Dans ce deuxième tome de La vie est un éclat de rire, les lecteurs retrouveront de nombreux personnages au tempérament bien particulier et à l’humour caustique.

Ensemble, nous traverserons les trente premières années du XXe siècle dans l’Italie aux prises avec les luttes sociales et le premier conflit mondial.

Puis viendra la montée du fascisme et la prise du pouvoir par Benito Mussolini, le Duce de sinistre mémoire.

Un récit qui tient en haleine où, là encore, l’anecdote rejoint parfois la légende.

« Le temps des explications viendra plus tard. » C’est sur cette affirmation que Denis Fournier termine cette histoire. Un état des lieux de sa ville, source d’inspiration inépuisable, devait être la trame de son nouveau roman. « Venue d’ailleurs », une femme va débouler dans sa vie, l’entraîner dans des évènements qu’il ne pouvait imaginer et dans un état sentimental… particulier. La recherche d’une enfant l’emmènera de Toulon à Marseille, de La Seyne à Aix en Provence et bien au-delà dans les Alpes du sud. 

Mathias est persuadé que ses jours sont comptés, l'accident vasculaire le guette à la suite d'un malaise dans les collines arides de la forêt des Maures. Son rêve, depuis sa tendre enfance, est d'aller dans les Îles de la Sonde. Aidé de Yanci, un de ses amis capitaine au long cours, il va construire en grand secret Djawa, le voilier lui permettant d'accomplir son rêve.

Sa famille possède une bastide isolée, les Vanades, proche d'une ancienne mine de plomb non loin de La Londe les Maures, village de la Provence maritime. Lors de la construction du bateau, Yanci va peu à peu raconter ses propres aventures de marin concernant chacune des escales que Mathias compte aborder.

"Le Coiron est un grand plateau volcanique qui s'étend au milieu de l'Ardèche, du col de l'Escrinet au Rhône, à près de 1 000 mètres d'altitude.

Pays de vastes espaces, d'hivers rigoureux, de brouillard, de vent et de soleil, il est habité par des bergers et des poètes.

Un jour, guidé par son chat alors que la nuit tombe, l'un des habitants découvre le cadavre d'un berger… Et une incroyable histoire commence."

« Comme mû par un sixième sens, il se tourna brutalement et aperçut la silhouette revêtue d’un ample imperméable sombre ; la tête recouverte d’un casque de moto intégral qui masquait ses traits. Horace sursauta et, subitement, prit peur. Des gouttes de sueur inondèrent son front et il ressentit des picotements désagréables le long de sa colonne vertébrale. Il sut à ce moment précis qu’il allait mourir ! » 

Un célèbre éditeur parisien disparait en partant sur les races d’une femme écrivain. C’est le point de départ d’une quête irraisonnée de personnages qui se croisent et qui défient le temps. Mythes, légendes, traditions et fiction se côtoient dans ce roman aux multiples facettes.  

Disponible au format liseuse sur :    & 

Victor Vaugrenard, septuagénaire veuf, déboussolé, en rupture avec la société, se retire dans une bergerie de l’immense massif de la Sainte-Baume.

Un site protégé, sauvage, dépeuplé, qui convient à son projet : finir ses jours en marge de ce monde qui va trop vite, qui le déprime, et dans lequel il ne trouve plus sa place.

Un an après, notre ermite a relevé le défi quand un événement énigmatique lui barre la route et va le replonger dans la vie qu’il avait voulu fuir... Il décide de résoudre cette énigme et se lance dans une enquête passionnante qui le ramène au début du XIXe siècle.

Dans ses investigations difficiles et à rebondissements, la réalité historique et l’imaginaire se confondent souvent...

C’est avec un intérêt passionné, traversé d’intrigues, d’allégresse et de désespoir, que l’auteur tisse une histoire tumultueuse et toute brûlante d’amour avec les tragiques évènements de Toulon pendant la Terreur, en y mêlant scrupuleusement les références authentiques, les personnages et les lieux dits.

Paris, début du XIV^e siècle. Le roi Philippe IV le Bel ambitionne de dissoudre l’ordre du Temple qui a tant grossi et prospéré qu’il représente à ses yeux une menace pour le royaume.

Dans une ville où souffle le vent mauvais de la chute des chevaliers du Christ, Tristan de Chevreuse, jeune étudiant en médecine souffrant d’une infirmité, découvre un livre ancien acquis par son père Enguerrand, médecin et professeur à l’université de Paris. Cet ouvrage dont les théories remettent en cause les fondements mêmes de la chrétienté, tombe accidentellement entre les mains du doyen de l’école. Jaloux du père de Tristan et convoitant ses biens, le doyen remet le livre interdit aux autorités ecclésiastiques. Accusé d’hérésie, Enguerrand de Chevreuse est arrêté et livré aux griffes de l’Inquisition. 

Magali est une petite fille sensible, trop peut-être…

Saura-t-elle surmonter les défis de son âge ?

Sa rentrée à la grande école semble bien difficile.

Magali découvre que le monde n’est pas si beau que ça. Son imagination galopante lui sera-t-elle une aide ou un handicap ?

Comme tous les samedis matins, dès neuf heures, la Grande Brasserie, elle fait peau neuve. Y sont tous là, les buveurs de kaouah dans le traditionnel verre à la turque, les commerçants du coin qui tapent un bain de jouvence auprès de l’amitié d’enfance, les joueurs de flippers qui secouent le billard comme un prunier et font Tilt à chaque partie, tout un monde bon enfant, habitué du lieu avant d’entreprendre leur journée.

Dans chaque maison, bien enfouis sous les piles de drap, se meurent des secrets de famille. Inspiré de tous ces non-dits, ce roman nous entraine de la Provence sous l’occupation allemande à la quête de la vérité sur la disparition de deux enfants dans le Berlin de l’après-guerre. La lumière éclatera enfin, sous le soleil d’un matin d’août 2016…

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Amoureux des mots depuis ma petite enfance ; à l'école, déjà, je m'envolais vers des mondes imaginaires. Livré à moi-même dès l'âge de 17 ans, j'ai profité de cette liberté pour vivre pleinement mes rêves de voyages lointains. C'est en hommage à tous ces personnages croisés que je me suis laissé emporter par l'écriture.