Sous l’œil bienveillant de sa maman, l’enfance de Jean fut très agréable. Insouciant des atrocités de la Seconde Guerre mondiale, sa vie se partageait entre les jeux avec ses camarades d’école et ses plongées dans la baie d’Agadir, inondée de soleil. Ce petit coin de France vivait alors en toute quiétude, en compagnie des Marocains, sous l’égide des autorités françaises. L’atmosphère y était paisible... Jusqu’à ce terrible jour du 29 février 1960, où un tremblement de terre a fait basculer la vie de Jean. Plus rien ne sera comme avant.
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La découverte d’un vieux carnet au contenu énigmatique conduit l’intrépide Jules sur un site de fouilles archéologiques. Après sa rencontre avec la fille d’une éminente spécialiste de l’époque romaine, des évènements étranges s’enchaînent. Les vestiges du passé vont peu à peu révéler l’existence d’une malédiction ancestrale des plus obscure. Entre passé et présent, rêve et réalité, rien ne semble pouvoir arrêter le sablier du temps.
Née à Toulon en 1971, Carole Theunis est Professeur de Lettres Modernes en Collège. Régulièrement invitée dans les Salons Jeunesse et établissements scolaires, elle y partage sa passion pour l’écriture avec le jeune lectorat. Ce 4e roman transportera une nouvelle fois ses lecteurs dans l’univers fascinant de la Fantasy qu’elle affectionne tout particulièrement.
Peppe Russo. C’est comme ça que l’on m’appelle. Je suis né à Tunis, le lundi 1er juin 1931, à 4 heures du matin, d’une famille sicilienne de Castellammare del Golfo, dans la province de Trapani, lieu de naissance de mon père et ma mère.
L’auteur Stéphane Carbonnel nous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître celui du service militaire. Une parenthèse de quelques mois, jadis obligatoire et désormais facultative. Et c’est quelque part regrettable car nombreux sont les hommes qui resteront marqués à vie par ces moments-là. Des doutes liés à l’incorporation à l’adaptation à la vie de la caserne sans oublier la solidarité affichée pendant les manœuvres. Et bien d’autres émotions encore que l’on retrouve dans cet ouvrage qui fait aussi la part belle à la rigolade et aux anecdotes truculentes. « Le premier impôt » fait partie de ceux que l’on paie volontiers soit pour se remémorer des souvenirs similaires ou découvrir ces tranches de vie par essence éphémères…
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
Ce recueil est un hommage à des travailleurs qui firent les Chantiers et la tuyauterie en particulier. Les initiateurs du projet ont choisi de mettre en « mémoire » tous ceux qui ont individuellement concouru au développement et à la défense de leurs outils de travail avec intelligence et pugnacité. Ils ont mis toutes leurs forces et tous leur savoir à sauvegarder une entreprise fleuron de l’industrie française. Dans ces pages, il y a cinquante ans d’histoire quotidienne dans toutes ses formes. Travail, social, syndical et politique, qui ont façonné un esprit si particulier de la tuyauterie, au point de devenir un atelier emblématique du Chantier. Trois thèmes sont développés dans cet ouvrage.
Différentes histoires belles, surprenantes, étranges, drôles et cocasses. De cette belle histoire de santons d’Auriol, unique en son genre. Quelle explication peut-on donner aux phénomènes paranormaux auxquels certaines personnes sont confrontées au cours de leur vie ? De cette personne qui ne pensait pas à mal en vendant ses fruits et légumes et pourtant… Par ce pêcheur généreux invitant ses amis à un repas un peu spécial. À ce monstre marin qui avait défrayé la chronique sur les bords de la Méditerranée. Au monde marin et sa sirène légendaire dans la plus belle baie de Marseille. De ce chien victime malgré lui de son manque d’efficacité. Et bien d’autres…
Deux mois avant la Coupe du Monde de Football de 2014, je décidai de déposer mes valises dans un hôtel du quartier de Copacabana, à Rio de Janeiro, qui serait mon QG d’où j’allais arpenter, objectif à la main, une ville dans tous ses états et sous tous les angles : sa Nature époustouflante comme le Pain de Sucre, le Corcovado orné de son Christ Rédempteur, ou la plage mythique de Copacabana ; son architecture aux mille contrastes florissant un centre-ville de ses buildings vitrés, ses favelas tenant vaillamment debout avec des matériaux de récupération, dévorant, par leur étendue, presque toutes les collines de Rio ; son tourisme médiatique « en cage », dressé au mutisme, pour accueillir les supporters venus assister à la Coupe du Monde de Football...
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
« La langue de chez nous autres, elle utilise tous les dialectes, toutes les expressions, toutes les langues latines pour dire les phrases et les mots qui nous passent par la tête. Alors, plutôt que de vous saouler sans anisette, mieux je vous tape le dictionnaire de chez moi pour vous parler du parler de chez nous autres. C’est un mélange « trabadia la mouquère » avec des zestes venus de tous les citronniers du monde entier mais c’est çuila que je parlais dans ma famille qu’elle est issue de Bab El Oued mais aussi de la casbah judéo-arabe. Mon maître d’orthographe de la rue Rochambeau y s’en est allé rejoindre le pays de bon dieu, reusement le pauvre, ou sinon y meurt de mauvais sang.
Parcourir les routes du monde ! Pour découvrir d'autres horizons, d'autres valeurs, pour apprendre à mieux se connaître... Nous l'avons fait mon fils de 14 ans et moi, à moto entre Hyères et le cap Nord pendant 4 semaines.
Dans « Le Collège de Neptune », Claude ROUQUETTE évoque les relations historiques des Cévennes avec la mer. L'auteur raconte l'histoire des professeurs et des élèves de marine d'une des premières - École Navale - établies à Alès et à Vannes (1786-1792), il nous entraîne à la découverte du patrimoine maritime atypique et méconnu de l'arrière-pays gardois dans une narration au long cours de ses mémoires de mer cévenoles. Il a collaboré à l'écriture de la longue et inédite préface du « Journal de bord » de Charles Darwin sous la direction du Professeur Patrick Tort.
Sous l’œil bienveillant de sa maman, l’enfance de Jean fut très agréable. Insouciant des atrocités de la Seconde Guerre mondiale, sa vie se partageait entre les jeux avec ses camarades d’école et ses plongées dans la baie d’Agadir, inondée de soleil. Ce petit coin de France vivait alors en toute quiétude, en compagnie des Marocains, sous l’égide des autorités françaises. L’atmosphère y était paisible... Jusqu’à ce terrible jour du 29 février 1960, où un tremblement de terre a fait basculer la vie de Jean. Plus rien ne sera comme avant.