LA MOÏKA de Robert AUDIFFREN
Une marée rouge déferle sur la vieille Russie, brisant l’ordre établi, les classes sociales et les familles. Pourtant, l’automne s’annonçait prometteur chez les Vassiliev, vieille famille de la noblesse russe.
Référence: L1583
Dans cet ouvrage d’histoire locale, Alexandre Briano nous invite à nous promener dans la ville de Toulon, dans le centre historique comme dans les quartiers les plus éloignés. Il ne faut pas hésiter à prendre les lignes d’autobus. Avec le numéro 3 par l’avenue Clovis Hugues et la Place Jean Macé, on se retrouvera au Mourillon, Impasse Dutasta. Puis, de la Loubière par la rue Pierre-Joseph Proudhon, on peut se rendre au centre ancien et les quartiers rue Charles Poncy. Avec le bus numéro 1, vous trouverez sans souci la place Martin Bidouré au Pont-du-Las, et les rues André Chénier et François Arago, quartier de Brunet et de l’Élisa. Au cours de ces visites, partout vous rencontrerez des partisans de la République.
Meilleures solutions de paiement en ligne
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Dans cet ouvrage d’histoire locale, Alexandre Briano nous invite à nous promener dans la ville de Toulon, dans le centre historique comme dans les quartiers les plus éloignés. Il ne faut pas hésiter à prendre les lignes d’autobus. Avec le numéro 3 par l’avenue Clovis Hugues et la Place Jean Macé, on se retrouvera au Mourillon, Impasse Dutasta. Puis, de la Loubière par la rue Pierre-Joseph Proudhon, on peut se rendre au centre ancien et les quartiers rue Charles Poncy. Avec le bus numéro 1, vous trouverez sans souci la place Martin Bidouré au Pont-du-Las, et les rues André Chénier et François Arago, quartier de Brunet et de l’Élisa. Au cours de ces visites, partout vous rencontrerez des partisans de la République. Des plus exaltés comme Auguste Blanqui aux républicains plus modérés comme le poète Lamartine ou le peintre Daumier. Vous découvrirez des lieux et des places dédiés aux victimes des oppressions royalistes ou bonapartistes comme Armand Vallé, capitaine d’artillerie, décapité en place publique en 1822 pour avoir déclaré être partisan de la Liberté, ou Alphonse Baudin, mort en 1851 sur les barricades. Sans oublier Camille Ledeau, ex-lieutenant de vaisseau, mort en déportation, en 1854 en Algérie. Mais comment se nomment les édiles toulonnais qui ont eu la riche idée de donner, à ces hommes, partisans de la République, les noms de rues ? Ils s’appelaient Henri Dutasta, Emile Claude, Prosper Ferrero, Marius Escartefigue et Maurice Arreckx. C’est d’ailleurs lors d’un Conseil municipal qui eut lieu le 12 juillet 1904, présidé par M. Escartefigue qu’il faut lire dans le registre des délibérations le texte suivant : « La Commission a estimé qu’il convient de faire disparaître des dénominations ayant un sens religieux, en les remplaçant par des noms d’hommes illustres afin d’en perpétuer et populariser la mémoire. »