Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
Le général de Gaulle est sans contestation possible l’un des hommes politiques les plus populaires de l’histoire de France. Mais c’était à une époque où les réseaux sociaux et les chaines d’information en continu n’existaient pas. De plus les médias se voulaient bienveillants à l’égard du pouvoir. L’auteur Pierre Vedel remonte le temps via cet ouvrage au titre évocateur et symbolique « Deux Gaulle » et dévoile les différentes facettes de l’ancien président de la République. Références historiques à l’appui, l’écrivain révèle que derrière l’homme adulé se cache aussi un être manipulateur qui n’a jamais lésiné sur les moyens pour arriver à ses fins notamment lors de la Seconde Guerre mondiale puis la guerre d’Algérie.
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
Ce tome II des mémoires des Chantiers Navals de La Seyne-sur-Mer a été difficile à rédiger. L’hommage rendu aux femmes était nécessaire, il ne fut pas simple à mettre en forme. Vraies et pudiques. Les femmes ont voulu témoigner ainsi. Le choix du témoignage nous a semblé la meilleure mise en page possible pour ce type de recueil. « Luttes et travail » en découlent naturellement. Nous n’avons pu échapper à l’intense attachement que nous avons eu pour cette prestigieuse entreprise que furent les Chantiers de La Seyne-sur-Mer, sentiment qui persiste encore aujourd’hui. Ensemble c’est le récit de notre aliénation et des luttes pour nous libérer qui est ici mis en page. Sans fard, ni lieu commun, sur le mouvement ouvrier seynois, dont notre présent porte encore les stigmates.
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
Août 2020 – Cité des Papes à Avignon : « Je te remets le livre, fais-en bon usage, il y est inscrit en lettres de feu et d'or les plus grands secrets du monde. C'est la Grâce qui t'est donnée pour le chemin parcouru. »
Cela pourrait être le début d'un beau roman ésotérique, c'est simplement l'histoire de ma vie. Je suis née en 1966, dans une ville du sud de la France, entre cigales et mistral. Rien ne me prédisposait à vivre, dès mon plus jeune âge, cette connexion naturelle avec ce que certains nomment « l'invisible ».
Olivier est enlevé à Niamey alors qu’il était venu rendre visite, avec son épouse Laura, à leurs filleuls dans le cadre de l’association « Aide et Action ». Pendant six mois il sera l’otage d’AQMI dans le Nord du Mali. Deux geôliers se relaieront une semaine sur deux pour le « surveiller » en plein désert : l'un est un fou furieux avec lequel aucune communication n’est possible, l'autre pourrait être son fils... c’est pourtant un terroriste qui opère au Maroc. Olivier, ignorant son devenir, veut laisser une trace de son parcours à l’intention de ses descendants. Il laisse aussi un « Petit Traité de philosophie » personnel. « Destinées croisées » retrace la vie et la rencontre de Mohamed et d’Olivier.
J’ai utilisé le langage parlé des enfants Bab El Oued pour chanter l’Esplanade qui, en fait, est l’appendice greffé du faubourg après la démolition des portes de Bab El Oued. Le parler de tous les jours, agrémenté de mots italiens, espagnols et judéo-arabes propres à la communauté israélite qui, pour la plupart, venait de la casbah d’Alger. Ce langage né du brassage méditerranéen agrémenta la langue française que tenta et parvint à nous enseigner l’école de Jules Ferry. Oubliez la syntaxe et la grammaire française pour donner à ce récit toute son authenticité. J’espère que vous prendrez le même plaisir à lire ce petit livre que moi à l’écrire.
Rien qu’entre le mois d’octobre 2017 et le mois de janvier 2018, j’ai recensé plus d’une vingtaine de nouveaux livres sur Johnny Hallyday, principalement des biographies, des livres de photos ou de citations. Son enfance saltimbanque, son amour pour le rock et sa fabuleuse destinée n’ont plus de secrets pour vous.
L’auteur Stéphane Carbonnel nous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître celui du service militaire. Une parenthèse de quelques mois, jadis obligatoire et désormais facultative. Et c’est quelque part regrettable car nombreux sont les hommes qui resteront marqués à vie par ces moments-là. Des doutes liés à l’incorporation à l’adaptation à la vie de la caserne sans oublier la solidarité affichée pendant les manœuvres. Et bien d’autres émotions encore que l’on retrouve dans cet ouvrage qui fait aussi la part belle à la rigolade et aux anecdotes truculentes. « Le premier impôt » fait partie de ceux que l’on paie volontiers soit pour se remémorer des souvenirs similaires ou découvrir ces tranches de vie par essence éphémères…
Ce témoignage sur l’impuissance conduit à une analyse psychologique de la puissance et de l’impuissance. L’auteur, âgé de 90 ans, est catholique. Il a donc rappelé que Dieu semble parfois « impuissant » par exemple lorsque nous vivons des épreuves sans vivre son aide. En réalité Dieu apparaît « impuissant » face à notre liberté mais il est tout-puissant d’Amour et sa puissance est éternelle. Ce vécu de l’« impuissance apparente » de Dieu peut résulter d’un manque de confiance en son Amour. C’est une épreuve pour la foi. Ce témoignage analyse la puissance et l’impuissance dans les trois domaines de l’argent, du pouvoir et du sexe, qui sont les trois « terrains » principaux où se manifestent les tentations de destructions de l’amour.
Au siècle dernier, on parlait de progrès pourtant peu de gens en profitait. Ils ne quittaient pas leur village, leur région et vivaient en vase clos. Puis il y eut la guerre, et la vie a changé. Notre génération fut la première à bouger : le train, l’avion, etc. L’empire colonial existait encore, la recherche du travail favorisait les déplacements.
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.