Angeline ma princesse haïtienne petite fille miraculée de Corinne MARTINI
Référence: L1718
17,00 €
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Mon rêve de devenir maman m’a poussée à adopter. En effet je savais dorénavant que je ne porterais jamais mon enfant dans mon ventre ; en revanche je le porterais dans mon cœur. Ce long combat, je l’ai mené seule en tant que célibataire. Il faut savoir que pour adopter, un agrément est nécessaire et obligatoire. Une fois ce sésame obtenu, j’ai su que mon enfant arriverait d’Haïti. Une petite fille de trois ans et demi, au joli prénom d’Angeline m’attendait. Ce furent des photos échangées, des appels téléphoniques… jusqu’au jour où l’impensable se produisit…le 12 Janvier 2010, ce terrible séisme. Angeline est une petite fille miraculée. Elle est restée sous les décombres pendant quatre longues journées et quatre longues nuits et a dû, à sa « sortie », être amputée d’une partie d’elle-même.
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Mon rêve de devenir maman m’a poussée à adopter. En effet je savais dorénavant que je ne porterais jamais mon enfant dans mon ventre ; en revanche je le porterais dans mon cœur. Ce long combat, je l’ai mené seule en tant que célibataire. Il faut savoir que pour adopter, un agrément est nécessaire et obligatoire. Une fois ce sésame obtenu, j’ai su que mon enfant arriverait d’Haïti. Une petite fille de trois ans et demi, au joli prénom d’Angeline m’attendait. Ce furent des photos échangées, des appels téléphoniques… jusqu’au jour où l’impensable se produisit…le 12 Janvier 2010, ce terrible séisme. Angeline est une petite fille miraculée. Elle est restée sous les décombres pendant quatre longues journées et quatre longues nuits et a dû, à sa « sortie », être amputée d’une partie d’elle-même.
Elle a quatre ans et demi et s'appelle Angeline. Elle est ma fille adoptive. Après une longue année de procédures, je suis allée la chercher en Haïti, son pays de naissance, et sommes rentrées ensemble le 24 décembre 2010, un de mes plus beaux noëls. J'étais maman pour la première fois. J'ai rêvé et idéalisé ma fille pendant de nombreux mois. Aujourd'hui, la réalité est tout autre. Il nous faut beaucoup de temps pour nous connaître, nous apprivoiser. Dès son arrivée, rapidement, nous rentrons à la clinique ce qui ne favorise pas notre rapprochement. Là tout commence. Chaque jour un nouveau combat s'offre à nous, car les difficultés sont bien présentes. Il faut gérer les colères, la partie médicale, le quotidien.
Dans Chemins d'ailleurs, Sandrine Beillard relate ses périples « à la dure » aux quatre coins du globe, dans des régions reculées, parfois restées à l’abri de la mondialisation. Dans la préface, Chow Ching Lie, l’auteure du best-seller Le Palanquin des larmes, l’affirme : « Je ne sache pas de meilleure méthode pour découvrir le rare, l'authentique, voire le merveilleux.
Certains noms propres annoncent la destinée de ceux qui le portent, il en est ainsi pour Maltese. Jean Maltese est un aventurier. Né dans un souk à Tunis, il a été à la fois un artiste et un homme de télévision. Or il faut avoir la force de la persuasion, le talent de la présentation et l’obstination dans la réalisation pour être un personnage dans ce monde de l’image. Un “ Maltèse “ ne peut être qu’un homme atypique, et, dès ses quinze ans, Jean quitte son pays et part sans bagages ni relations, mais des rêves plein la tête, vers la ville lumière. Ce Rastignac de Saint-Germain-des-Prés, élève du Cours Simon, devient acteur et compositeur, à la guitare, entre autres...
Le 12 Novembre 1941 vers 13 heures, par un temps exécrable j’ai assisté, avec mes copains du Camp 4, du Groupement 18 des Chantiers de la Jeunesse Française du Vigan dans le Gard, à la chute de l’avion quadrimoteur qui percuta la montagne dans la forêt et s’embrase au Col du Minier dans le massif de l’Aigoual. Dans des conditions atmosphériques abominables, nous y trouverons sept cadavres. Le soir, j’écrivis une longue lettre à mes parents, relatant la mort du Général Huntziger et des membres de sa suite. J’ai conservé tout le courrier de mes parents et de moi-même, de l’époque de mes vingt ans. En 1948, M. Pierre Mazier historien vient me voir, s’intéresse à mes documents et photos en ma possession.
C’est un bien bel anniversaire que ces 60 ans d’Aqua Lung, la Spirotechnique. Il nous ramène en 1947, lorsque la société Air Liquide créa la première entreprise de plongée dont le but était d’industrialiser et de commercialiser les idées du commandant Cousteau. L’ère de la plongée sportive et de loisir était née. Avec Air Liquide, nous étions dans le domaine de la maîtrise des risques, la technique industrielle étant mise à disposition des pionniers de la plongée sous-marine. Avec Jacques Yves Cousteau, nous entrions dans le domaine de l’image et de la communication
« La langue de chez nous autres, elle utilise tous les dialectes, toutes les expressions, toutes les langues latines pour dire les phrases et les mots qui nous passent par la tête. Alors, plutôt que de vous saouler sans anisette, mieux je vous tape le dictionnaire de chez moi pour vous parler du parler de chez nous autres. C’est un mélange « trabadia la mouquère » avec des zestes venus de tous les citronniers du monde entier mais c’est çuila que je parlais dans ma famille qu’elle est issue de Bab El Oued mais aussi de la casbah judéo-arabe. Mon maître d’orthographe de la rue Rochambeau y s’en est allé rejoindre le pays de bon dieu, reusement le pauvre, ou sinon y meurt de mauvais sang.
Après « Mes rêves avaient un goût de sel », cette nouvelle tranche de vie subaquatique, bourrée d’humour et de surprises, se situe à une époque où soufflait encore un parfum de liberté. Comme dans son premier ouvrage, l’auteur écrit avec son style provençal très imagé qui fera sourire, mais aussi entraînera le lecteur vers des rencontres surprenantes et peu ordinaires, qu’elles soient humaines ou animales.
“Une famille de 1660 à nos jours” est le cinquième ouvrage de Bernard Gaudin. Après son journal de marche sur la guerre d’Indochine, le secours en mer, un roman d’espionnage et une chronique sur la drogue, voici l’histoire d’une partie de sa famille et de ce village qui a bercé son enfance. Il est le petit-fils de Clément Louis Alexis Combet Septième du nom. Connaître ses origines en remontant le temps est un exercice plaisant qui permet de rencontrer nos anciens et de découvrir ce qu’ils ont été. Parler de la famille c’est aussi l’occasion de rappeler les valeurs qu’elle représente.
Dans cet ouvrage la thérapeute Christine Toulemonde évoque ses années d’enfance, de jeunesse, tous ses souvenirs heureux et douloureux. Ses témoignages émouvants, son existence atypique et riche en péripéties ne peuvent nous laisser indifférents.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
« Ne connaîtra jamais l'amour celui qui a connu l'amour avant la rencontre. »
Rencontre à quinze ans, fiançailles à vingt, épousailles à vingt-deux ans. Durant cinquante-cinq ans, la vie s'écoulera douce et tranquille, comme éternelle. Un jour, la Camarde viendra frapper à la porte. Ce sera pareil à un tremblement de terre : les paysages se renverseront, des pans entiers de blocs se décrocheront d'une colline, tout ce qui est à l'endroit se retrouvera à l'envers. Ce sera le début d'un autre temps.
Puisse ce modeste livre témoigner de la passion et de l’amour que les élèves de la classe de CE2, CM1 et CM2 de l’école Robert Moretti du Poizat éprouvent pour ce plateau de Retord, à l’instar de Delphine Arène, écrivain, enfant du Haut-Bugey. Ceux qu’attire le champ de neige merveilleux du plateau devineront l’âme farouche et sensible qui a dicté l’écriture de cet ouvrage et qui rôde toujours, vivante, dans ces combes. En toile de fond, la nouvelle commune Le Poizat-Lalleyriat constitue ce nouveau joyau pour le Retord et tisse son avenir par un élan nouveau sous le sourire satisfait de Denis Goiffon.
Mon rêve de devenir maman m’a poussée à adopter. En effet je savais dorénavant que je ne porterais jamais mon enfant dans mon ventre ; en revanche je le porterais dans mon cœur. Ce long combat, je l’ai mené seule en tant que célibataire. Il faut savoir que pour adopter, un agrément est nécessaire et obligatoire. Une fois ce sésame obtenu, j’ai su que mon enfant arriverait d’Haïti. Une petite fille de trois ans et demi, au joli prénom d’Angeline m’attendait. Ce furent des photos échangées, des appels téléphoniques… jusqu’au jour où l’impensable se produisit…le 12 Janvier 2010, ce terrible séisme. Angeline est une petite fille miraculée. Elle est restée sous les décombres pendant quatre longues journées et quatre longues nuits et a dû, à sa « sortie », être amputée d’une partie d’elle-même.