Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
Récemment, lors d’une succession, l’auteur mit la main sur une mallette en carton qui semblait dormir depuis les années soixante. Il y trouva un important dossier avec des textes écrits en français, d’autres écrits en russe et en allemand et deux albums de photos en noir et blanc d’hommes en uniforme militaire et de dames sous chapeau cloche. Le tout, sans classement, pouvait paraître banal… En vérité, c’était un important dossier concernant une famille juive qui, échappant aux pogroms de Russie de 1904, s’était réfugiée à Paris où elle fit souche. Son histoire contemporaine commence en Dordogne, lors des congés payés de l’été 1939. Puis, ce fut la guerre et l’extermination d’une partie de cette famille, comme celle de milliers d’autres à Auschwitz.
Qui pouvait le mieux parler d’un mineur de mines de bauxite qu’un mineur, avec son cœur et sa générosité, pour le transmettre aux nouvelles générations ? Au travers de son aventure personnelle, Roger Dispard, cadre à Péchiney, nous conte sa carrière.
« En 39, j’avais 10 ans » est le livre de ma vie. Un récit que j’ai voulu poignant de vérité. Ainsi les passages marquants et anecdotes révélatrices sur des périodes historiques fortes, comme la Seconde Guerre mondiale bien sûr, se succèdent page après page. Les lecteurs découvriront les réalités d’une existence riche en émotions rythmée par les situations vécues, les gens rencontrés et les lieux traversés. Et si certains passages peuvent paraître incroyables, ils sont pourtant d’une véracité incontestable. À l’image de ces années qui ont fait de moi celui que je suis…
Frédéric Dumas (1913-1991) est un des pionniers de l’aventure sous-marine, compagnon de Jacques-Yves Cousteau, co-auteur du Monde du Silence. Il a grandement contribué à l’essor de l’archéologie sous-marine, sa passion.
Ce texte inédit de ses mémoires nous fait découvrir cet homme discret et méconnu.
Au siècle dernier, on parlait de progrès pourtant peu de gens en profitait. Ils ne quittaient pas leur village, leur région et vivaient en vase clos. Puis il y eut la guerre, et la vie a changé. Notre génération fut la première à bouger : le train, l’avion, etc. L’empire colonial existait encore, la recherche du travail favorisait les déplacements.
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
Fabrice Martinez susurra al oído de los grandes simios, lo que le convierte en un policía muy especial. Se vio a sí mismo como un explorador y terminó uniéndose a las filas de la policía por vocación. Pero una pasión se aferraba a él : ¡los gorilas! Una admirable mujer, Dian Fossey, luchaba en Ruanda para evitar su desaparición. Murió asesinada, de seis golpes de machete, la noche del 26 de diciembre de 1985. Al día siguiente, Fabrice fundó GORILLA, la primera asociación francesa en defensa de los gorilas. Viajó hasta Ruanda, donde plantó su tienda de campaña al pie de un volcán, en el territorio de los últimos gorilas de montaña. En África se le conoce como : “el policía blanco que quiere salvar a los gorilas”.
Alexandre Briano retrace, à l’aide de témoignages, de documents et d’articles de presse ces neuf mois d’élaboration d’une campagne d’élection municipale toulonnaise, entre juin 1976 et mars 1977. Elle aurait pu être d’une banalité n’intéressant qu’une infime partie des Toulonnais. A priori, la ville semblait vouloir reconduire au mieux l’équipe municipe sortante ou, au pire, la liste de gauche PCF-PS. Mais un ver fut introduit dans le fruit : la proposition de responsables politiques parisiens de vouloir, dans certaines villes, ouvrir les listes à d’autres opposants tels que les gaullistes de gauche. À Toulon, avec la proposition de faire participer le vice-amiral d’escadre Antoine Sanguinetti, dit Tony Carabine, la zizanie durant de longs mois s’installa.
Ce récit autobiographique est le kaléidoscope des mémoires d’une petite fille dont le rêve évanoui était de devenir « danseuse étoile »… Les chemins qu’elles empruntent semblent tourner sans cesse en rond alors que, inexorablement, ils évoluent en spirale vers la vérité inavouable : une enfance abusée.
« Ne connaîtra jamais l'amour celui qui a connu l'amour avant la rencontre. »
Rencontre à quinze ans, fiançailles à vingt, épousailles à vingt-deux ans. Durant cinquante-cinq ans, la vie s'écoulera douce et tranquille, comme éternelle. Un jour, la Camarde viendra frapper à la porte. Ce sera pareil à un tremblement de terre : les paysages se renverseront, des pans entiers de blocs se décrocheront d'une colline, tout ce qui est à l'endroit se retrouvera à l'envers. Ce sera le début d'un autre temps.
On a beaucoup écrit sur l'histoire de Toulon, du Mourillon et du fort St Louis, mais, bizarrement, aucun ouvrage n'existait sur le port St Louis. C'est chose faite aujourd'hui avec ce livre facile à lire et divertissant. Bourré d'anecdotes, il est rédigé à la façon d'un conte drolatique. Son personnage central est un veuf un peu philosophe qui va découvrir peu à peu l'univers du petit port. Réalisé "à quatre mains" par deux amis toulonnais, ce récit permet de passer un moment agréable et de faire mieux connaissance avec ce coin particulier de la Ville.
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.