Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
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Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront. Elles savent qu’elles recueilleront d’autres mots parce que rien n’est jamais fini. Les voilà, je vous les livre.
Rodriguez est un bagnard en fuite sur le littoral varois, de Toulon jusqu’à Roquebrune. Arnaud est un campagnard de Figanières. Ils sont contemporains (1848 / 1851). Tous deux vont commettre des crimes. Malgré le ton picaresque des récits, les faits sont historiques.
Sept bagnards mettent les voiles.
Frederico Rodriguez, ancien soldat espagnol, tente la vie de colon à Constantine, pays nouvellement conquis par la France. Il est pris lors d’une tentative de vol à main armée et envoyé au bagne de Toulon. Il décide de profiter de l’atmosphère révolutionnaire de 1848 pour s’évader par la mer avec six autres forçats. Les fugitifs accostent sur le littoral des Maures...
Dans « Le Collège de Neptune », Claude ROUQUETTE évoque les relations historiques des Cévennes avec la mer. L'auteur raconte l'histoire des professeurs et des élèves de marine d'une des premières - École Navale - établies à Alès et à Vannes (1786-1792), il nous entraîne à la découverte du patrimoine maritime atypique et méconnu de l'arrière-pays gardois dans une narration au long cours de ses mémoires de mer cévenoles. Il a collaboré à l'écriture de la longue et inédite préface du « Journal de bord » de Charles Darwin sous la direction du Professeur Patrick Tort.
Ayant eu la chance de vivre vingt années passionnantes en Afrique, l'auteur a voulu au travers de cet ouvrage faire revivre quelques épisodes drôles, cocasses ou plus dramatiques qui ont marqué ses séjours dans cinq pays différents entre 1984 et 2014. Mais aussi faire partager sa passion pour un continent que peu d’Européens connaissent et apprécient, la plupart d'entre eux ayant une vision déformée par les médias ou le discours ambiant. Observateur attentif d'un monde africain en pleine évolution, il a au travers de ses récits fait revivre une galerie de portraits hauts en couleurs de personnages caractéristiques de cette époque.
« Ton fils est un âne… » Cette affirmation qui semblait sceller le destin du jeune Jean-Pierre se révélera bien inexacte ! Dans les années cinquante, ce petit Marseillais, débrouillard et curieux, nous entraîne du quartier du Panier au moulin du Logis-Neuf, en passant par le Vieux-Port et les ruelles de la grande ville. À travers anecdotes et souvenirs racontés avec humour, on suit avec plaisir les aventures de l’enfant qui, longtemps, s’est cru bon à rien. Malgré les vicissitudes qui se succéderont dans sa vie, l’optimisme typique des gens du Sud ne sera jamais loin et Jean-Pierre, dont on détectera finalement un fort QI, fera la démonstration de ses capacités en devenant pilote d’aéronautique navale dans la marine et plus tard pilote instructeur dans la vie civile.
C’est un bien bel anniversaire que ces 60 ans d’Aqua Lung, la Spirotechnique. Il nous ramène en 1947, lorsque la société Air Liquide créa la première entreprise de plongée dont le but était d’industrialiser et de commercialiser les idées du commandant Cousteau. L’ère de la plongée sportive et de loisir était née. Avec Air Liquide, nous étions dans le domaine de la maîtrise des risques, la technique industrielle étant mise à disposition des pionniers de la plongée sous-marine. Avec Jacques Yves Cousteau, nous entrions dans le domaine de l’image et de la communication
Elle a toujours aimé relater toutes ces journées qui passent sans lui. Elle aurait voulu aller le chercher, le ramener à elle... Ils étaient si bien tous les deux, même vieux, même moins beaux.
Il était son amour, elle était sa mémoire.
Embrasse-moi lui disait-elle. Et toi répondait-il, continue à me raconter...
Peppe Russo. C’est comme ça que l’on m’appelle. Je suis né à Tunis, le lundi 1er juin 1931, à 4 heures du matin, d’une famille sicilienne de Castellammare del Golfo, dans la province de Trapani, lieu de naissance de mon père et ma mère.
Encore aujourd’hui, s’il est un nom connu de la communauté militaire maritime dans le monde entier, c’est bien celui de MAHAN. Ses théories influèrent toutes les marines du monde vers la fin du XIXème siècle, autour du thème central de la Puissance maritime. La lecture de ses ouvrages, notamment celle de l’Influence de la Puissance maritime dans l’histoire, demeure cependant une affaire de spécialistes.
Le 12 Novembre 1941 vers 13 heures, par un temps exécrable j’ai assisté, avec mes copains du Camp 4, du Groupement 18 des Chantiers de la Jeunesse Française du Vigan dans le Gard, à la chute de l’avion quadrimoteur qui percuta la montagne dans la forêt et s’embrase au Col du Minier dans le massif de l’Aigoual. Dans des conditions atmosphériques abominables, nous y trouverons sept cadavres. Le soir, j’écrivis une longue lettre à mes parents, relatant la mort du Général Huntziger et des membres de sa suite. J’ai conservé tout le courrier de mes parents et de moi-même, de l’époque de mes vingt ans. En 1948, M. Pierre Mazier historien vient me voir, s’intéresse à mes documents et photos en ma possession.
« Dans les yeux de ma fille » est le récit poignant d’une mère, Noëlle BARBIÉRA, confrontée à l’impensable : voir sa fille fauchée par une tumeur cérébrale. L’autrice livre avec justesse un témoignage bouleversant de courage, d’espoir et d’amour maternel, porté par une plume sensible et lucide. De la sidération initiale à la lente reconstruction, ce livre explore la résilience face au chaos médical, la révolte face aux défaillances du système, et la puissance indéfectible du lien mère-fille. Une œuvre intime et universelle, miroir de toutes les douleurs silencieuses, à lire comme un cri du cœur.
Rien ne semblait prédestiner Christian Barral-Poignard à devenir un combattant coincé dans des moments courts mais prenants et dangereux. Pourtant, les hasards et les violences de la vie ont fait que l’intéressé a été appelé sous les drapeaux pour prendre part à la guerre d’Indochine en 1953. Son existence va alors être totalement bouleversée en vie militaire avec une incidence sur sa vie privée : mariage avec Paulette Poignard, lycéenne française métis quarteronne jaune. Mais ses capacités d’adaptation et de réaction feront de lui un guerrier récompensé par de multiples médailles et distinctions mineures dans la collection décorative mais majeure pour Lui en Médaille Militaire : la seule non polluée par les politicards des partis.
Je m’appelle Ilham. Ilham Safieddine. Je suis libanaise, et j’aurai bientôt cinquante-huit ans.
Je rêvais beaucoup, je ne rêve plus. Mes rêves, je les mets dans ce livre qui est maintenant entre vos mains. Il les contient tous.
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.