UN TOMBEAU POUR JEAN-PAUL SARTRE de Jacques ATLAN
Référence: L1649
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Emmanuel Levinas a joué un grand rôle au début du chemin philosophique de Sartre en lui faisant découvrir en 1930 (Sartre a 25 ans) les pensées de Husserl et de Heidegger. À la fin de la vie de Sartre, Levinas intervient à nouveau de façon décisive en influençant profondément Benny Lévy, l’ancien « Commandant Victor », chef de la Gauche Prolétarienne, ami de Sartre, et en train d’approfondir, sous la direction de Levinas, … le Talmud et la spiritualité hébraïque. Scandale alors pour beaucoup de « sartriens », y compris Simone de Beauvoir : l’ancien philosophe de l’athéisme parle désormais avec le plus grand respect de la Torah et des conceptions de la Tradition juive sur les existences successives d’un être humain …
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Emmanuel Levinas a joué un grand rôle au début du chemin philosophique de Sartre en lui faisant découvrir en 1930 (Sartre a 25 ans) les pensées de Husserl et de Heidegger. À la fin de la vie de Sartre, Levinas intervient à nouveau de façon décisive en influençant profondément Benny Lévy, l’ancien « Commandant Victor », chef de la Gauche Prolétarienne, ami de Sartre, et en train d’approfondir, sous la direction de Levinas, … le Talmud et la spiritualité hébraïque. Scandale alors pour beaucoup de « sartriens », y compris Simone de Beauvoir : l’ancien philosophe de l’athéisme parle désormais avec le plus grand respect de la Torah et des conceptions de la Tradition juive sur les existences successives d’un être humain … Toute la fin de la pièce suggère alors que le chemin de Sartre doit inclure absolument sa dernière philosophie, parfois si décriée, où la dimension spirituelle vient compléter et enrichir sa conception de la Liberté. La présente pièce de théâtre, qui évoque aussi la très grande amitié du peintre algérien Mostefa Negache pour Sartre et Simone de Beauvoir, fait partie de l’ensemble intitulé par Jacques Atlan Histoire des philosophes par le théâtre.
Dans la troisième de ses Méditations métaphysiques, Descartes, à partir de la présence, en notre esprit fini et imparfait, de l’idée d’un être Infini et Parfait, soutenait que cet être Infini et Parfait est obligatoirement la cause, en nous, de la présence de cette idée du Parfait. Malebranche a repris cela en disant que « la preuve de l’existence de Dieu la plus belle, la plus relevée, la plus solide…, c’est l’idée que nous avons de l’infini ». Cette remontée argumentée depuis le fini vers l’Infini, Jérémie Bocchi s’y essaie à son tour dans ce dialogue entre un promeneur qui se dit athée et un berger ami des philosophes.
Qui suis-je, où suis-je, où vais-je et d'où suis-je tiré ? écrivait VOLTAIRE dans la préface de son Poème sur le désastre de Lisbonne.
De temps à autre cette question a donné à réfléchir à l'auteur qui, au cours de son existence, a essayé de déceler certains repères lui permettant de la résoudre. Ces pages sont le résultat de ses méditations sur le sujet.
Certes le monde n’est pas simple. Mais il y a des limites à l’incohérence. Pourquoi l’homo sapiens ne cesse-t-il de saccager son environnement où des milliards d’autres êtres vivants ne lui ont rien demandé ? Et cet imbécile s’en prend maintenant à lui-même. Après les souris et les porcs, il veut s’« améliorer » grâce à sa dernière manie, la cybergénétique. Encore un cataclysme de plus en perspective. Le développement extravagant de la « science sans conscience » et l’expansion démographique incontrôlable semblent, inéluctablement, mener l’humanité vers sa fin. Le grotesque de cette situation, défiant même l’imagination, est un véritable enchantement. Il transforme le dégoût en dérision : c’est le rire du diable.
Il y a 500 ans, à l’automne 1513, Machiavel entreprenait la rédaction de son ouvrage le plus célèbre, Le Prince, encore édité de nos jours. Replaçant cet « opuscule » dans l’ensemble de la production littéraire du secrétaire florentin, l’auteur reconstitue un puzzle qui révèle, loin de son image traditionnelle, une œuvre militante au service de la République. Après avoir démasqué le « machiavélisme » des détracteurs du penseur italien, l’auteur nous présente la modernité de ce dernier, et souline les enseignements qui peuvent aujourd’hui encore, trouver un écho dans nos démocraties en crise.
« La File d’attente », titre énigmatique pour certains, approprié pour d’autres. Comment rester impassible face aux souvenirs, aux interrogations et surtout aux « coups de gueule » de l’auteur ? Un ouvrage qu’il faut parfois lire au deuxième degré mais aussi avec jubilation, tant il interpelle sur de nombreux sujets en laissant la porte ouverte aux réactions de chacun, à l’échange et à la communication. Nous n’en dévoilerons pas plus et vous laissons vous faire votre propre opinion… « C’était hier l’automne… »
Démocrite, dont le visage ci-contre a été imaginé par Rubens d’après des documents antiques, meurt en octobre de l’an 370 avant notre ère, à l’âge de 103 ans. Lorsque, à l’Académie, on apprend la mort du philosophe, loin de vouloir le célébrer, Platon s’emporte contre la doctrine de Démocrite. Il veut même faire acheter tous les exemplaires disponibles de ses cinquante-deux livres et les faire détruire. Les pythagoriciens Amycias et Clinias l’en dissuaderont. Vingt siècles plus tard, la science européenne rendra hommage avec admiration aux géniales anticipations de la théorie des atomes de Démocrite.
Sur l’infinitude d’un temps où s’allient la sagesse du passé et l’allant du futur, la « Passion » paraît être chantée tout au long des chapitres. Loin d’être une cause d’asservissement comme le considéraient les stoïciens, elle devient le moteur d’une force irremplaçable : source d’inspiration pour l’artiste, de motivation pour le chercheur, énergie du travail, outil de l’édification, la passion est pour l’Homme cette flamme qui transforme le rêve en une volonté inlassable capable de changer le cours de l’histoire, le sens de l’avenir.
Avec une philosophie où se mêlent poésie et spiritualité, cet ouvrage s’attache à éclairer toujours le côté le plus gai de l’astre qu’est notre vie.
Il y a suffisamment d'éléments solides dans le dossier OVNI pour ne pas laisser le moindre doute sur le fait qu'un phénomène intelligent se manifeste dans notre environnement, et ce, depuis longtemps, même si ses exhibitions sont incompatibles avec la logique et les dogmes scientifiques humains.
« C’était mieux avant »… Qui n’a pas entendu ou prononcé cette phrase devenue symptomatique. Symbolique même d’une nostalgie galopante, d’un nivellement vers le bas. Avec cet ouvrage : « Avant l’on disait bonjour », l’auteur Jean-Michel Barra va plus loin. L’intéressé évoque point par point ce passé pas si lointain que nous avons tous connu de près ou de loin. Ce temps où l’éducation était tout autre, où les rapports humains étaient sincères, où les valeurs du travail étaient respectées. Où le mot confiance supplantait le mot méfiance. Une époque bénie tout en simplicité. Pas celle des réseaux sociaux ou de la télé réalité. 48 pages vivifiantes qui en filigrane nous obligent à nous interroger. Sur nous-mêmes. Sur le monde qui nous entoure. Comment en sommes-nous arrivés là ?
Maminou vous confie ses petits trucs glanés au fil de jours.
Un pêle-mêle d’astuces que votre grand-mère n’a pu vous conter faute de temps, et manque d’écoute, la vie trépidante actuelle en est pour beaucoup la cause.
Détendez-vous, lisez, économisez un peu d’argent, par des trucs simples, respirez et vivez au rythme d’antan, le temps d’une lecture.
Dans ce petit essai, sorte de zoologie fantastique, les auteurs tentent de rapprocher les œuvres de deux personnages du XIXème siècle : l’un, d’origine portugaise, exprime son amour des bêtes dans 4 ouvrages d’allure scientifique mais quelque peu délirante. L’autre était un jeune poète, exprimant au contraire toute son agressivité contre l’univers animal : Isidore Ducasse - dit Lautréamont.
Emmanuel Levinas a joué un grand rôle au début du chemin philosophique de Sartre en lui faisant découvrir en 1930 (Sartre a 25 ans) les pensées de Husserl et de Heidegger. À la fin de la vie de Sartre, Levinas intervient à nouveau de façon décisive en influençant profondément Benny Lévy, l’ancien « Commandant Victor », chef de la Gauche Prolétarienne, ami de Sartre, et en train d’approfondir, sous la direction de Levinas, … le Talmud et la spiritualité hébraïque. Scandale alors pour beaucoup de « sartriens », y compris Simone de Beauvoir : l’ancien philosophe de l’athéisme parle désormais avec le plus grand respect de la Torah et des conceptions de la Tradition juive sur les existences successives d’un être humain …