Avant, l’on disait : “Bonjour !...” de Jean-Michel BARRA
Référence: L1792
7,00 €
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« C’était mieux avant »… Qui n’a pas entendu ou prononcé cette phrase devenue symptomatique. Symbolique même d’une nostalgie galopante, d’un nivellement vers le bas. Avec cet ouvrage : « Avant l’on disait bonjour », l’auteur Jean-Michel Barra va plus loin. L’intéressé évoque point par point ce passé pas si lointain que nous avons tous connu de près ou de loin. Ce temps où l’éducation était tout autre, où les rapports humains étaient sincères, où les valeurs du travail étaient respectées. Où le mot confiance supplantait le mot méfiance. Une époque bénie tout en simplicité. Pas celle des réseaux sociaux ou de la télé réalité. 48 pages vivifiantes qui en filigrane nous obligent à nous interroger. Sur nous-mêmes. Sur le monde qui nous entoure. Comment en sommes-nous arrivés là ?
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« C’était mieux avant »… Qui n’a pas entendu ou prononcé cette phrase devenue symptomatique. Symbolique même d’une nostalgie galopante, d’un nivellement vers le bas. Avec cet ouvrage : « Avant l’on disait bonjour », l’auteur Jean-Michel Barra va plus loin. L’intéressé évoque point par point ce passé pas si lointain que nous avons tous connu de près ou de loin. Ce temps où l’éducation était tout autre, où les rapports humains étaient sincères, où les valeurs du travail étaient respectées. Où le mot confiance supplantait le mot méfiance. Une époque bénie tout en simplicité. Pas celle des réseaux sociaux ou de la télé réalité. 48 pages vivifiantes qui en filigrane nous obligent à nous interroger. Sur nous-mêmes. Sur le monde qui nous entoure. Comment en sommes-nous arrivés là ? Et surtout pourra-t-on retrouver un jour l’état de grâce des années 60-70 ? Un livre à mettre entre toutes les mains car le futur se construit à partir du passé et des enseignements que l’on en a tirés…
Au cours de l’histoire, de nombreuses prophéties datées se sont réalisées et sans devenir le défenseur des Oracles, sibylles ou visionnaires Maya, je pense que l’âge Itza, de lumière et de sagesse, est sur le point de naître. Cette prédiction indique qu’à partir de 2012, l’homme va progresser sur le plan de la conscience. Elle revient à dire que lorsque l’on comparera la période de 26 000 ans après 2012, avec la précédente, on se rendra compte que les hommes auront fait un bond en avant en matière de spiritualité.
J’ignorai, il y a peu de temps encore, qu’un compte à rebours machiavélique avait commencé et que très bientôt j’assisterai impuissant à la fin d’un des plus vieux calendriers de l’histoire mais aussi à la fin d’un monde.
Dans ce petit essai, sorte de zoologie fantastique, les auteurs tentent de rapprocher les œuvres de deux personnages du XIXème siècle : l’un, d’origine portugaise, exprime son amour des bêtes dans 4 ouvrages d’allure scientifique mais quelque peu délirante. L’autre était un jeune poète, exprimant au contraire toute son agressivité contre l’univers animal : Isidore Ducasse - dit Lautréamont.
Qui suis-je, où suis-je, où vais-je et d'où suis-je tiré ? écrivait VOLTAIRE dans la préface de son Poème sur le désastre de Lisbonne.
De temps à autre cette question a donné à réfléchir à l'auteur qui, au cours de son existence, a essayé de déceler certains repères lui permettant de la résoudre. Ces pages sont le résultat de ses méditations sur le sujet.
Il y a suffisamment d'éléments solides dans le dossier OVNI pour ne pas laisser le moindre doute sur le fait qu'un phénomène intelligent se manifeste dans notre environnement, et ce, depuis longtemps, même si ses exhibitions sont incompatibles avec la logique et les dogmes scientifiques humains.
« Il est des êtres qui contemplent le ciel comme s’ils faisaient une promesse continuelle et inviolable, imperméable à toutes les monstruosités humaines, celle de poursuivre le chemin vers plus d’humanité et d’amour, ne baissant jamais les bras, bien que parfois se sentant si lourds d’objectivité et de clairvoyance sur les affres planétaires des mondes mutants et tous les effondrements de l’âme humaine ou les tentatives d’anéantissement. »
Si j’ai choisi de vous parler humblement de Jacques Brel et de son œuvre, c’est qu’ils sont indissociables et qu’ils s’inscrivent dans « l’intemporalité des mondes visibles et invisibles » et de l’impermanence. Ecouter Brel c’est forcément le connaître un peu, le sentir… Cet être au grand cœur m’a séduit, que je devinais tendu comme un nerf vers le ciel, si « espérant » qu’il quittait déjà ce monde de son vivant. Je me demande encore s’il n’a pas refusé inconsciemment de grandir, tout simplement pour garder l’enfance qu’on lui avait dérobée.
Certes le monde n’est pas simple. Mais il y a des limites à l’incohérence. Pourquoi l’homo sapiens ne cesse-t-il de saccager son environnement où des milliards d’autres êtres vivants ne lui ont rien demandé ? Et cet imbécile s’en prend maintenant à lui-même. Après les souris et les porcs, il veut s’« améliorer » grâce à sa dernière manie, la cybergénétique. Encore un cataclysme de plus en perspective. Le développement extravagant de la « science sans conscience » et l’expansion démographique incontrôlable semblent, inéluctablement, mener l’humanité vers sa fin. Le grotesque de cette situation, défiant même l’imagination, est un véritable enchantement. Il transforme le dégoût en dérision : c’est le rire du diable.
Après Un Tombeau pour Jean-Paul Sartre paru en janvier 2015 et Scènes de la vie de Spinoza, parut en mai 2015, voici, un nouvel ouvrage dans la Collection « Histoire des Philosophes par le théâtre » : RENÉ DESCARTES, Tribulations d’un cavalier français Le lecteur découvrira les relations amicales entre Descartes et la Princesse Élisabeth de Bohême, les relations orageuses entre Descartes et le mathématicien Roberval ; il assistera, à Paris, en 1647, à un entretien plein d’estime entre Descartes et Pascal, puis à une rencontre, sur fond de désaccord philosophique profond, entre Descartes et Hobbes.
À Wattrelos, dans la châtellenie de Lille, les copés in deux (les Wattrelosiens) célèbrent Berlouffes. Aux Amis, bistrot de la place, le Zot, un étrange bonhomme, raconte ce village du comté de Flandre lié à l’abbaye de St Bavon de Gand. Les comtes de Flandre tiennent alors tête à leurs suzerains, les rois de France. Tel Ferrand de Portugal, l’un des Géants de la ville ! Autrefois Aux Amis s’appelait Au Cheval volant. Tel celui d’Adenet le Roi (Cléomadès, 1280), ménestrel du comte Gui de Dampierre qui impose le Lion sur ses armoiries. Telle cette maison d’édition du Cheval-Volant, point de chute à Paris des Réformés. Avec l’émergence de l’imprimerie, les satires d’Érasme, les thèses de Luther (1517) et la doctrine de Calvin se répandent dans une population lasse du système.
L’archet… c’est une portion de temps, une portion d’espace, une portion d’esprit. L’archet est le segment visible d’une musique qui se poursuit vers l’infini. Il pourrait s’apparenter à une règle, que je prends comme outil pour tracer la portée… ces cinq lignes qui n’ont de limites que celles de la page qui les retient. En réalité, comme les notes que l’on y dépose, ces cinq lignes se prolongent beaucoup plus loin. Car la musique ne s’arrête ni au bout d’une ligne, ni au bout des crins de l’archet qui les fait naître.
Véronique Mas, pilote de ligne, philosophe, poète et musicienne, garde les pieds sur le sol de sa Provence natale et l’esprit résolument tourné vers le ciel.
« C’était mieux avant »… Qui n’a pas entendu ou prononcé cette phrase devenue symptomatique. Symbolique même d’une nostalgie galopante, d’un nivellement vers le bas. Avec cet ouvrage : « Avant l’on disait bonjour », l’auteur Jean-Michel Barra va plus loin. L’intéressé évoque point par point ce passé pas si lointain que nous avons tous connu de près ou de loin. Ce temps où l’éducation était tout autre, où les rapports humains étaient sincères, où les valeurs du travail étaient respectées. Où le mot confiance supplantait le mot méfiance. Une époque bénie tout en simplicité. Pas celle des réseaux sociaux ou de la télé réalité. 48 pages vivifiantes qui en filigrane nous obligent à nous interroger. Sur nous-mêmes. Sur le monde qui nous entoure. Comment en sommes-nous arrivés là ?