Étrange mission de Jeannine POITAU et Jacques POSTEL
Référence: L1737
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La Vienne d’après-guerre vue par un jeune interne en psychiatrie débarquant de sa province niçoise. Parti à la recherche d’un mystérieux docteur, notre héros découvrira, à défaut d’un génie de la médecine, un autre monde. Cette parenthèse l’amènera à se remettre en question et ébranlera bien des certitudes.
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La Vienne d’après-guerre vue par un jeune interne en psychiatrie débarquant de sa province niçoise. Parti à la recherche d’un mystérieux docteur, notre héros découvrira, à défaut d’un génie de la médecine, un autre monde. Cette parenthèse l’amènera à se remettre en question et ébranlera bien des certitudes.
Trois textes apparemment très différents, mais qui relèvent pourtant du même esprit ; l’histoire familiale, voyage – même raté – mariage joyeux et mépris des idées reçues.
Dans ce petit essai, sorte de zoologie fantastique, les auteurs tentent de rapprocher les œuvres de deux personnages du XIXème siècle : l’un, d’origine portugaise, exprime son amour des bêtes dans 4 ouvrages d’allure scientifique mais quelque peu délirante. L’autre était un jeune poète, exprimant au contraire toute son agressivité contre l’univers animal : Isidore Ducasse - dit Lautréamont.
Il y a des choses si douces, si fragiles, qu’on ne peut les effleurer. On voudrait les toucher, on ne peut. On les caresse, on les savoure, on les absorbe par les yeux. Ainsi lorsque je t’ai rencontrée, j’ai tourné autour de toi, je t’ai flattée du regard, je me suis nourri(e) de ta beauté sans jamais pouvoir t’approcher vraiment. Beauté fragile
L’Empire Romain a illuminé le monde méditerranéen. Les Républiques italiennes ont transcendé le commerce en art. Les musiques d’Italie ont enchanté l’Europe.
Les Blondières s’étalent sous la caresse du soleil printanier, frissonnent sous la griffe des frimas d’hiver et s’étirent langoureusement sous le souffle déjà chaud du printemps.
L’Ambroisie transportée par un triste sire nommé Maskilili venu de Guyane va semer ici, en ce lieu bucolique le désarroi.
Les Lorettoises et les Lorettois soutenus par les fées Herbina et Fertila seront-ils assez forts pour se libérer à la fois de cette ambroisie et de Maskilili ?
Le courant de solidarité et le courage de tous vont démontrer que l’Impossible est parfois possible… surtout au pays des fées…
Mais la réponse attendue est donnée à la fin de ce conte.
Peut-on maîtriser le fil de notre existence ou sommes-nous les témoins impuissants du destin ? *Été 76, plage de l’Estagnol* nous entraîne dans un récit bouleversant où les souvenirs d’un premier amour se heurtent à la fragilité de la vie. Sur une plage ensoleillée, deux adolescents découvrent l’amour, ignorant que leur histoire durera toute une vie. Mais cinquante ans plus tard, la maladie s’invite, forçant un choix décisif. Trois chapitres, trois décisions, une question universelle : jusqu’où serions-nous prêts à aller pour préserver notre dignité et celle de ceux que l’on aime ?
Il y a la passion qui emporte nos têtes, bourrasques glacées qui assomment nos pensées et nous poussent violemment vers l'amour, vers l'abandon, vers le don, vers la nature profonde de nos corps, un retour à l'origine, un appel chthonien de désirs et nous sommes des statues à la peau marbrée sur laquelle montent des lierres d'envies et de tremblements. Nous cédons à la nature, à l'animalité de l'épiderme, au bonheur accordé qui nous transcende.
Lors d’un hiver glacial du dix-neuvième siècle, Camille se retrouve orpheline en compagnie de Claude. Pour ne pas être séparée de son petit frère elle se fait passer pour un garçon. Mais les choses se compliqueront quand, alors qu’ils sont envoyés au bagne des enfants de l’Île du Levant, elle risquera d’être démasquée. Une seule solution : la fuite… Un roman poignant et passionnant dans l’enfer de la colonie agricole du Levant, la honte du Second Empire.
Jean-Jacques Rocca signe ici son onzième roman pour la jeunesse, peut-être le plus émouvant… Poète, romancier, professeur de français récemment retraité, il aime explorer le passé de notre région et utiliser ce cadre pour y faire évoluer ses jeunes héros.
Que peut-on dire d’Uranie ? Qu’elle est dotée d’un humour acide dont elle se départit rarement. Qu’elle manque de confiance en elle. Qu’elle est fan de Dr House. Qu’elle aime la musique des mots. Qu’elle vit seule – très seule. Qu’elle ne trouve pas d’emploi fixe, malgré des études lointaines. Que la vie ne l’a pas épargnée. Qu’elle croit à l’amitié, pas aux liens du sang. Qu’à présent elle galère un max ; qu’elle s’apprête à côtoyer le néant. Mais qu’elle continue à avancer, coûte que coûte, vacillant entre déchéance et espoir, cynisme et aspiration.
La maladie d’Alzheimer est l’un des fléaux de notre société car elle touche de plus en plus de personnes. D’autant qu’il n’y a toujours aucun traitement fiable pour l’endiguer. « Un moment d’existence » traite du rapport que va entretenir bien malgré elle l’héroïne du roman, Lucie, avec la Maladie d’Alzheimer. En effet très vite ses proches sont touchés et c’est sa vie personnelle qui vacille. Un aspect souvent éludé, celui des victimes collatérales, que l’auteur Béatrice Aubert évoque avec pudeur mais de manière réelle et concrète. Quand le stress pour autrui devient de plus en plus omniprésent. Mais Lucie n’est pas au bout de ses peines….
Qui aurait dit que notre héros n’arriverait pas un jour à devenir l’autre. Celui dont il a toujours rêvé. Alors qu’il suffit parfois d’un rien d’une rencontre, d’un coup d’œil, d’une découverte, ou encore de suivre un film à la télévision et se prendre pour le héros. Quoi de plus agréable que de se laisser aller à rêver parfois même en restant éveillé les yeux grands ouverts. C’est le cas de Maurice Bellot 54 ans, célibataire magasinier au chômage. Il vit avec sa vieille maman. Il n’a jamais réussi grand-chose dans sa vie et a toujours rêvé d’être un autre. L’aventure extraordinaire de notre héros va nous conduire dans des pays lointains. Un univers paradisiaque mais aussi parfois inquiétant. De Paris à Kiev, puis en Roumanie, mais également en Jamaïque et les pays du Maghreb.
Apia. Une île baignée de soleil, bordée par la mer et caressée par le vent. Un lieu hors du temps, où les souvenirs s’accrochent aux pierres, et où les cœurs meurtris viennent panser leurs blessures.
Léonard, sa sœur Noémie et leur ami Gabriel ont décidé de camper aux abords du lac de Besse sur Issole. Mais leur rencontre inattendue avec une louve et la découverte d’un médaillon très ancien vont aussitôt bouleverser leur projet initial. Avec Tancrède, le vieil ermite des bois, les jeunes adolescents se retrouveront très vite plongés dans une aventure mystique incroyable. Elle les conduira à La Chartreuse de la Verne, un monastère niché au cœur du Massif des Maures qui détient un secret en apparence bien gardé… Dès lors, ils devront se lancer sur les traces de reliques sacrées ayant appartenu à Saint Grégoire, un moine chevalier fondateur de la confrérie de l’Ordre Solaire, qui participa à la construction de l’édifice religieux au XIIème siècle.
Entre Noël et le jour de l’An, la place est faite aux joies, aux peines, aux suicides… Deux pendus en quarante-huit heures, dans un secteur assez proche : la semaine s’annonce déjà longue pour le Commandant Archibald Letesquieux. Chasseur ou proie, pourquoi se trouve-t-il à traquer une ombre qui le hante dans les nuits glaciales parisiennes ?
La Vienne d’après-guerre vue par un jeune interne en psychiatrie débarquant de sa province niçoise. Parti à la recherche d’un mystérieux docteur, notre héros découvrira, à défaut d’un génie de la médecine, un autre monde. Cette parenthèse l’amènera à se remettre en question et ébranlera bien des certitudes.