Les carnets du tantrisme n°8 : Le troisième œil de Robert BLANCHARD
Référence: L0979
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Cette très célèbre invention de la pensée asiatique soutient une théorie parfaite de la connaissance, au modèle des sciences occidentales. Le troisième il est une fonction positive de l’imaginaire, apte à connaître des choses non scientifiques, le mystique, l’émotionnel, l’esthétique, le religieux, le merveilleux, tout ce que Kant résumait dans les mots : Dieu, le monde, l’homme.
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Cette très célèbre invention de la pensée asiatique soutient une théorie parfaite de la connaissance, au modèle des sciences occidentales. Le troisième il est une fonction positive de l’imaginaire, apte à connaître des choses non scientifiques, le mystique, l’émotionnel, l’esthétique, le religieux, le merveilleux, tout ce que Kant résumait dans les mots : Dieu, le monde, l’homme.
Ce livre est l’œuvre du père Pierre Bilard qui s’est mis au service des personnes détenues comme aumônier catholique à la maison d’arrêt de Dijon pendant 13 ans, jusqu’à ce qu’il soit atteint par la limite d’âge. Ses qualités d’homme de Dieu et d’homme de lettres l’ont conduit à entretenir un abondant courrier avec les prisonniers. C’est l’ensemble de ces témoignages écrits qu’il nous rapporte dans cet ouvrage avec beaucoup de simplicité, sans commentaires excessifs mais avec une grande vérité, laissant au lecteur la liberté de juger de la pertinence de ces témoignages. Ce livre confirme qu’en prison la quête spirituelle est très présente et suscite souvent l’admiration.
Paul Ricoeur disait profondément Écrire, c’est réécrire. Dans le présent travail de réécriture des livres de Clément Brentano publiés au dix-neuvième siècle, j’ai souvent mis un bémol à ce qu’Anne-Catherine Emmerich (1774-1824) lui avait dit à partir de sa foi de religieuse augustinienne.
La joie de vivre n’est pas un bonheur spontané qui viendrait de l’accumulation des biens divers. Elle nous est donnée avec la vie qui contient tous ses ingrédients.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
Voici un recueil de prières et de méditations spirituelles à mettre à portée de main sur sa table de chevet. Le besoin de prier et de se raffermir dans sa foi catholique trouvera bonheur parmi tous ces textes religieux écrits avec ferveur par une dame au grand cœur, éprise d’amour pour son prochain et de vénération pour la Sainte-Trinité. L’auteure nous livre, avec une grande sincérité, ses prières et ses méditations chargées d’énergies communicatives. Elle encourage à prier dans la persévérance jusqu’à obtenir le miracle espéré. Ce recueil témoigne d’une foi ardente alimentée d’un regard bienveillant et réaliste sur le monde qui l’entoure.
La question préalable à toute initiation est donc de forger un outil linguistique capable de nous dire, à nous autres occidentaux du XXIème siècle, le sens de ce qui est écrit et sa transposition en langues occidentales.
Ce premier carnet doit répondre à toutes les interrogations concernant le tantrisme. Il doit démontrer que sans rien changer à votre vie, l’initiation en bouleversera cependant les principes.
D’après la tradition, saint Maur (vers 512-584) est né dans une famille patricienne originaire de Rome, son père ayant été sénateur. Saint Maur entra au monastère du Mont-Cassin, dont l’abbé était alors saint Benoît de Nursie, le père du monachisme occidental ».
À la suite d’un premier volume visant à montrer en quoi l’évolution des connaissances scientifiques oblige à reconsidérer les fondements anthropologiques de la foi en Dieu, ce deuxième tome tente de préciser ce que l’on peut dire de Jésus-Christ à partir des données historiques, des écrits du Nouveau Testament et de l’enseignement de l’Église. Jésus, dont on connaît en définitive peu de choses, a été « mythifié » au cours des premiers siècles de notre ère, jusqu’à devenir le Christ, Fils unique de Dieu et Sauveur des hommes.
Pour les amis du Christ et pour tous ceux qui s’intéressent à ses proches, les révélations faites à l’ancienne petite bergère allemande devenue religieuse augustinienne, Anne-Catherine Emmerich (1774-1824) sont une source d’informations considérable, même si elle n’a fréquenté l’école primaire que quatre mois.
Cette très célèbre invention de la pensée asiatique soutient une théorie parfaite de la connaissance, au modèle des sciences occidentales. Le troisième il est une fonction positive de l’imaginaire, apte à connaître des choses non scientifiques, le mystique, l’émotionnel, l’esthétique, le religieux, le merveilleux, tout ce que Kant résumait dans les mots : Dieu, le monde, l’homme.