Le regard poétiquement redoutable d'une petite fille trahie par la mère patrie à l'âge de 10 ans, témoin d'une guerre qui la poussera elle et sa famille à l'exil, en laissant dans le sillage de la mer son Pays d'Amour, les odeurs exotiques, les lumières éblouissantes, les sépultures de ses aïeux... Mais rien n'empêchera Rosalind de revenir en pensée dans un claquement d'ailes blanches étreindre de toutes ses forces son beau Pays à Elle que nul ne lui ravira jamais... Voici le plus bel hommage rendu à ses parents morts de chagrin à qui elle dédie de tout son coeur ce Devoir de Mémoire pour que brille à jamais le Souvenir de leurs vies brisées.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Le regard poétiquement redoutable d'une petite fille trahie par la mère patrie à l'âge de 10 ans, témoin d'une guerre qui la poussera elle et sa famille à l'exil, en laissant dans le sillage de la mer son Pays d'Amour, les odeurs exotiques, les lumières éblouissantes, les sépultures de ses aïeux... Mais rien n'empêchera Rosalind de revenir en pensée dans un claquement d'ailes blanches étreindre de toutes ses forces son beau Pays à Elle que nul ne lui ravira jamais... Voici le plus bel hommage rendu à ses parents morts de chagrin à qui elle dédie de tout son coeur ce Devoir de Mémoire pour que brille à jamais le Souvenir de leurs vies brisées.
Le 12 Novembre 1941 vers 13 heures, par un temps exécrable j’ai assisté, avec mes copains du Camp 4, du Groupement 18 des Chantiers de la Jeunesse Française du Vigan dans le Gard, à la chute de l’avion quadrimoteur qui percuta la montagne dans la forêt et s’embrase au Col du Minier dans le massif de l’Aigoual. Dans des conditions atmosphériques abominables, nous y trouverons sept cadavres. Le soir, j’écrivis une longue lettre à mes parents, relatant la mort du Général Huntziger et des membres de sa suite. J’ai conservé tout le courrier de mes parents et de moi-même, de l’époque de mes vingt ans. En 1948, M. Pierre Mazier historien vient me voir, s’intéresse à mes documents et photos en ma possession.
Ayant eu la chance de vivre vingt années passionnantes en Afrique, l'auteur a voulu au travers de cet ouvrage faire revivre quelques épisodes drôles, cocasses ou plus dramatiques qui ont marqué ses séjours dans cinq pays différents entre 1984 et 2014. Mais aussi faire partager sa passion pour un continent que peu d’Européens connaissent et apprécient, la plupart d'entre eux ayant une vision déformée par les médias ou le discours ambiant. Observateur attentif d'un monde africain en pleine évolution, il a au travers de ses récits fait revivre une galerie de portraits hauts en couleurs de personnages caractéristiques de cette époque.
« J’admire la façon dont vous savez donner vie aux moindres objets d’une maison, que vous parvenez à faire goûter presque physiquement. À vous lire, je sens l’odeur de l’entrée de Viazac, ou de sa cuisine. J’entends les bruits de l’étage, je reconnais les pas d’oncle Roger, je frissonne au vent qui balaie la terrasse… Il y a, dans votre façon d’écrire, une sorte de réalisme à la fois méticuleux et léger. Vous dites les choses avec une densité étonnante. Vos phrases, précises et nettes, semblent s’enchaîner à toute vitesse mais les termes en sont si exactement choisis – parce qu’intensément sentis – qu’elles contiennent une prodigieuse richesse descriptive, inaperçue en première lecture. On est pris, ensorcelé et c’est pourquoi on y revient...
« La langue de chez nous autres, elle utilise tous les dialectes, toutes les expressions, toutes les langues latines pour dire les phrases et les mots qui nous passent par la tête. Alors, plutôt que de vous saouler sans anisette, mieux je vous tape le dictionnaire de chez moi pour vous parler du parler de chez nous autres. C’est un mélange « trabadia la mouquère » avec des zestes venus de tous les citronniers du monde entier mais c’est çuila que je parlais dans ma famille qu’elle est issue de Bab El Oued mais aussi de la casbah judéo-arabe. Mon maître d’orthographe de la rue Rochambeau y s’en est allé rejoindre le pays de bon dieu, reusement le pauvre, ou sinon y meurt de mauvais sang.
Août 2020 – Cité des Papes à Avignon : « Je te remets le livre, fais-en bon usage, il y est inscrit en lettres de feu et d'or les plus grands secrets du monde. C'est la Grâce qui t'est donnée pour le chemin parcouru. »
Cela pourrait être le début d'un beau roman ésotérique, c'est simplement l'histoire de ma vie. Je suis née en 1966, dans une ville du sud de la France, entre cigales et mistral. Rien ne me prédisposait à vivre, dès mon plus jeune âge, cette connexion naturelle avec ce que certains nomment « l'invisible ».
En 2021, Alban Mauzac réalise son rêve grâce à l’Expédition Pelagos : il devient éco-aventurier. Il parcourt des centaines de kilomètres en kayak sur le sanctuaire Pelagos en Méditerranée, organise des ramassages de déchets avec les associations de la région et témoigne des dégâts causés par la pollution plastique en simultané sur les réseaux sociaux. Dans ce « journal de voyage », il dévoile la beauté fragile de la nature en photos et explique le pourquoi et le comment de nos pollutions humaines tout en proposant des alternatives accessibles à tout un chacun.
Alexandre Briano retrace, à l’aide de témoignages, de documents et d’articles de presse ces neuf mois d’élaboration d’une campagne d’élection municipale toulonnaise, entre juin 1976 et mars 1977. Elle aurait pu être d’une banalité n’intéressant qu’une infime partie des Toulonnais. A priori, la ville semblait vouloir reconduire au mieux l’équipe municipe sortante ou, au pire, la liste de gauche PCF-PS. Mais un ver fut introduit dans le fruit : la proposition de responsables politiques parisiens de vouloir, dans certaines villes, ouvrir les listes à d’autres opposants tels que les gaullistes de gauche. À Toulon, avec la proposition de faire participer le vice-amiral d’escadre Antoine Sanguinetti, dit Tony Carabine, la zizanie durant de longs mois s’installa.
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
J’ai utilisé le langage parlé des enfants Bab El Oued pour chanter l’Esplanade qui, en fait, est l’appendice greffé du faubourg après la démolition des portes de Bab El Oued. Le parler de tous les jours, agrémenté de mots italiens, espagnols et judéo-arabes propres à la communauté israélite qui, pour la plupart, venait de la casbah d’Alger. Ce langage né du brassage méditerranéen agrémenta la langue française que tenta et parvint à nous enseigner l’école de Jules Ferry. Oubliez la syntaxe et la grammaire française pour donner à ce récit toute son authenticité. J’espère que vous prendrez le même plaisir à lire ce petit livre que moi à l’écrire.
Le récit de vie de Stéphane Carbonnel est touchant de vérité. Il évoque l’apparition d’une légère schizophrénie qui va, au quotidien, forcément chambouler son existence jusque-là sans histoires. Entre doutes, séjours en hôpitaux, reprise d’une activité professionnelle et liens amicaux, l’auteur passe en revue tous les sentiments par lesquels il est passé. Ce livre est une forme de point final à un combat qu’il a mené de bout en bout avec courage et abnégation. Sans jamais se départir de qui il est et a toujours été…
Ce récit autobiographique est le kaléidoscope des mémoires d’une petite fille dont le rêve évanoui était de devenir « danseuse étoile »… Les chemins qu’elles empruntent semblent tourner sans cesse en rond alors que, inexorablement, ils évoluent en spirale vers la vérité inavouable : une enfance abusée.
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
Le regard poétiquement redoutable d'une petite fille trahie par la mère patrie à l'âge de 10 ans, témoin d'une guerre qui la poussera elle et sa famille à l'exil, en laissant dans le sillage de la mer son Pays d'Amour, les odeurs exotiques, les lumières éblouissantes, les sépultures de ses aïeux... Mais rien n'empêchera Rosalind de revenir en pensée dans un claquement d'ailes blanches étreindre de toutes ses forces son beau Pays à Elle que nul ne lui ravira jamais... Voici le plus bel hommage rendu à ses parents morts de chagrin à qui elle dédie de tout son coeur ce Devoir de Mémoire pour que brille à jamais le Souvenir de leurs vies brisées.