Quand Paul se voit obligé de fermer sa librairie pour éviter la propagation d’un virus en train de décimer le monde, il n’a qu’une idée en tête : aller se réfugier dans sa maison d’Étoile-sur-Rhône et organiser une vie à sa mesure. De nature solitaire et introvertie, il se réjouit de cet exil volontaire jusqu’au jour où Laure, sa femme, restée à Valence pour gérer le service d’urgence de l’hôpital, lui confie qu’elle vient de découvrir des éléments troublants dans la chambre de leur fils.
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Quand Paul se voit obligé de fermer sa librairie pour éviter la propagation d’un virus en train de décimer le monde, il n’a qu’une idée en tête : aller se réfugier dans sa maison d’Étoile-sur-Rhône et organiser une vie à sa mesure. De nature solitaire et introvertie, il se réjouit de cet exil volontaire jusqu’au jour où Laure, sa femme, restée à Valence pour gérer le service d’urgence de l’hôpital, lui confie qu’elle vient de découvrir des éléments troublants dans la chambre de leur fils. Ne serait-il pas responsable de l’accident qu'a subi la jeune patiente qu’elle vient d’examiner ? Face à une réalité qui remet en question l’unité familiale, Paul a deux obsessions : comprendre et réparer. Mais comment vaincre ses propres peurs et cette angoisse qui le submerge dès qu’il veut prendre la parole ?
À la lumière de nos lampes torches tout est plus inquiétant qu’en plein jour. Sur la table centrale, une sorte de broyeur-malaxeur dont on peut bien se demander ce qu’il fait en ce lieu. Si nous étions aux cuisines, nous pourrions supposer qu’il servirait à préparer les steaks hachés pour le repas du lendemain, mais nous ne sommes pas aux cuisines et cette masse sanguinolente qui se trouve à l’intérieur nous laisse perplexes, jusqu’au moment où Béatrice a un haut-le-cœur et porte la main à sa bouche pour s’empêcher de vomir.
Lundi…une journée comme les autres au collège du Fenouillet. Les élèves se tiennent mieux que les professeurs, ce qui n’est pas si compliqué… Moi, je ne pouvais pas ne rien écrire avant de partir.
Ninon de la Rescadière traverse une période trouble de l’histoire de France en 1789 du côté de Toulon en bousculant les usages de son milieu, affirmant et revendiquant haut et fort sa liberté de pensée et d’action. Elle oblige ceux qui veulent la suivre à se surpasser, à sortir des sentiers battus pour exister. Une femme de tête et d’esprit qui ressemble étrangement à l’auteur.
La paix n’est-elle qu’un rêve inaccessible ! Je me suis enfuie de mon monde pour éviter une guerre absurde qui oppose mes sœurs, les gouttes d’eau, au monde du feu. Une guerre censée nous légitimer comme étant les seules mandataires du droit divin. Une guerre éternelle entre deux nations qui usurpent la foi au profit d’ambitions personnelles…
Marcel, personnage de cette saga… sa vie. Son enfance. Les retrouvailles venues d’un pays lointain. Son premier amour… le bonheur, l’envoûtement, l’angoisse… la peur ! Le calme après la tempête ! La découverte des U.S.A., du Pays de Galles, de l’Île de Ténérife. Le travail, la persévérance, les récompenses. Les femmes de sa vie… Moon, J-J, Bunny, Babylove… et Marline aussi ! Et les échecs bien sûr ! Marcel, ses petits animaux, de bons amis…
Cette histoire se situe après « la Grande Guerre » dans un paisible village rural. Elle met en exergue deux familles que l’amour de leurs enfants va réunir…
Une nuit de pleine lune, Le concerto de Paganini prit vie en sortant du violon de Vanessa et pénétra tout le village de Moustiers, jusqu’à l’étoile… Un grand bouleversement s’annonçait qui toucherait Philidor le conseiller municipal, à cheval sur les traditions, et le reste des habitants du village, de Maryse la factrice à l’éthique si singulière, jusqu’à Titin le borgne, un peu simplet mais tellement humain ou presque… Du rire aux larmes le drame s’installa… jusqu’à cette issue si inattendue…
Benoît Mangin, quarante-huit ans, professeur agrégé des classes préparatoires aux grandes écoles, une charmante épouse, deux enfants, mène une existence agréable, bien réglée et paisible de notable, entre sa vie professionnelle, sa famille et ses actes militants dans diverses associations jusqu’à ce samedi après-midi où tout dérape.
« On se retrouve demain… Salut ! ». C’est par ces mots que l’auteur terminait ses matinales lorsqu’il travaillait dans les « locales » de Radio France. Avant cela, il était passé par le music-hall, le cabaret, la télé, les radios commerciales.
« À quoi bon chercher comment a été préparé le crime si nous ne pouvons établir qu’il y en a eu un ? ». Lorsque le commissaire Dupin pose cette question, il résume la complexité de sa sixième enquête sur la côte d’Azur. Pour lui « il n’y a pas que le résultat qui compte ». Ne rien trouver, ce n’est pas échouer : c’est éliminer le doute et il faut donc toujours persévérer. Pourtant, lorsque d’autres affaires surgissent, il est inévitablement conduit à préconiser un « non-lieu ». Mais il ne renonce pas pour autant à son expression favorite selon laquelle « il n’y a pas de crime parfait, il n’y a que des enquêtes ratées ».
Toulon, dans les années cinquante. Une autre époque ! Le petit-fils aîné de l’amiral de Lioux, 18 ans, revient dans la villa familiale du Mourillon, en face du port Saint-Louis, après une année de « prépa » à Paris. Il y retrouve son grand-père, ses parents, sa sœur et ses trois frères. Plage, voile, jeux, balades avec des copains ou en famille, cousinage, timides flirts remplissent ses journées insouciantes d’adolescent. Puis, c’est le départ en Angleterre pour un séjour linguistique avec son frère cadet. C’est alors qu’un drame survient, qui va bouleverser leurs vies…
C’était lui. Lui et personne d’autre. Il endossait d’un coup le costume de la première personnalité de France. Le numéro Un. Il allait être le chef de la nouvelle société qu’il voulait mettre en place. Son initiateur. Il allait essayer de changer le niveau de vie des Français. Les rendre heureux et réussir une fois pour toutes, là où tous ses prédécesseurs avaient échoué.
Sandra Monteforte Gardent est correspondante de presse à Grenoble où elle travaille pour Le Dauphiné Libéré, l’Essor et collabore à plusieurs autres publications. Après avoir remporté de nombreuses récompenses littéraires dans le domaine de la poésie, elle a publié La Blessure Intérieure en 2006 (éditions Thot), Kilomètre Sans en 2011 (éditions Kirographaires) et Calogero en Apesanteur en 2012 (éditions Grimal).