Que feriez-vous si brusquement vous réalisiez la fragilité de la vie ? Si le hasard ou la fatalité, qui sait, enrayait d’un grain de sable les rouages bien huilés de votre quotidien ?
Que feriez-vous si brusquement vous réalisiez la fragilité de la vie ? Si le hasard ou la fatalité, qui sait, enrayait d’un grain de sable les rouages bien huilés de votre quotidien ? Si l’évidence de votre condition de mortel venait bousculer vos habitudes, renverser vos certitudes ? Si un fantôme prenait place à l’arrière de votre voiture, vous observant avec insistance ? Jusqu’où iriez-vous, dans quelle direction, vers quelles rencontres ?
Que feriez-vous si brusquement vous réalisiez la fragilité de la vie ? Si le hasard ou la fatalité, qui sait, enrayait d’un grain de sable les rouages bien huilés de votre quotidien ?
« Comme mû par un sixième sens, il se tourna brutalement et aperçut la silhouette revêtue d’un ample imperméable sombre ; la tête recouverte d’un casque de moto intégral qui masquait ses traits. Horace sursauta et, subitement, prit peur. Des gouttes de sueur inondèrent son front et il ressentit des picotements désagréables le long de sa colonne vertébrale. Il sut à ce moment précis qu’il allait mourir ! »
Le lecteur accompagne Alexandre Todomalevitch dans son équipée pour fuir l’URSS dont la politique économique ne lui permettait pas de créer et développer l’entreprise de produits chimiques qu’il voulait.
Qui est cette jeune femme ? D’où vient-elle ? Pourquoi est-elle morte à Cagnes-sur-Mer ? L’enquête démarre sur ces questions, sans pression des médias, ni de la hiérarchie qui classerait bien le dossier. Après tout, il s‘agit d’une inconnue que personne ne réclame ! Il ne reste plus que le travail de fourmi de toute une équipe pour tenter de résoudre cette affaire singulière. Et découvrir une vérité qui laissera le commissaire Dupin insatisfait.
Chantal Losfeld, originaire du Nord de la France a commencé à écrire en faisant deux biographies sur les Sunlights, groupe mythique des années 70. Elle a toujours baigné dans les livres avec des parents libraires. Plus tard, son père devint l’éditeur des Surréalistes. Son huitième récit, qui relate la perspicacité d’un inspecteur de police pour trouver l’assassin de personnes innocentes, vient étayer une collection de petits romans variés et faciles à lire.
Les péripéties surprenantes d’une navigation à la voile dans la mer Tyrrhénienne tournent à l’enquête sur un trafic humain déconcertant mené par un équipage composite, haut en couleurs. Cette enquête connait des rebondissements successifs entrelardés d’aspects secrets ou méconnus des îles toscanes, des côtes ligures, corses ou provençales dans cette contrée de passage immémorial qu’est la Méditerranée, propre à la méditation sur notre devenir.
Véritable trait d’union entre Mésodôme et sa suite, 714 pour Rio est un recueil de nouvelles dans lequel l’auteur se fait avant tout plaisir. Les références littéraires sont nombreuses, et c’est un réel hommage à Ernest Hemingway.
Dans le premier témoignage du parcours emprunté depuis sa naissance, Élisa, a occulté certains passages D’autres souvenirs se manifestent, revendiquent une place, dans la narration, reliant le déjà-dit aux découvertes de la mémoire qui interroge, à nouveau, son passé.
Tout commence par la découverte du cadavre d’une jeune femme sur une plage au bord de la Méditerranée.
Banal, penserez-vous. C’est un polar ! Sauf que cette femme est nue, que son visage est méconnaissable, qu’aucun papier d’identité, ni aucun indice matériel ne sont retrouvés à proximité. Et que personne ne la connaît.
Un Parisien, chauffeur de maître recruté par un châtelain berrichon, se retrouve dans un hameau et découvre un univers dont il ignore tout.
La Vallée Noire, pays de George Sand, est une région de bocages où le modernisme côtoie des croyances surprenantes et des pratiques ancestrales perpétuées par les « rebouteux » et les « panseux ».
Françoise est conseillère dans une banque, à Paris. Elle court tout le temps : travail, métro, famille.
Douce et arrangeante, elle accepte beaucoup de compromis afin de satisfaire un entourage exigeant et chronophage. Elle devra dépasser un burnout pour réaliser qu’elle peut se relever, prendre sa vie en main et trouver le chemin du bonheur.
« Je prenais conscience soudainement que je n’étais rien. Tout ce que j’avais pu faire dans l’entreprise n’avait servi à rien. Je m’y étais consacré avec tant d’entrain, j’avais fait tant d’heures supplémentaires non rétribuées que ce résultat me dégoûtait. J’avais volé tant de quarts d’heure à mes enfants que j’en éprouvais maintenant un vif regret. »
En plein burn-out, Anthony vit à Nice et est incapable de se rendre à ses trois Start-up de Sophia Antipolis. Il s’enfuit par le premier avion à Buenos-Aires. Dans l’avion, il rencontre Pauline, elle aussi niçoise, qui se rend au chevet de sa tante alitée en Argentine. Pauline a trois magasins d’articles et ponchos d’Amérique du Sud, elle voyage pour réapprovisionner ses deux magasins niçois et son tout nouveau magasin parisien près du Châtelet, aux Halles.