FOI ET DOUTE D’UN CHRÉTIEN ORDINAIRE tome 1 de Jean HÉE
Référence: L1814
22,00 €
TTC
Entre ceux « qui croient au ciel » et « ceux qui n’y croient pas », nombre de malentendus et de controverses pourraient bien provenir non seulement de l’ignorance ou de l’indifférence, mais bien davantage encore de l’écart entre ce que l’on croit et ce que l’on sait. Or, cet écart va croissant en raison de l’évolution des connaissances face à l’immutabilité relative des doctrines religieuses, pour la plupart fondées sur des paradigmes obsolètes. Avant d’envisager pourquoi et comment croire en Dieu, il conviendrait donc d’analyser de façon critique les présupposés scientifiques, anthropologiques, métaphysiques qui ont présidé à l’élaboration du christianisme notamment, et de les confronter aux connaissances actuelles.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Entre ceux « qui croient au ciel » et « ceux qui n’y croient pas », nombre de malentendus et de controverses pourraient bien provenir non seulement de l’ignorance ou de l’indifférence, mais bien davantage encore de l’écart entre ce que l’on croit et ce que l’on sait. Or, cet écart va croissant en raison de l’évolution des connaissances face à l’immutabilité relative des doctrines religieuses, pour la plupart fondées sur des paradigmes obsolètes. Avant d’envisager pourquoi et comment croire en Dieu, il conviendrait donc d’analyser de façon critique les présupposés scientifiques, anthropologiques, métaphysiques qui ont présidé à l’élaboration du christianisme notamment, et de les confronter aux connaissances actuelles. La foi en un Dieu unique a une histoire… et contrairement à ce qu’affirment souvent les religions monothéistes, tout n’a sans doute pas été dit, ou plutôt, paradoxalement, trop a peut-être été dit sur Dieu ! Une meilleure approche de la création ne permettrait-elle pas de mieux connaître sinon le Créateur du moins son éventuel « projet » dans lequel l’Homme pourrait trouver sa place et discerner sa responsabilité ?
À la suite d’un premier volume visant à montrer en quoi l’évolution des connaissances scientifiques oblige à reconsidérer les fondements anthropologiques de la foi en Dieu, ce deuxième tome tente de préciser ce que l’on peut dire de Jésus-Christ à partir des données historiques, des écrits du Nouveau Testament et de l’enseignement de l’Église. Jésus, dont on connaît en définitive peu de choses, a été « mythifié » au cours des premiers siècles de notre ère, jusqu’à devenir le Christ, Fils unique de Dieu et Sauveur des hommes.
Le désir de s’adresser à ceux qui vivent dans le monde de l’athéisme, qui a longtemps été le mien, sera présent dans le livre Le Temps de la Passion. C’est également pour eux que fut écrit Le Temps de Pentecôte.
Le Tantrisme est un immense système d’une très forte cohérence, dont chaque point est relié étroitement avec tous les autres. Il est donc préférable d’en avoir dès le début une vision cavalière générale qui fera voir ensemble les points les plus saillants.
Cet ouvrage revient sur les fondements du judaïsme ainsi que sur ses différents aspects identitaires. Les mille et une facettes du christianisme ainsi que les visages si contrastés de lislam sont aussi des paramètres largement évoqués. En clair lauteur effectue une mise au point des connaissances en termes de religions depuis les temps les plus reculés jusquà nos jours. Le livre sachève par un essai de synthèse montrant ce qui unit les trois religions, ce qui les sépare et ce qui les oppose.
Du 5 juin au 5 décembre de l’an 26 de notre Ère, le lecteur trouvera ici, d’après Anne-Catherine Emmerich (1774-1824), dont on dit souvent qu’elle fut la plus grande visionnaire de tous les temps, six mois de la vie du Christ et de ses proches, jusqu’à la fin des quarante jours de jeûne au désert. Il y a ici quatre auteurs qui ont travaillé avec persévérance le même sujet sur une période de 240 ans : au départ, Anne-Catherine Emmerich ; puis l’écrivain allemand, ami de Goethe, Clément Brentano (1778-1842), qui voulait consacrer une quinzaine de jours pour réaliser un reportage sur Anne-Catherine, mais qui est resté six ans pour consigner les récits extraordinaires qu’elle lui faisait et qui élabora ensuite, à partir de là, plusieurs livres à grand succès...
Cette réédition de « La vie de Monseigneur Antoine Daveluy », écrite par Charles Salmon en 1883, paraît aujourd’hui sous le titre de « La vie de saint Antoine Daveluy » puisque ce Picard, évêque d’Acônes, martyr en Corée en 1866 aux côtés de 103 compagnons fut canonisé le 06 mai 1984 par le pape Jean-Paul II, avant que le pape François ne canonise en 2014 à Séoul 200 autres martyrs pour leur foi. Cet ouvrage, introuvable aujourd’hui, reste criant d’actualité : certes, il détaille la vie de saint Antoine mais il décrit aussi les difficultés d’ouverture de la Corée au monde occidental.
Les Dames de Saint-Maur se sont installées à Toulon en 1686, lorsque Monseigneur de Chalucet, Evêque du diocèse, a sollicité leur aide pour éduquer les jeunes filles de notre cité, à une époque où l’éducation publique faisait défaut. Elles accomplirent leur mission pendant près de deux siècles et demi dans différents établissements toulonnais. C’est en 1842 qu’elles s’installèrent au quartier de Valbourdin, dans une grande propriété alors dénommée le « champ clos » où un internat et un externat fonctionnèrent jusqu’en 1906. Les Dames de Saint-Maur ont participé à la vie de Toulon, marquant de leurs empreintes l’histoire locale, en menant des actions auprès des enfants et des adolescentes, puis après la première guerre mondiale, au service des personnes âgées.
Cet ouvrage survole 10 000 ans d’histoire de cette terre que l’on nomme selon ses croyances Terre Promise ou Terre Sainte. Il veut montrer que les luttes sanglantes existent depuis la nuit des temps et que, préhistoire mise à part, la Palestine a changé 13 fois de carte d’identité.
Paul Ricoeur disait profondément Écrire, c’est réécrire. Dans le présent travail de réécriture des livres de Clément Brentano publiés au dix-neuvième siècle, j’ai souvent mis un bémol à ce qu’Anne-Catherine Emmerich (1774-1824) lui avait dit à partir de sa foi de religieuse augustinienne.
Ce premier carnet doit répondre à toutes les interrogations concernant le tantrisme. Il doit démontrer que sans rien changer à votre vie, l’initiation en bouleversera cependant les principes.
Ce XIIIème carnet aborde de front la mystique tantrique par la théorie du Spanda, ou de la vibration. Il montre que, si dans l’univers tout est mouvement, ce qui est une description relevant de la Physique, l’origine de ce mouvement et sa signification sont données par le Shivaïsme non dualiste. La vibration devient alors la manifestation générale de Shiva en sa création, y compris dans la Conscience.
Illustrer quelques passages de l’évangile, avec mes modestes moyens, m’a procuré une grande joie.
Peut-être ce livre donnera-t-il envie à ceux qui le feuillèteront d’approfondir leur connaissance de Jésus Christ.
A. D.
Entre ceux « qui croient au ciel » et « ceux qui n’y croient pas », nombre de malentendus et de controverses pourraient bien provenir non seulement de l’ignorance ou de l’indifférence, mais bien davantage encore de l’écart entre ce que l’on croit et ce que l’on sait. Or, cet écart va croissant en raison de l’évolution des connaissances face à l’immutabilité relative des doctrines religieuses, pour la plupart fondées sur des paradigmes obsolètes. Avant d’envisager pourquoi et comment croire en Dieu, il conviendrait donc d’analyser de façon critique les présupposés scientifiques, anthropologiques, métaphysiques qui ont présidé à l’élaboration du christianisme notamment, et de les confronter aux connaissances actuelles.