Rapidement le soleil vient se placer haut dans le ciel. Des individus vêtus de noir, des hommes jeunes et minces, des femmes aux cheveux courts, sortent d’immeubles clairs. Ils se dirigent, tous, du même pas, vers d’autres immeubles ou vers des navettes. Ils ne se parlent pas, ne se regardent pas. Seul le bruit des semelles sur le sol dur se fait entendre. Entraînés qu’ils sont pour un but qu’eux seuls connaissent, eux, si identiques et si disparates.
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Rapidement le soleil vient se placer haut dans le ciel. Des individus vêtus de noir, des hommes jeunes et minces, des femmes aux cheveux courts, sortent d’immeubles clairs. Ils se dirigent, tous, du même pas, vers d’autres immeubles ou vers des navettes. Ils ne se parlent pas, ne se regardent pas. Seul le bruit des semelles sur le sol dur se fait entendre. Entraînés qu’ils sont pour un but qu’eux seuls connaissent, eux, si identiques et si disparates.
René Caplan renoue avec le profil psychologique de ses personnages et le suspens haletant de ses missions de police secours. Les histoires s’enchaînent. Une affaire de maltraitance sur mineur avec une mère désespérée mais… soupçonnée ! Un père prêt à tout pour obtenir la garde de ses enfants. Des violences conjugales qui aboutissent à une vendetta entre deux clans rivaux. Les règlements de comptes se succèdent. Les hommes de la nuit veillent.
A travers les yeux d’Espérance se dessine une Provence imaginaire, teintée d’exotisme, « une campagne idéale ». Dans cet univers où nul malheur ne semble pouvoir survenir, cette petite fille accompagnée par ses arrière-grands-parents qui l’ont élevée, saura-t-elle parcourir le chemin qui mène de l’enfance à la vérité ?
Deux de chute… Au bridge, cela signifie ne pas avoir rempli son contrat. L’inspecteur Geo doit remplir le sien face à une situation compliquée où les morts (pas ceux du bridge) ne montrent pas toutes leurs cartes. A lui de retrouver dans celles des vivants la clef qui le mènera à la résolution de son enquête.
Un frère jumeau, disparu mystérieusement dans un accident, désire ardemment que justice soit faite. Mais pour cela, il doit solliciter l’aide d’un terrien. Il décide de choisir son frère. Dans ce petit village, les assassinats se multiplient et les circonstances sont inexplicables ; à tel point que les enquêteurs de police s’y perdent.
Parfois, le début d’une vie s’inscrit dans la tempête d’une mer houleuse, chahutée par des vents contraires. C’est dans ce contexte que Clara, l’héroïne du roman, va longtemps errer entre l’obscurité des ténèbres, et la lueur de l’espoir à la recherche de sa place dans un monde qui s’avère particulièrement cruel pour elle. Pour se faire, elle empruntera des chemins de traverse, qui la conduiront vers une paix intérieure laissant parler le meilleur d’elle-même. Un véritable hymne à la vie dans lequel le lecteur trouvera de précieuses clés...
Chantal Mulet-Barcilon vit au bord de la mer, dans le sud de la France. La Traversée de Clara est son premier roman.
L’auteur, chères lectrices, chers lecteurs, vous avait donné rendez-vous à la « Bastide des Figuières…trente ans plus tard ». C’est chose faite avec cette deuxième partie de cette mini-saga provençale. Et même si le dénouement de l’intrigue n’est pas celui que certains espéraient, l’on retrouve toujours cette même passion pour la terre de Provence qui anime la verve de Jean-Michel Barra au fil des pages…
André TRIVES, enfant de Bab el Oued et fils du « Berger de Mostaganem », écrit pour retrouver la parole perdue. Une manière de rendre hommage aux modestes aïeux que l'histoire a humiliés par le mépris, la caricature et l'oubli. La force évocatrice de son style ne peut laisser indifférent. Ce livre raconte le retour de l’auteur à Bab el Oued, 54 ans après. Il était important pour lui de rappeler la vie en Algérie avant l’arrivée de la France en 1830 et telle qu’il l’a vécue jusqu’à l’Indépendance. L'auteur apporte des réponses aux interrogations des enfants de Pieds-Noirs ; ils n'ont plus à rougir du passé de leurs parents. « Bab el Oued pour la vie » n'est pas un livre comme les autres ; c'est un réel cri du cœur, bouleversant de vérité.
Que c’est bien, bleu et beau Monaco ! Qu’il fait bon vieillir à l’ombre du Rocher. Dommage qu’aujourd’hui on y assassine des centenaires. On n’a pas tous les jours 100 ans mais on a chaque jour un géronte qui casse sa pipe. Au cours de son enquête Rocco est fait prisonnier sur un joli rafiot. Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? Tout simplement découvrir qu’un jumeau peut en cacher un autre. Franchement quelquefois, il vaut mieux naître seul que mal accompagné.
Fabrice est né à Philippeville en 1889. Comme ses frères, il a étudié la musique, puis à l’âge de 16 ans il a suivi les cours du conservatoire de Paris. La guerre de 14/18 l’a marqué dans sa chair. Brûlé par le gaz ypérite, il a été envoyé à Nice en 1917 pour y être soigné. Là, il est devenu le chauffeur du général commandant la région militaire. Or, en avril 1919, une jeune fille de «bonne famille» se fait violer par un ecclésiastique de la paroisse. Un complot se trame entre le père de la demoiselle et son ami le général. Fabrice sera le Saint-Joseph de l'enfant. Quand il découvre la supercherie, il se fâche. Une lettre de son père le décide à renouer avec sa belle-famille. Il veillera alors sur Hélène, sa fille adoptive et ses deux fils.
Chloé, 10 ans, va se rendre en Martinique en avion. Ce sera son baptême de l’air. Au cours du vol qui durera une partie de la nuit, elle rêve au Contrôleur des Étoiles qui veille à ce que les avions ne heurtent pas les étoiles dans le ciel. Son séjour dans l’île aux mille curiosités éveillera son esprit. Elle réalisera bientôt que le Contrôleur des Étoiles et son fils Sowilo font partie du merveilleux univers des enfants. Chloé lentement se dirige vers d’autres rêves, qu’elle fera dans un autre monde… celui des adultes.
Pendant que la bande à Bonnot sème la terreur sur la capitale en ce début d’année 1912, des corps d’enfants mutilés, semi-enterrés, sont découverts, alors que des adolescents sont portés disparus dans un orphelinat.
« À quoi bon chercher comment a été préparé le crime si nous ne pouvons établir qu’il y en a eu un ? ». Lorsque le commissaire Dupin pose cette question, il résume la complexité de sa sixième enquête sur la côte d’Azur. Pour lui « il n’y a pas que le résultat qui compte ». Ne rien trouver, ce n’est pas échouer : c’est éliminer le doute et il faut donc toujours persévérer. Pourtant, lorsque d’autres affaires surgissent, il est inévitablement conduit à préconiser un « non-lieu ». Mais il ne renonce pas pour autant à son expression favorite selon laquelle « il n’y a pas de crime parfait, il n’y a que des enquêtes ratées ».