Signes en Provence de Gisèle & Robert VIGLIONNE
Référence: L1568
20,00 €
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Signes est riche de son patrimoine : Fontaine aux sorcières, Cour d’Amour. Riche de ses traditions : Fête de la Saint Jean et de la Sainte Éloi. Riche de son air vivifiant connu entre autres des Évêques marseillais qui cherchaient à s’éloigner des épidémies de peste. Riche de sa plaine alluvionnaire et de ses collines, bien connues des excursionnistes varois et marseillais. Robert, le cartophile, est originaire du village. Il a su faire apprécier à son épouse Gisèle, toute la beauté de ce terroir. Aujourd’hui le village a une zone d’activités importante près du circuit Paul Ricard (celui-ci en fut le maire de 1972 à 1980). Beaucoup d’associations sont actives et bien soutenues par le maire Jean MICHEL et son conseil municipal.
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Signes est riche de son patrimoine : Fontaine aux sorcières, Cour d’Amour. Riche de ses traditions : Fête de la Saint Jean et de la Sainte Éloi. Riche de son air vivifiant connu entre autres des Évêques marseillais qui cherchaient à s’éloigner des épidémies de peste. Riche de sa plaine alluvionnaire et de ses collines, bien connues des excursionnistes varois et marseillais. Robert, le cartophile, est originaire du village. Il a su faire apprécier à son épouse Gisèle, toute la beauté de ce terroir. Aujourd’hui le village a une zone d’activités importante près du circuit Paul Ricard (celui-ci en fut le maire de 1972 à 1980). Beaucoup d’associations sont actives et bien soutenues par le maire Jean MICHEL et son conseil municipal. À partir de ces cartes postales, Gisèle et Robert vous invitent à apprécier la force de vie de ce village provençal du début du siècle jusqu’aux années 1950. Ils recréent le quotidien de Signois par un voyage dans un passé pas si lointain, qui ravivera les souvenirs des aînés et offrira aux plus jeunes le reflet de la vie d’antan. Laissons-nous charmer par cette balade en images qui nous invite à découvrir quelques lieux et visages passés.
Les ponts d’Arles ont à ce point ponctué la vie passée et présente de la cité qu’ils méritaient d’être associés à son histoire. C’est chose faite avec ce livre. Selon ses goûts, le lecteur le parcourra comme un récit pittoresque et coloré, ou s’informera du détail technique. Il permettra certainement d’apprécier toutes les difficultés de franchissement du Rhône et du Petit-Rhône depuis l’époque des bacs jusqu’aux ponts contemporains. Les caractéristiques des ouvrages construits y sont présentées successivement dans le contexte technique de leur époque.
Le goût de l’aventure, la volonté de rompre avec la monotonie de sa vie, poussent un jeune Maltais à quitter son île en 1846. A bord d’une goélette anglaise une histoire d’amour se noue, mais il devra être débarqué à Djidjelli avec sa compagne.
La majorité des gens pense que c’est un produit français, voire même le plus français des produits. Pour cela, il est connu du monde entier. Ils aiment le tremper dans leur café, y mettre de la confiture, de la pâte à tartiner.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
Le général de Gaulle est sans contestation possible l’un des hommes politiques les plus populaires de l’histoire de France. Mais c’était à une époque où les réseaux sociaux et les chaines d’information en continu n’existaient pas. De plus les médias se voulaient bienveillants à l’égard du pouvoir. L’auteur Pierre Vedel remonte le temps via cet ouvrage au titre évocateur et symbolique « Deux Gaulle » et dévoile les différentes facettes de l’ancien président de la République. Références historiques à l’appui, l’écrivain révèle que derrière l’homme adulé se cache aussi un être manipulateur qui n’a jamais lésiné sur les moyens pour arriver à ses fins notamment lors de la Seconde Guerre mondiale puis la guerre d’Algérie.
L’école de Santé Navale ce fut d’abord un esprit formé par une camaraderie, un cursus médical solide, où les hommes, certes épris d’aventure, furent ensuite confrontés outre-mer notamment, à des fonctions où l’initiative personnelle et l’acte responsable parfois crucial s’avèrèrent essentiels.
L’auteur s’efforce dans cet essai de décrire la vie de cette école et l’étonnant parcours professionnel des praticiens qui en sont issus, en insistant surtout sur l’apport qu’ils ont pu créer dans le cadre de leur exercice, en métropole, sur les mers et au-delà, en des terres moins favorisées.
Pierre a neuf ans lorsqu’il est placé à l’orphelinat de La Côte Saint André. Comme il a très bon cœur, il se fait beaucoup d’amis. 1939, la guerre éclate ! L’heure n’est plus aux jeux d’enfants. L’occupation allemande va entraîner le jeune Pierre à jouer « au résistant » au sein d’un clan « les Messagers de la nuit ». Le clan réussira-t-il à prendre contact avec la Résistance ? Mèneront-ils à bien la mission qui va leur être confiée ? Il faut sauver David ! Mais ont-ils bien mesuré les risques qu’ils encouraient ? Peut-être pas...
Dans la série de Napoléon jour après jour, il y a eu l’Ascension de Bonaparte, puis le Consulat et ensuite l’Empire. Ce cinquième livre est la troisième partie de l’Empire, celle où l’étoile de l’Empereur semble ne plus briller. Cela commence bien, par l’accouchement de Marie-Louise, la naissance du roi de Rome au ravissement de tous les Français, Napoléon a enfin une descendance. Puis arrive la terrible campagne de Russie où l’on va voir la bataille de la Moskova, le stationnement dans Moscou et son incendie qui va obliger Napoléon de quitter cette ville avec ses troupes. Et enfin l’affreuse retraite. Cette retraite qui va décimer presque toute la Grande Armée. Beaucoup de soldats seront tués dans des combats mais la plupart mourront de froid ou encore de la faim.
Cet ouvrage vérité, gorgé de témoignages et de photos d’époque, nous replonge dans la vie quotidienne à Al-Djazaïr avant 1830 et à Alger de 1830 à 1962.
Encore aujourd’hui, s’il est un nom connu de la communauté militaire maritime dans le monde entier, c’est bien celui de MAHAN. Ses théories influèrent toutes les marines du monde vers la fin du XIXème siècle, autour du thème central de la Puissance maritime. La lecture de ses ouvrages, notamment celle de l’Influence de la Puissance maritime dans l’histoire, demeure cependant une affaire de spécialistes.
Au travers d’un roman d’amour profond et émouvant, l’auteur relate avec vérité les événements qui, durant les années 1961-1962, ont conduit à la fin d’une Algérie qu’elle aimait… L’exil et sa déchirure, l’adaptation dans une France revêche, la naissance d’un enfant et la recherche, par ce même enfant, de ses racines familiales font de cet ouvrage, sur fond de traumatisme psychologique sévère, une fresque où chacun de ceux qui ont vécu dans la peine l’abandon de cette terre retrouveront, au fil des pages, une part d’eux-mêmes…
Avec « La lutte pour l’empire de la mer », le capitaine de frégate, et futur contre-amiral, DAVELUY, signe en 1906 un ouvrage de premier ordre qui lui vaudra une reconnaissance tant française qu’internationale. Il ne s’y contente pas de décrire les opérations de la GUERRE RUSSO-JAPONAISE de 1905 qui mènera au désastre de TSUSHIMA. Il y analyse en effet avec un brio incontestable les comportements des protagonistes, en tirant les enseignements qui conviennent et s’appliquent à la marine française qui, moins de dix ans plus tard, aura à affronter la Première guerre mondiale. Le conflit russo-japonais est en effet le cas d’application concret des théories développées jusqu’alors par DAVELUY pour réorienter la marine française vers sa vocation guerrière.