Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
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Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront. Elles savent qu’elles recueilleront d’autres mots parce que rien n’est jamais fini. Les voilà, je vous les livre.
Sous l’œil bienveillant de sa maman, l’enfance de Jean fut très agréable. Insouciant des atrocités de la Seconde Guerre mondiale, sa vie se partageait entre les jeux avec ses camarades d’école et ses plongées dans la baie d’Agadir, inondée de soleil. Ce petit coin de France vivait alors en toute quiétude, en compagnie des Marocains, sous l’égide des autorités françaises. L’atmosphère y était paisible... Jusqu’à ce terrible jour du 29 février 1960, où un tremblement de terre a fait basculer la vie de Jean. Plus rien ne sera comme avant.
Ce recueil est un hommage à des travailleurs qui firent les Chantiers et la tuyauterie en particulier. Les initiateurs du projet ont choisi de mettre en « mémoire » tous ceux qui ont individuellement concouru au développement et à la défense de leurs outils de travail avec intelligence et pugnacité. Ils ont mis toutes leurs forces et tous leur savoir à sauvegarder une entreprise fleuron de l’industrie française. Dans ces pages, il y a cinquante ans d’histoire quotidienne dans toutes ses formes. Travail, social, syndical et politique, qui ont façonné un esprit si particulier de la tuyauterie, au point de devenir un atelier emblématique du Chantier. Trois thèmes sont développés dans cet ouvrage.
La présence au Niel – à partir de 1928 et jusqu’à la guerre – de Louis Renault et de son yacht, le Chryseis, a sans doute beaucoup contribué à rendre ce site digne du label de « petit port d’intérêt patrimonial » qui lui a été attribué en 2012. L’auteur de cette plaquette, ancienne présidente des Amis du Niel, s’est intéressée de ce fait à un aspect, jusqu’ici négligé, de l’activité de Louis Renault. La patiente reconstitution (à partir de documents originaux) de cette période nous introduit dans la vie du petit village de paysans pêcheurs que Giens était alors. On en apprend aussi un peu plus sur la personnalité, diverse et attachante, de Louis Renault, défenseur de l’Environnement quand il le fallait..
Deux mois avant la Coupe du Monde de Football de 2014, je décidai de déposer mes valises dans un hôtel du quartier de Copacabana, à Rio de Janeiro, qui serait mon QG d’où j’allais arpenter, objectif à la main, une ville dans tous ses états et sous tous les angles : sa Nature époustouflante comme le Pain de Sucre, le Corcovado orné de son Christ Rédempteur, ou la plage mythique de Copacabana ; son architecture aux mille contrastes florissant un centre-ville de ses buildings vitrés, ses favelas tenant vaillamment debout avec des matériaux de récupération, dévorant, par leur étendue, presque toutes les collines de Rio ; son tourisme médiatique « en cage », dressé au mutisme, pour accueillir les supporters venus assister à la Coupe du Monde de Football...
« J’admire la façon dont vous savez donner vie aux moindres objets d’une maison, que vous parvenez à faire goûter presque physiquement. À vous lire, je sens l’odeur de l’entrée de Viazac, ou de sa cuisine. J’entends les bruits de l’étage, je reconnais les pas d’oncle Roger, je frissonne au vent qui balaie la terrasse… Il y a, dans votre façon d’écrire, une sorte de réalisme à la fois méticuleux et léger. Vous dites les choses avec une densité étonnante. Vos phrases, précises et nettes, semblent s’enchaîner à toute vitesse mais les termes en sont si exactement choisis – parce qu’intensément sentis – qu’elles contiennent une prodigieuse richesse descriptive, inaperçue en première lecture. On est pris, ensorcelé et c’est pourquoi on y revient...
Différentes histoires belles, surprenantes, étranges, drôles et cocasses. De cette belle histoire de santons d’Auriol, unique en son genre. Quelle explication peut-on donner aux phénomènes paranormaux auxquels certaines personnes sont confrontées au cours de leur vie ? De cette personne qui ne pensait pas à mal en vendant ses fruits et légumes et pourtant… Par ce pêcheur généreux invitant ses amis à un repas un peu spécial. À ce monstre marin qui avait défrayé la chronique sur les bords de la Méditerranée. Au monde marin et sa sirène légendaire dans la plus belle baie de Marseille. De ce chien victime malgré lui de son manque d’efficacité. Et bien d’autres…
Nous approchons des huit milliards d’êtres humains sur la planète Terre. Entre microcosme et macrocosme, se trouve l’Êtreté. Qui sommes-nous ? Que faisons-nous dans cet Univers méconnu ?
Retraité dans le sud de la France, natif de la Somme où s’est déroulée la célèbre bataille de 1916, Romain BRIERE petit-fils de Poilu, s’est toujours senti concerné par la Grande Guerre.
En allant sur la tombe de son grand-père en 2010, il découvre un procès-verbal d’abandon datant de 2008 pour une reprise de concession en 2011 sans avoir été contacté.
C’est de là que sont nées sa révolte et sa volonté de faire savoir ce qu’ont vécu les Poilus.
Son livre est une fresque de la Grande Guerre 1914-1918.
Un récit autobiographique de Marcel Guérin, sous la plume de Gislaine Ariey, écrivain biographe.
Le « petit Marcel » toque aux portes de la vie un soir d’avril 1940, en pleine débâcle de l’armée française. Ensuite, rien ne se passe comme prévu ; le mordant de l’existence et les tocades du destin s’en donnent à cœur joie.
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
En 2021, Alban Mauzac réalise son rêve grâce à l’Expédition Pelagos : il devient éco-aventurier. Il parcourt des centaines de kilomètres en kayak sur le sanctuaire Pelagos en Méditerranée, organise des ramassages de déchets avec les associations de la région et témoigne des dégâts causés par la pollution plastique en simultané sur les réseaux sociaux. Dans ce « journal de voyage », il dévoile la beauté fragile de la nature en photos et explique le pourquoi et le comment de nos pollutions humaines tout en proposant des alternatives accessibles à tout un chacun.
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.