Rapidement le soleil vient se placer haut dans le ciel. Des individus vêtus de noir, des hommes jeunes et minces, des femmes aux cheveux courts, sortent d’immeubles clairs. Ils se dirigent, tous, du même pas, vers d’autres immeubles ou vers des navettes. Ils ne se parlent pas, ne se regardent pas. Seul le bruit des semelles sur le sol dur se fait entendre. Entraînés qu’ils sont pour un but qu’eux seuls connaissent, eux, si identiques et si disparates.
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Rapidement le soleil vient se placer haut dans le ciel. Des individus vêtus de noir, des hommes jeunes et minces, des femmes aux cheveux courts, sortent d’immeubles clairs. Ils se dirigent, tous, du même pas, vers d’autres immeubles ou vers des navettes. Ils ne se parlent pas, ne se regardent pas. Seul le bruit des semelles sur le sol dur se fait entendre. Entraînés qu’ils sont pour un but qu’eux seuls connaissent, eux, si identiques et si disparates.
Commandant de police à la PJ, la vie est belle pour Max. À un mois d’une retraite bien méritée, alors qu’il est en train de déjeuner sur la digue du petit port de Saint-Elme, face aux Deux-Frères, deux coups de feu très rapprochés déchirent le silence de sa contemplation méditative. Devant lui, la vision effroyable d’un corps jeté à l’eau, par-dessus le bastingage d’une vedette qui prend aussitôt la fuite, transforme ce petit coin de paradis qu’il aime tant en enfer.
Marie-Rose Nonchez-Garcia est née à Oran. Elle a quitté sa ville dans la débâcle le lendemain de ses vingt ans. Elle retrace, dans ce livre, la vie de sa mère, réfugiée espagnole qui elle aussi dut quitter son pays, dans la débâcle, le 12 mars 1936.
Anciens militants ouvriers sexagénaires, dépités par une société délétère qu’ils subissent impuissants, ils vont se retrouver « embarqués » malgré eux dans une enquête policière aux tournures inattendues. Jean, le rouge, nostalgique d’une époque révolue, du moins dans ses formes, va renouer avec celle d’aujourd’hui. Au bord de cette méditerranée bien présente tout au long de ce roman, il va retrouver un sens à son existence auprès de ses ami(es) et de la jeunesse qu’il va rencontrer sur les ronds-points pavoisés de Jaune. Une aventure humaine dense et trépidante, nourrie de chaleur humaine, de solidarité et d’amour.
D’émeraude et d’argile retrace le destin tragique d’une famille bousculée par l’Histoire dans l’espace et dans le temps, et qui va errer dans plusieurs pays d’Europe, d’Amérique centrale et d’Afrique du Nord.
La région des Hautes-Alpes est en émoi. En effet, Annabel Raspail, la secrétaire générale de l’association Aimons nos loups, a été assassinée un soir de la fin du mois de juillet 2019, à Gap. Forcément, les premiers soupçons se portent sur les nombreux opposants extrêmement déterminés à éradiquer le célèbre canidé du massif du Dévoluy ! Mais cet antagonisme ancestral ne sert-il pas de « couverture » à un coupable dont le mobile reste à déterminer ? L’affaire se révèle bien vite plus complexe que prévu. Surtout tortueuse par les évènements inattendus qui se succèdent à un rythme effréné…
Le commissaire Guillaume Lefuret est prêt à classer l’enquête sur le fœtus mort retrouvé aux portes de la maternité (voir Tome 1 : La naissance d’une étoile). Même si Elen ne l’est pas réellement, elle restera la fille des époux Leroy. Il est bien décidé à ne pas la leur enlever. Mais voilà qu’avant de refermer définitivement le dossier pour le ranger parmi les constats d’accidents de tracteurs, y jetant un dernier coup d’œil, il s’aperçoit que les données des analyses ont changé. L’ADN d’Elen révèle qu’elle est bien la fille de Morgane. Comment cela est-il possible ? Cette énigme lui laisse une impression de déjà-vu qui le met particulièrement mal à l’aise. Pour l’oublier, Guillaume se lance dans une nouvelle enquête : la disparition d’une jeune fille.
Le commissaire Charles Pradais est invité au mariage de son filleul, brillant avocat marseillais. Au cours de ces noces qui se déroulent à Lourmarin, il retrouve d’anciens amis, des membres de sa famille et fait plus ample connaissance avec sa voisine, Rosine Castel, avec qui il sympathise.
Giufà est un personnage fictif qui apparaît dans les récits anciens de la tradition orale en Sicile. Qui a tué Giuseppe Fafa qu’on surnommait Giufà ? Dans ce village de Sicile près d’Agrigente, tout le monde se pose la question mais personne n’ose chercher la réponse. Seule La Nonna accompagnée de son petit-fils a décidé de mener l’enquête. Mais qui était réellement la victime ? Un fou du village, un bouffon du roi ou un être secret et énigmatique…
" L’ambulant ", durant 150 ans fut aux yeux du postier sédentaire celui qu’il aurait parfois aimé être. Le mythe du départ a toujours fait rêver. Paris à Strasbourg… Lyon à Marseille… Paris à Bordeaux… Lyon à Nantes… Paris à Lille 2… Paris à Chambéry… Toulouse à Limoges… Dans ces noms de lignes flottait un parfum de Messageries Maritimes dont les escales étaient Laroche-Migennes, Saint-Germain-des-Fossés, Culoz, Limoges-Bénédictins… Aujourd’hui que reste-t-il de ce monde à jamais disparu ? Une brigade de septuagénaires égrenant parfois les souvenirs d’une vie qu’ils avaient rêvée aventureuse… Quelques wagons-poste parqués au hasard d’une voie désaffectée… C’est tout. Vie de Chien ! roman toujours drôle et souvent truculent, plonge le lecteur dans un passé encore proche.
Mendier, chiper, chaparder, vivre de petits larcins, de maraudages ou de grivèleries pour subvenir au quotidien, telle est l'étonnante histoire d'une fillette abandonnée, livrée à elle-même. Michel Parra nous entraîne avec humilité, voire compassion, sur les chemins tortueux et cahoteux de la misère. C'est avec une profonde émotion et une grande sensibilité qu'il nous plonge dans l'univers spirituel de la dévotion, de la béatitude et de la pauvreté.
Après ses quatre livres précédents, l’auteur évoque un monde régi par la gouvernance de l’anonymat (l’anonymarchie) aussi cruelle et intolérante que l’Inquisition médiévale dont il est fait état, avec la persécution des vaudois dans les hautes vallées des Alpes.
Les années quatre-vingt. L’âge d’or du cinéma, de la musique et de l’économie en France. Mais aussi la fin de l’insouciance sexuelle née de la décennie précédente. En effet, un nouveau virus fait son apparition avec quatre lettres qui font froid dans le dos : SIDA. C’est dans ce contexte paradoxal où les espoirs du jour se mêlent aux craintes de la nuit que gravite Sébastien. Ce jeune homosexuel cherche sa place dans une société peu encline à son orientation et lui rappelle au quotidien « sa différence » ...
Rapidement le soleil vient se placer haut dans le ciel. Des individus vêtus de noir, des hommes jeunes et minces, des femmes aux cheveux courts, sortent d’immeubles clairs. Ils se dirigent, tous, du même pas, vers d’autres immeubles ou vers des navettes. Ils ne se parlent pas, ne se regardent pas. Seul le bruit des semelles sur le sol dur se fait entendre. Entraînés qu’ils sont pour un but qu’eux seuls connaissent, eux, si identiques et si disparates.