Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
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Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront. Elles savent qu’elles recueilleront d’autres mots parce que rien n’est jamais fini. Les voilà, je vous les livre.
Ma vie, consacrée à une activité professionnelle débordante, s’éclaire d’une embellie soudaine : une rencontre, un sourire, peut-être des perspectives d’avenir… Très vite, l’éclaircie poussée par les vents de la discorde s’éloigne. Une naissance inattendue, le sourire d’un bébé innocent, annonceraient-ils le retour de l’espoir ? Mais la rupture gronde, le couple se casse. Janus intransigeant kidnappe mon enfant qui s’attache de plus en plus à moi. Une justice malentendante et malvoyante, prisonnière de ses multiples faiblesses et de ses préjugés, m’écarte de lui. L’amour paternel est fort et une lutte inégale s’engage contre cette justice frileuse qui m‘impose une attente infernale. Mon fils, 2 ans, grandira-t-il loin de moi ?
J’ai utilisé le langage parlé des enfants Bab El Oued pour chanter l’Esplanade qui, en fait, est l’appendice greffé du faubourg après la démolition des portes de Bab El Oued. Le parler de tous les jours, agrémenté de mots italiens, espagnols et judéo-arabes propres à la communauté israélite qui, pour la plupart, venait de la casbah d’Alger. Ce langage né du brassage méditerranéen agrémenta la langue française que tenta et parvint à nous enseigner l’école de Jules Ferry. Oubliez la syntaxe et la grammaire française pour donner à ce récit toute son authenticité. J’espère que vous prendrez le même plaisir à lire ce petit livre que moi à l’écrire.
Olivier est enlevé à Niamey alors qu’il était venu rendre visite, avec son épouse Laura, à leurs filleuls dans le cadre de l’association « Aide et Action ». Pendant six mois il sera l’otage d’AQMI dans le Nord du Mali. Deux geôliers se relaieront une semaine sur deux pour le « surveiller » en plein désert : l'un est un fou furieux avec lequel aucune communication n’est possible, l'autre pourrait être son fils... c’est pourtant un terroriste qui opère au Maroc. Olivier, ignorant son devenir, veut laisser une trace de son parcours à l’intention de ses descendants. Il laisse aussi un « Petit Traité de philosophie » personnel. « Destinées croisées » retrace la vie et la rencontre de Mohamed et d’Olivier.
Ce petit personnage très attachant, fille aînée de Tatiana, vous séduira par sa spontanéité, sa gentillesse, son intelligence hors du commun. Effrontée, lucide, elle n’en est pas moins une peste qui fait l’unanimité autour d’elle. Sa fragilité, ses émotions à fleur de peau, sa maîtrise en toutes circonstances en font une adorable fillette qui ravira le cœur de Jeannot. Son défaut de langue, ses yeux de braise et ses pitreries vous feront passer de merveilleux moments de lecture. Junior est une surdouée heureuse de vivre… Mais, elle prendra une décision immédiate, radicale, qui va affoler son entourage, confrontée à une situation qu’elle n’accepte pas. L'émotion est au rendez-vous. Le rire aussi.
Dans cet ouvrage la thérapeute Christine Toulemonde évoque ses années d’enfance, de jeunesse, tous ses souvenirs heureux et douloureux. Ses témoignages émouvants, son existence atypique et riche en péripéties ne peuvent nous laisser indifférents.
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
Après avoir participé, avec Antoine Boncompagni et Gérard Piasco, à l’écriture du livre « L’Histoire des Sapeurs-pompiers de Toulon », Alain Pellegrino a voulu essayer de se lancer seul dans l’aventure de l’élaboration d’un nouveau chapitre sur un sujet qui lui tient à cœur : le Sauvetage et Déblaiement.
Ce défi, qu’il s’est donné arrivé à terme, il pensait en avoir terminé avec l’écriture ! Mais le virus le reprend car il se rend compte qu’il y a encore de très nombreuses histoires à raconter sur les sapeurs-pompiers de Toulon et il se remet au travail pour aboutir à ce troisième livre.
S’il y a bien un domaine prépondérant qui a connu de nombreux changements, et pas forcément positifs, c’est bien celui de la scolarité. Des méthodes d’enseignement en passant par le système de notation, sans oublier les relations avec les élèves et les parents…
« Il y a des flics bien singuliers », chantait Brassens. Fabrice MARTINEZ, à n’en pas douter, fait partie de ceux-là, lui qui murmure à l’oreille des grands singes. Il se voyait lointain explorateur et finit par intégrer les rangs de la police, par vocation. Mais une violente passion le cheville au corps : les gorilles ! Une femme admirable, Diane FOSSEY, se bat au Rwanda pour empêcher leur disparition. Elle meurt assassinée de six coups de machette, le 26 décembre 1985. Dès le lendemain, Fabrice fonde l’Association Gorilla et s’envole pour le Rwanda où il plante sa tente au pied d’un volcan, sur le territoire des gorilles de montagne. En Afrique, il est désormais connu comme le policier blanc qui veut sauver les gorilles.
Camille est l’aînée de nos petits-enfants. Elle adore se déguiser et, ce jour-là, elle s’est coiffée d’un petit chapeau rond et fleuri qui lui sied à merveille...
Deux mois avant la Coupe du Monde de Football de 2014, je décidai de déposer mes valises dans un hôtel du quartier de Copacabana, à Rio de Janeiro, qui serait mon QG d’où j’allais arpenter, objectif à la main, une ville dans tous ses états et sous tous les angles : sa Nature époustouflante comme le Pain de Sucre, le Corcovado orné de son Christ Rédempteur, ou la plage mythique de Copacabana ; son architecture aux mille contrastes florissant un centre-ville de ses buildings vitrés, ses favelas tenant vaillamment debout avec des matériaux de récupération, dévorant, par leur étendue, presque toutes les collines de Rio ; son tourisme médiatique « en cage », dressé au mutisme, pour accueillir les supporters venus assister à la Coupe du Monde de Football...
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.