Le Tantrisme est un empirisme rationnel : toutes ses idées sont fondées sur un contact étroit et critique avec les réalités qui nous entourent. Ce contact légitime leur vérité et dévalorise d’autant toutes les constructions gratuites de type religieux ou idéologique. Ce carnet sous la direction explicite de la Yogini Devi, Guru de Daniel Odier, montre en détail la manière dont nous devons établir un contact valable avec les réalités de la Nature. C’est là déjà l’exercice de toute une vie.
La Cristiada (1926-1929) est un épisode dramatique encore peu connu de l’histoire du Mexique. Seulement quelques ouvrages de langue française lui ont été consacrés et le film Les Cristeros a été chichement diffusé en France. José Sanchez del Rio, qui en est l’un des deux principaux personnages avec le général Gorostieta, interprété par Andy Garcia, s’était engagé à quatorze ans pour défendre la liberté religieuse. Fait prisonnier, il a été victime de mauvais traitements pendant trois jours et finalement martyrisé. Benoît XVI l’a béatifié en 2005 et il a été canonisé par le pape François le 16 octobre 2016.
Don Savié de Fourvière de son vrai nom Albert Joseph Rodolphe Rieu ecclésiastique et prosateur en langue provençale nous a quitté depuis cent cinquante années et après tant de temps son nom est resté attaché au dictionnaire « lou pichot tresor » Albert Joseph Rodolphe Rieu : Se sentant appelé au sacerdoce, Albert entrera en octobre 1864 à l’âge de 11 ans au petit séminaire en Avignon. Malgré l’interdiction d’utiliser le provençal dans les conversations, qui lui valurent des remontrances de l’établissement tout comme de sa mère. Mais voilà qu’à quinze ans, il découvre Mireille l’œuvre de Frédéric Mistral : « Un ange du ciel me remit le livre qui allait décider de ma vie…. Quel enthousiasme remplit alors mon âme ! »
Le Tantrisme est un immense système d’une très forte cohérence, dont chaque point est relié étroitement avec tous les autres. Il est donc préférable d’en avoir dès le début une vision cavalière générale qui fera voir ensemble les points les plus saillants.
Du 5 juin au 5 décembre de l’an 26 de notre Ère, le lecteur trouvera ici, d’après Anne-Catherine Emmerich (1774-1824), dont on dit souvent qu’elle fut la plus grande visionnaire de tous les temps, six mois de la vie du Christ et de ses proches, jusqu’à la fin des quarante jours de jeûne au désert. Il y a ici quatre auteurs qui ont travaillé avec persévérance le même sujet sur une période de 240 ans : au départ, Anne-Catherine Emmerich ; puis l’écrivain allemand, ami de Goethe, Clément Brentano (1778-1842), qui voulait consacrer une quinzaine de jours pour réaliser un reportage sur Anne-Catherine, mais qui est resté six ans pour consigner les récits extraordinaires qu’elle lui faisait et qui élabora ensuite, à partir de là, plusieurs livres à grand succès...
Le désir de s’adresser à ceux qui vivent dans le monde de l’athéisme, qui a longtemps été le mien, sera présent dans le livre Le Temps de la Passion. C’est également pour eux que fut écrit Le Temps de Pentecôte.
Ce XIIIème carnet aborde de front la mystique tantrique par la théorie du Spanda, ou de la vibration. Il montre que, si dans l’univers tout est mouvement, ce qui est une description relevant de la Physique, l’origine de ce mouvement et sa signification sont données par le Shivaïsme non dualiste. La vibration devient alors la manifestation générale de Shiva en sa création, y compris dans la Conscience.
Les Dames de Saint-Maur se sont installées à Toulon en 1686, lorsque Monseigneur de Chalucet, Evêque du diocèse, a sollicité leur aide pour éduquer les jeunes filles de notre cité, à une époque où l’éducation publique faisait défaut. Elles accomplirent leur mission pendant près de deux siècles et demi dans différents établissements toulonnais. C’est en 1842 qu’elles s’installèrent au quartier de Valbourdin, dans une grande propriété alors dénommée le « champ clos » où un internat et un externat fonctionnèrent jusqu’en 1906. Les Dames de Saint-Maur ont participé à la vie de Toulon, marquant de leurs empreintes l’histoire locale, en menant des actions auprès des enfants et des adolescentes, puis après la première guerre mondiale, au service des personnes âgées.
J’ai accepté bien volontiers d’entrer en dialogue avec Robert Pembélé, Sociologue et Prêtre, du diocèse de Fréjus-Toulon, en Provence Alpes Côte d’Azur (France). Il me fit l’honneur d’être son parrain d’ordination sacerdotale, le samedi 6 avril 1991, à Nkongsamba-Cameroun. En signe d’un témoignage d’amitié sacerdotale, mon filleul a bien voulu que je l’aide à rendre compte de l’Espérance qui l’anime dans sa vocation à suivre le Christ. Certaines de mes questions n’ont pas toujours plu à mon ami et fils spirituel mais vous constaterez, au fil des échanges, son effort louable d’apporter les solutions à certaines interrogations embarrassantes.
Herman Wijns, Belge de langue flamande né en 1931 a, dès son plus jeune âge, été gratifié d’une foi si solide qu’elle a rapidement dépassé celle de ses parents. « Prêtre ou rien », voilà ce qu’il voulait devenir dès sa sixième année. Excellent camarade, vif et généreux, courageux, héroïque même, doté d’une prescience étonnante, il a connu dans sa courte vie des épisodes dignes d’un destin exceptionnel. Aucun servant de messe n’a, sans doute, dans toute l’histoire de l’Eglise, été aussi dévoué et compétent. Il meurt à dix ans à la suite d’un accident. Sa Cause de béatification semble enfin sur le point d’être ouverte.
Un célèbre éditeur parisien disparait en partant sur les races d’une femme écrivain. C’est le point de départ d’une quête irraisonnée de personnages qui se croisent et qui défient le temps. Mythes, légendes, traditions et fiction se côtoient dans ce roman aux multiples facettes.