Le regard poétiquement redoutable d'une petite fille trahie par la mère patrie à l'âge de 10 ans, témoin d'une guerre qui la poussera elle et sa famille à l'exil, en laissant dans le sillage de la mer son Pays d'Amour, les odeurs exotiques, les lumières éblouissantes, les sépultures de ses aïeux... Mais rien n'empêchera Rosalind de revenir en pensée dans un claquement d'ailes blanches étreindre de toutes ses forces son beau Pays à Elle que nul ne lui ravira jamais... Voici le plus bel hommage rendu à ses parents morts de chagrin à qui elle dédie de tout son coeur ce Devoir de Mémoire pour que brille à jamais le Souvenir de leurs vies brisées.
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Le regard poétiquement redoutable d'une petite fille trahie par la mère patrie à l'âge de 10 ans, témoin d'une guerre qui la poussera elle et sa famille à l'exil, en laissant dans le sillage de la mer son Pays d'Amour, les odeurs exotiques, les lumières éblouissantes, les sépultures de ses aïeux... Mais rien n'empêchera Rosalind de revenir en pensée dans un claquement d'ailes blanches étreindre de toutes ses forces son beau Pays à Elle que nul ne lui ravira jamais... Voici le plus bel hommage rendu à ses parents morts de chagrin à qui elle dédie de tout son coeur ce Devoir de Mémoire pour que brille à jamais le Souvenir de leurs vies brisées.
Quand un héritage inattendu émanant d’un oncle inconnu bouleverse l’existence d’un homme d’âge mûr. Sauf que là, il ne s’agit pas d’argent mais au contraire de quelque chose qui ne s’achète pas à savoir ses propres origines. Avec « L’enfant enlevé à sa mère » Marcel Bancel replonge dans son passé. Celui d’un enfant labellisé « pupille de la nation » car recueilli par la DDASS.
Ce récit autobiographique est le kaléidoscope des mémoires d’une petite fille dont le rêve évanoui était de devenir « danseuse étoile »… Les chemins qu’elles empruntent semblent tourner sans cesse en rond alors que, inexorablement, ils évoluent en spirale vers la vérité inavouable : une enfance abusée.
Ce livre est l’œuvre du père Pierre Bilard qui s’est mis au service des personnes détenues comme aumônier catholique à la maison d’arrêt de Dijon pendant 13 ans, jusqu’à ce qu’il soit atteint par la limite d’âge. Ses qualités d’homme de Dieu et d’homme de lettres l’ont conduit à entretenir un abondant courrier avec les prisonniers. C’est l’ensemble de ces témoignages écrits qu’il nous rapporte dans cet ouvrage avec beaucoup de simplicité, sans commentaires excessifs mais avec une grande vérité, laissant au lecteur la liberté de juger de la pertinence de ces témoignages. Ce livre confirme qu’en prison la quête spirituelle est très présente et suscite souvent l’admiration.
Sous l’œil bienveillant de sa maman, l’enfance de Jean fut très agréable. Insouciant des atrocités de la Seconde Guerre mondiale, sa vie se partageait entre les jeux avec ses camarades d’école et ses plongées dans la baie d’Agadir, inondée de soleil. Ce petit coin de France vivait alors en toute quiétude, en compagnie des Marocains, sous l’égide des autorités françaises. L’atmosphère y était paisible... Jusqu’à ce terrible jour du 29 février 1960, où un tremblement de terre a fait basculer la vie de Jean. Plus rien ne sera comme avant.
Chaque vie est unique. Toutes les douleurs sont aussi personnelles qu’incompréhensibles lorsque ce ne sont pas les nôtres. Mettre en mots des maux redonne un élan, un sens et une représentation différente d’un parcours parfois chaotique.
Suivre Charlotte dans ses années d’existence et comprendre pourquoi apporter son aide est essentiel pour elle, en raison de la traversée atypique des méandres de son « chemin de l’eau », va peut-être faire écho à des vécus analogues.
L’idée d’avancer vers la découverte d’un probable mystère en se plongeant dans des souvenirs et leur analyse est alimentée par une énergie puisée dans chaque instant afin de la libérer de son secret.
Puisse ce modeste livre témoigner de la passion et de l’amour que les élèves de la classe de CE2, CM1 et CM2 de l’école Robert Moretti du Poizat éprouvent pour ce plateau de Retord, à l’instar de Delphine Arène, écrivain, enfant du Haut-Bugey. Ceux qu’attire le champ de neige merveilleux du plateau devineront l’âme farouche et sensible qui a dicté l’écriture de cet ouvrage et qui rôde toujours, vivante, dans ces combes. En toile de fond, la nouvelle commune Le Poizat-Lalleyriat constitue ce nouveau joyau pour le Retord et tisse son avenir par un élan nouveau sous le sourire satisfait de Denis Goiffon.
Voici la vie d’Angelina, ou la vie de celle qui, par discrétion, dans les ouvrages précédents, se nommait Ange-Elle. On aurait pu penser qu’elle était un être humain semblable à tous les autres mais il fallait se rendre à l’évidence qu’elle n’appartenait pas au monde d’ici-bas. Conçue d’amour universel, elle aimait, au détriment de sa propre existence, tous les êtres vivants : humain, animal ou végétal. Les pathologies n’avaient pas de secret pour cette guérisseuse. Elle redonnait la santé et entourait de protection. Elle avait un don. Elle constatait avec abnégation : « J’existe pour les autres. C’est mon don de naissance. Même Là-Haut, je serai là. Éternellement. »
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
Rien qu’entre le mois d’octobre 2017 et le mois de janvier 2018, j’ai recensé plus d’une vingtaine de nouveaux livres sur Johnny Hallyday, principalement des biographies, des livres de photos ou de citations. Son enfance saltimbanque, son amour pour le rock et sa fabuleuse destinée n’ont plus de secrets pour vous.
Rodriguez est un bagnard en fuite sur le littoral varois, de Toulon jusqu’à Roquebrune. Arnaud est un campagnard de Figanières. Ils sont contemporains (1848 / 1851). Tous deux vont commettre des crimes. Malgré le ton picaresque des récits, les faits sont historiques.
Sept bagnards mettent les voiles.
Frederico Rodriguez, ancien soldat espagnol, tente la vie de colon à Constantine, pays nouvellement conquis par la France. Il est pris lors d’une tentative de vol à main armée et envoyé au bagne de Toulon. Il décide de profiter de l’atmosphère révolutionnaire de 1848 pour s’évader par la mer avec six autres forçats. Les fugitifs accostent sur le littoral des Maures...
Dans le monde actuel, il n’y a pas de place pour le rêve. Le seul moyen d’y parvenir c’est d’oublier parfois l’instant présent, de fermer les yeux, d’inspirer profondément… Alors à ce moment-là, dans le coin de votre mémoire, à l’aide d’une clef que vous glisserez dans la serrure, vous ouvrirez une vieille porte en bois usée par le temps et vous pénètrerez dans le monde du souvenir.
Le regard poétiquement redoutable d'une petite fille trahie par la mère patrie à l'âge de 10 ans, témoin d'une guerre qui la poussera elle et sa famille à l'exil, en laissant dans le sillage de la mer son Pays d'Amour, les odeurs exotiques, les lumières éblouissantes, les sépultures de ses aïeux... Mais rien n'empêchera Rosalind de revenir en pensée dans un claquement d'ailes blanches étreindre de toutes ses forces son beau Pays à Elle que nul ne lui ravira jamais... Voici le plus bel hommage rendu à ses parents morts de chagrin à qui elle dédie de tout son coeur ce Devoir de Mémoire pour que brille à jamais le Souvenir de leurs vies brisées.