres de prédilection pour des hommes partis la fleur au fusil, le cœur plein d’espoir ou la peur au ventre.
Richard Atlan, Norbert Bensimon et Pierrot Abergel, les trois enfants du quartier de l'Esplanade se trouvèrent subitement confrontés à la réalité de la vie et non plus à la fiction cinématographique française ou américaine que présentaient les écrans des neuf cinémas de Bab El Oued.
Je m’appelle Jean de mon prénom et Sanglard est mon nom de famille, comme il était aussi celui de mon père. J’habite Saint-Jean-d’Azur, un petit bourg provençal situé dans le massif des Maures, où les collines longent le bord de mer et tombent souvent à pic dans les flots, en formant des caps et des baies. Du cœur de mon village, la vue sur les îles d’Or est une pure merveille. L’histoire que je vais vous conter, à travers celles de François Chauvet et de Charles-Edouard de Vermont, officiers provençaux de la Marine royale, comme moi enfants de ce pays, est aussi celle de la France, côté mer pourrait-on dire, pendant plus de quarante ans ! Nous sommes en avril 1664, quelques jours avant les fêtes de Pentecôte…
Ce livre-guide, à ce jour le plus complet en son genre, offre au lecteur une description de 14 parcs et jardins plantés de beaux arbres et situés sur la commune de Montpellier. Pourquoi 14 sur les 48 qui agrémentent cette ville, l'une des plus vertes de France ? Ils ont été retenus pour la facilité de leur accès, parfois avec un faible droit d'entrée, mais surtout grâce à leur diversité en espèces d'arbres remarquables, la plus grande diversité étant observée dans le Jardin des Plantes. Leur pérennité dépend de votre visite et de l'intérêt que vous leur apporterez. Pourquoi les arbres ? Ce sont eux qui constituent l'environnement le plus visible, le plus majestueux et le plus durable de nos parcs et jardins urbains, lieux de vie et d'échanges intenses entre les hommes et la nature.
Beaucoup de personnes, et même des personnages célèbres, nous ont raconté notre histoire, celle de notre ville et de ses habitants. Je ne serai qu'un modeste Toulonnais, amoureux de sa ville, qui vous raconte son histoire, à sa façon, comme il l'a ressentie en lisant ce que ses prédécesseurs ont écrit.
L’histoire de Peyrolles-en-Provence est intimement liée à celle de la Durance, comme l’origine de son nom ancien « Petrolis » qui trouve ses racines dans le mot latin désignant les galets du fleuve provençal. Peyrolles-en-Provence occupe depuis toujours une position privilégiée sur la route des Alpes qui se profilent au-delà du défilé de Mirabeau. À son époque, le Roi René en fit sa résidence d’été et contribua à sa fortification et son embellissement. Vous découvrirez son château, sa chapelle du Saint Sépulcre, ses autres monuments et la vie de cette cité depuis ses origines. Ainsi l’histoire de notre village se transmettra à nos futures générations.