De Machado à Lautréamont de Jeannine POITAU et Jacques POSTEL
Référence: L1867
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Dans ce petit essai, sorte de zoologie fantastique, les auteurs tentent de rapprocher les œuvres de deux personnages du XIXème siècle : l’un, d’origine portugaise, exprime son amour des bêtes dans 4 ouvrages d’allure scientifique mais quelque peu délirante. L’autre était un jeune poète, exprimant au contraire toute son agressivité contre l’univers animal : Isidore Ducasse - dit Lautréamont.
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Dans ce petit essai, sorte de zoologie fantastique, les auteurs tentent de rapprocher les œuvres de deux personnages du XIXème siècle : l’un, d’origine portugaise, exprime son amour des bêtes dans 4 ouvrages d’allure scientifique mais quelque peu délirante. L’autre était un jeune poète, exprimant au contraire toute son agressivité contre l’univers animal : Isidore Ducasse - dit Lautréamont.
Trois textes apparemment très différents, mais qui relèvent pourtant du même esprit ; l’histoire familiale, voyage – même raté – mariage joyeux et mépris des idées reçues.
Il y a des choses si douces, si fragiles, qu’on ne peut les effleurer. On voudrait les toucher, on ne peut. On les caresse, on les savoure, on les absorbe par les yeux. Ainsi lorsque je t’ai rencontrée, j’ai tourné autour de toi, je t’ai flattée du regard, je me suis nourri(e) de ta beauté sans jamais pouvoir t’approcher vraiment. Beauté fragile
La Vienne d’après-guerre vue par un jeune interne en psychiatrie débarquant de sa province niçoise. Parti à la recherche d’un mystérieux docteur, notre héros découvrira, à défaut d’un génie de la médecine, un autre monde. Cette parenthèse l’amènera à se remettre en question et ébranlera bien des certitudes.
Bien que nous soyons impressionnés par la détermination du peuple iranien à libérer sa nation de la tyrannie religieuse, on oublie trop facilement que le chemin de la renaissance iranienne au cours du siècle dernier a été confronté à deux grands régimes autoritaires qui ont entravé la création d'une société démocratique dans un pays aussi dynamique.
« La File d’attente », titre énigmatique pour certains, approprié pour d’autres. Comment rester impassible face aux souvenirs, aux interrogations et surtout aux « coups de gueule » de l’auteur ? Un ouvrage qu’il faut parfois lire au deuxième degré mais aussi avec jubilation, tant il interpelle sur de nombreux sujets en laissant la porte ouverte aux réactions de chacun, à l’échange et à la communication. Nous n’en dévoilerons pas plus et vous laissons vous faire votre propre opinion… « C’était hier l’automne… »
Pythagore et ses disciples ont gouverné la ville de Crotone, en Italie du sud il y a plus de 2500 ans, puis une émeute les a chassés du pouvoir, faisant quarante morts parmi eux. La conception du monde de Pythagore est abordée ici à partir de plusieurs scènes de sa vie, et on découvrira aussi, en chemin, quatre existences antérieures dont Pythagore enseignait à ses proches disciples qu’elles avaient été les siennes.
La Provence éternelle, celle des oliviers et des cigales qui ponctuent de leur chant les savoureuses répliques des personnages de Marcel Pagnol, existe toujours. Pour la découvrir, il suffit d'aller se promener sur un terrain de boules, dans l'ombre fraîche d'un platane centenaire et d'écouter quelques anciens parler. La chine, art ancien qui consiste à mettre au bon moment quelques gouttes d'huile (d'olive) sur le feu de la discussion, y règne toujours aux côtés de la galéjade, de la vantardise bon enfant et des réflexions frappées au coin du bon sens. Jean-Michel Barra nous décrit, au fil de portraits plein d'humour, ce petit monde qui perpétue chaque après-midi la gaîté et l'art du vivre ensemble.
Si j’ai choisi de vous parler humblement de Jacques Brel et de son œuvre, c’est qu’ils sont indissociables et qu’ils s’inscrivent dans « l’intemporalité des mondes visibles et invisibles » et de l’impermanence. Ecouter Brel c’est forcément le connaître un peu, le sentir… Cet être au grand cœur m’a séduit, que je devinais tendu comme un nerf vers le ciel, si « espérant » qu’il quittait déjà ce monde de son vivant. Je me demande encore s’il n’a pas refusé inconsciemment de grandir, tout simplement pour garder l’enfance qu’on lui avait dérobée.
À Wattrelos, dans la châtellenie de Lille, les copés in deux (les Wattrelosiens) célèbrent Berlouffes. Aux Amis, bistrot de la place, le Zot, un étrange bonhomme, raconte ce village du comté de Flandre lié à l’abbaye de St Bavon de Gand. Les comtes de Flandre tiennent alors tête à leurs suzerains, les rois de France. Tel Ferrand de Portugal, l’un des Géants de la ville ! Autrefois Aux Amis s’appelait Au Cheval volant. Tel celui d’Adenet le Roi (Cléomadès, 1280), ménestrel du comte Gui de Dampierre qui impose le Lion sur ses armoiries. Telle cette maison d’édition du Cheval-Volant, point de chute à Paris des Réformés. Avec l’émergence de l’imprimerie, les satires d’Érasme, les thèses de Luther (1517) et la doctrine de Calvin se répandent dans une population lasse du système.
Si l’on voulait accorder quelque crédit à la mythologie grecque, on pourrait penser que l’ombre de Gaïa plane sur l’époque que nous traversons. La déesse de la Terre serait courroucée qu’elle ne s’y prendrait pas autrement.
Au terme de plus de deux décennies d’immobilisme et de faux semblants, la France est devenue l’homme malade d’une Europe elle-même affaiblie par le Brexit et la montée des populismes. Partout dans le monde, les fractures ouvertes dans la société apparaissent chaque jour plus visibles entre ceux qui veulent construire des murs et ceux qui militent au contraire pour l’ouverture.
Il y a suffisamment d'éléments solides dans le dossier OVNI pour ne pas laisser le moindre doute sur le fait qu'un phénomène intelligent se manifeste dans notre environnement, et ce, depuis longtemps, même si ses exhibitions sont incompatibles avec la logique et les dogmes scientifiques humains.
Dans la troisième de ses Méditations métaphysiques, Descartes, à partir de la présence, en notre esprit fini et imparfait, de l’idée d’un être Infini et Parfait, soutenait que cet être Infini et Parfait est obligatoirement la cause, en nous, de la présence de cette idée du Parfait. Malebranche a repris cela en disant que « la preuve de l’existence de Dieu la plus belle, la plus relevée, la plus solide…, c’est l’idée que nous avons de l’infini ». Cette remontée argumentée depuis le fini vers l’Infini, Jérémie Bocchi s’y essaie à son tour dans ce dialogue entre un promeneur qui se dit athée et un berger ami des philosophes.
Dans ce petit essai, sorte de zoologie fantastique, les auteurs tentent de rapprocher les œuvres de deux personnages du XIXème siècle : l’un, d’origine portugaise, exprime son amour des bêtes dans 4 ouvrages d’allure scientifique mais quelque peu délirante. L’autre était un jeune poète, exprimant au contraire toute son agressivité contre l’univers animal : Isidore Ducasse - dit Lautréamont.