Que peut-on dire d’Uranie ? Qu’elle est dotée d’un humour acide dont elle se départit rarement. Qu’elle manque de confiance en elle. Qu’elle est fan de Dr House. Qu’elle aime la musique des mots. Qu’elle vit seule – très seule. Qu’elle ne trouve pas d’emploi fixe, malgré des études lointaines. Que la vie ne l’a pas épargnée. Qu’elle croit à l’amitié, pas aux liens du sang. Qu’à présent elle galère un max ; qu’elle s’apprête à côtoyer le néant. Mais qu’elle continue à avancer, coûte que coûte, vacillant entre déchéance et espoir, cynisme et aspiration.
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Que peut-on dire d’Uranie ? Qu’elle est dotée d’un humour acide dont elle se départit rarement. Qu’elle manque de confiance en elle. Qu’elle est fan de Dr House. Qu’elle aime la musique des mots. Qu’elle vit seule – très seule. Qu’elle ne trouve pas d’emploi fixe, malgré des études lointaines. Que la vie ne l’a pas épargnée. Qu’elle croit à l’amitié, pas aux liens du sang. Qu’à présent elle galère un max ; qu’elle s’apprête à côtoyer le néant. Mais qu’elle continue à avancer, coûte que coûte, vacillant entre déchéance et espoir, cynisme et aspiration.
Un roman sans concession ni pathos, ancré dans le réel, qui traite aussi bien des thèmes actuels de la précarité et de l’exclusion urbaine à travers le prisme d’une expérience féminine que d’une reconstruction identitaire et sociale, rendue possible par des rencontres singulières.
Elisabeth, une adolescente parisienne, éprouve de grandes difficultés à aimer l’image de la fille aux cheveux clairsemés qu’elle voit dans son miroir. Et, le regard des autres, plein de haine ne la réconcilie pas avec elle-même. Elle s’isole, et s’évade par le dessin.
Dans le premier témoignage du parcours emprunté depuis sa naissance, Élisa, a occulté certains passages D’autres souvenirs se manifestent, revendiquent une place, dans la narration, reliant le déjà-dit aux découvertes de la mémoire qui interroge, à nouveau, son passé.
En proie à une soudaine insomnie dans le froid glacial de l’hiver, Hermeline, se sent au crépuscule de sa vie. Elle en revisite la trajectoire tantôt en zigzags, tantôt en lignes droites.
Je n’avais jamais imaginé qu’un jour me viendrait l’idée de vous raconter tout ce qui va suivre. Aussi, je vous demande de vous armer de patience puis d’indulgence car l’histoire que je vous propose n’est pas une vie de saint homme, vous le constaterez… Notamment pendant la 2e guerre mondiale. Cependant, vous n’y trouverez nulle trace de forfaiture ou de malhonnêteté : au soir de ma vie, j’en retire une extrême satisfaction.
Coup de foudre entre un parisien endeuillé et une jolie américaine et la promesse d'une éternité d'amour. Elle regarda cet homme qui correspondait parfaitement avec cette ville de pluie. La tristesse de son regard, son imperméable mastic, son pantalon velours gris acier, tout lui parlait. Jusqu’à ce vieux foulard de laine bordeaux qui lui donnait un air suranné.
Cinq ans qu’Inès attendait un signe de son père, le Général, pour qu’elle revienne au Domaine. Enfin, elle avait reçu cette lettre tant espérée, elle allait retrouver ce père, si dur, mais aussi sa mère, si présente même après leur divorce, et son frère, qui lui avait tant manqué, malgré leurs échanges téléphoniques.
L’auteur évoque avec force et précisions des faits marquants de l’histoire des Français d’Algérie, pourtant restés dans l’oubli. Ce quatrième ouvrage aborde la violence et les atrocités des dramatiques évènements survenus entre le 23 mars et le 5 juillet 1962, 105 jours d’humiliations, 105 jours de souffrances inexpliquées, 105 jours de lâcheté pour assassiner un peuple pacifiste sans défense. C’est dans cet univers de massacres et de turpitudes qu’une belle histoire d’amour voit le jour entre Serge, un jeune parachutiste parisien, déserteur de l’arme française, venu apporter son aide à l‘OAS en avril 1962 et Paula, une fille de Bab el Ouied. L’idylle sera brève mais intense…
Nicolas, dix-sept ans, Olivier, seize ans et Jennifer, dix ans, passent des vacances de rêve avec leurs parents, Pierre et Sophie, dans leur nouvelle propriété de Dordogne. Ils ne se doutent pas qu’ils sont observés depuis leur arrivée ni que les lieux sont déjà occupés. Ils n’imaginent pas qu’ils seront bientôt entraînés dans une quête, au-delà des frontières de leur monde.
Le goût de l’aventure, la volonté de rompre avec la monotonie de sa vie, poussent un jeune Maltais à quitter son île en 1846. A bord d’une goélette anglaise une histoire d’amour se noue, mais il devra être débarqué à Djidjelli avec sa compagne.
Lorsque Doria, en situation irrégulière, est impliquée dans une affaire de drogue, tous les soupçons se portent sur un policier accusé de complicité depuis qu’on a appris qu’il entretenait une liaison avec elle. Que cachait véritablement leur relation ? Quand le mensonge a raison de la famille et de l’amitié. René Caplan s’empare de l’affaire et tente de démêler le vrai du faux. Peu à peu le dossier révèle ses failles...
Florence revient à Saint-Tropez, elle va revoir sa fille et son fils qui ont fui l’inacceptable, l’une aux États-Unis et l’autre en Russie. Il y aura aussi tous ses amis qui depuis cette nuit tragique, n’osent pas l’appeler, de peur de la déranger… Et il y aura surtout son mari, qui passe son temps à faire des allers-retours entre Paris et Nice, entre sa femme blessée et son travail. Pour eux, elle veut redevenir cette femme que tout le monde aimait, positive, active, même dans un fauteuil roulant. Elle le leur prouvera ! Mais à peine descendue de l’avion, elle comprend que rien ne sera plus comme avant…
Loin de leur Japon natal à la suite du drame de Fukushima, Hideki et Lia ont choisi de s’exiler à Toulon où Kei, l’ancien élève d’Hideki, tient une galerie de peinture. Ils vont découvrir les mœurs à l’Occidentale, éloignées de la culture et de l’esprit japonais, les relations parfois complexes avec les Européens, semées d’embûches, faites souvent d’incompréhensions.
Que peut-on dire d’Uranie ? Qu’elle est dotée d’un humour acide dont elle se départit rarement. Qu’elle manque de confiance en elle. Qu’elle est fan de Dr House. Qu’elle aime la musique des mots. Qu’elle vit seule – très seule. Qu’elle ne trouve pas d’emploi fixe, malgré des études lointaines. Que la vie ne l’a pas épargnée. Qu’elle croit à l’amitié, pas aux liens du sang. Qu’à présent elle galère un max ; qu’elle s’apprête à côtoyer le néant. Mais qu’elle continue à avancer, coûte que coûte, vacillant entre déchéance et espoir, cynisme et aspiration.