Avant, l’on disait : “Bonjour !...” de Jean-Michel BARRA
Référence: L1792
6,00 €
TTC
« C’était mieux avant »… Qui n’a pas entendu ou prononcé cette phrase devenue symptomatique. Symbolique même d’une nostalgie galopante, d’un nivellement vers le bas. Avec cet ouvrage : « Avant l’on disait bonjour », l’auteur Jean-Michel Barra va plus loin. L’intéressé évoque point par point ce passé pas si lointain que nous avons tous connu de près ou de loin. Ce temps où l’éducation était tout autre, où les rapports humains étaient sincères, où les valeurs du travail étaient respectées. Où le mot confiance supplantait le mot méfiance. Une époque bénie tout en simplicité. Pas celle des réseaux sociaux ou de la télé réalité. 48 pages vivifiantes qui en filigrane nous obligent à nous interroger. Sur nous-mêmes. Sur le monde qui nous entoure. Comment en sommes-nous arrivés là ?
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
« C’était mieux avant »… Qui n’a pas entendu ou prononcé cette phrase devenue symptomatique. Symbolique même d’une nostalgie galopante, d’un nivellement vers le bas. Avec cet ouvrage : « Avant l’on disait bonjour », l’auteur Jean-Michel Barra va plus loin. L’intéressé évoque point par point ce passé pas si lointain que nous avons tous connu de près ou de loin. Ce temps où l’éducation était tout autre, où les rapports humains étaient sincères, où les valeurs du travail étaient respectées. Où le mot confiance supplantait le mot méfiance. Une époque bénie tout en simplicité. Pas celle des réseaux sociaux ou de la télé réalité. 48 pages vivifiantes qui en filigrane nous obligent à nous interroger. Sur nous-mêmes. Sur le monde qui nous entoure. Comment en sommes-nous arrivés là ? Et surtout pourra-t-on retrouver un jour l’état de grâce des années 60-70 ? Un livre à mettre entre toutes les mains car le futur se construit à partir du passé et des enseignements que l’on en a tirés…
Certes le monde n’est pas simple. Mais il y a des limites à l’incohérence. Pourquoi l’homo sapiens ne cesse-t-il de saccager son environnement où des milliards d’autres êtres vivants ne lui ont rien demandé ? Et cet imbécile s’en prend maintenant à lui-même. Après les souris et les porcs, il veut s’« améliorer » grâce à sa dernière manie, la cybergénétique. Encore un cataclysme de plus en perspective. Le développement extravagant de la « science sans conscience » et l’expansion démographique incontrôlable semblent, inéluctablement, mener l’humanité vers sa fin. Le grotesque de cette situation, défiant même l’imagination, est un véritable enchantement. Il transforme le dégoût en dérision : c’est le rire du diable.
Dans ce petit essai, sorte de zoologie fantastique, les auteurs tentent de rapprocher les œuvres de deux personnages du XIXème siècle : l’un, d’origine portugaise, exprime son amour des bêtes dans 4 ouvrages d’allure scientifique mais quelque peu délirante. L’autre était un jeune poète, exprimant au contraire toute son agressivité contre l’univers animal : Isidore Ducasse - dit Lautréamont.
À Wattrelos, dans la châtellenie de Lille, les copés in deux (les Wattrelosiens) célèbrent Berlouffes. Aux Amis, bistrot de la place, le Zot, un étrange bonhomme, raconte ce village du comté de Flandre lié à l’abbaye de St Bavon de Gand. Les comtes de Flandre tiennent alors tête à leurs suzerains, les rois de France. Tel Ferrand de Portugal, l’un des Géants de la ville ! Autrefois Aux Amis s’appelait Au Cheval volant. Tel celui d’Adenet le Roi (Cléomadès, 1280), ménestrel du comte Gui de Dampierre qui impose le Lion sur ses armoiries. Telle cette maison d’édition du Cheval-Volant, point de chute à Paris des Réformés. Avec l’émergence de l’imprimerie, les satires d’Érasme, les thèses de Luther (1517) et la doctrine de Calvin se répandent dans une population lasse du système.
« La File d’attente », titre énigmatique pour certains, approprié pour d’autres. Comment rester impassible face aux souvenirs, aux interrogations et surtout aux « coups de gueule » de l’auteur ? Un ouvrage qu’il faut parfois lire au deuxième degré mais aussi avec jubilation, tant il interpelle sur de nombreux sujets en laissant la porte ouverte aux réactions de chacun, à l’échange et à la communication. Nous n’en dévoilerons pas plus et vous laissons vous faire votre propre opinion… « C’était hier l’automne… »
Rien ne vaut la vie, pas même son sacrifice sur l'autel de ce qu'on croit être sa dignité, ni la consumer à en améliorer le confort. L'homme ne prend la mesure de ces vanités qu'au crépuscule naturel de l'existence et la conscience d'être la seule créature terrestre à se savoir en sursis, le temps de réinventer le réel, met à mal sa résignation à se considérer comme un banal agencement de particules. Dès lors, seule la foi religieuse ou profane en un principe d'éternité peut apaiser chez lui ce tourment à nul autre pareil, un transport auquel il s'abandonne volontiers, lorsqu'il croit toucher du doigt ou de la raison la manifestation, même ténue, de ce principe... ou lorsque son sablier à la côte d'alerte le presse de sonder l'indicible.
Après La Mémoire de Pythagore, la Collection La Méditerranée des philosophes se poursuit avec des scènes de la vie de sept Présocratiques : Anaximandre et Anaximène de Milet, Xénophane de Colophon, Parménide et Zénon d’Élée, Héraclite d’Éphèse et Empédocle d’Agrigente. L’ouvrage débute aux environs de l’an 580 avant notre Ère et se termine aux alentours de l’an 435, quelques années avant la naissance de Platon. Anaximandre était très populaire à Sparte parce qu’il y avait réalisé un cadran solaire pour l’Agora de la ville ; en astronomie, il étudia « le cercle des éclipses », ce que nous nommons « l’écliptique ».
Après avoir publié quinze livres aux Presses du Midi, et quelques autres ouvrages chez d’autres éditeurs, Jacques Atlan entreprend ici d’éclairer plusieurs étapes de son itinéraire. Comment de la forte sympathie pour la non-violence de Gandhi, il est passé, sous l’influence de la révolution culturelle chinoise (dont à l’époque, on ne connaissait pas le terrible coût humain) à l’adhésion à la violence révolutionnaire.
Qui suis-je, où suis-je, où vais-je et d'où suis-je tiré ? écrivait VOLTAIRE dans la préface de son Poème sur le désastre de Lisbonne.
De temps à autre cette question a donné à réfléchir à l'auteur qui, au cours de son existence, a essayé de déceler certains repères lui permettant de la résoudre. Ces pages sont le résultat de ses méditations sur le sujet.
Dans la troisième de ses Méditations métaphysiques, Descartes, à partir de la présence, en notre esprit fini et imparfait, de l’idée d’un être Infini et Parfait, soutenait que cet être Infini et Parfait est obligatoirement la cause, en nous, de la présence de cette idée du Parfait. Malebranche a repris cela en disant que « la preuve de l’existence de Dieu la plus belle, la plus relevée, la plus solide…, c’est l’idée que nous avons de l’infini ». Cette remontée argumentée depuis le fini vers l’Infini, Jérémie Bocchi s’y essaie à son tour dans ce dialogue entre un promeneur qui se dit athée et un berger ami des philosophes.
Dans cet essai sur le thème de l’avortement, l’auteur s’appuie, dans un premier temps, sur une expérience passionnelle douloureuse et sociétale pour exprimer un certain nombre de remarques. Elle soulève un problème très important et mal cerné en 2015, qu’elle aborde en tant que pharmacienne d’officine : l’utilisation de la pilule dite « du lendemain » (contraceptif d’urgence) comme contraceptif régulier, avec tous les dangers auxquels s’exposent les jeunes filles mal informées sur la contraception.
« C’était mieux avant »… Qui n’a pas entendu ou prononcé cette phrase devenue symptomatique. Symbolique même d’une nostalgie galopante, d’un nivellement vers le bas. Avec cet ouvrage : « Avant l’on disait bonjour », l’auteur Jean-Michel Barra va plus loin. L’intéressé évoque point par point ce passé pas si lointain que nous avons tous connu de près ou de loin. Ce temps où l’éducation était tout autre, où les rapports humains étaient sincères, où les valeurs du travail étaient respectées. Où le mot confiance supplantait le mot méfiance. Une époque bénie tout en simplicité. Pas celle des réseaux sociaux ou de la télé réalité. 48 pages vivifiantes qui en filigrane nous obligent à nous interroger. Sur nous-mêmes. Sur le monde qui nous entoure. Comment en sommes-nous arrivés là ?