Les carnets du tantrisme n°13 : L’école tantrique du Spanda de Robert BLANCHARD
Référence: L1088
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Ce XIIIème carnet aborde de front la mystique tantrique par la théorie du Spanda, ou de la vibration. Il montre que, si dans l’univers tout est mouvement, ce qui est une description relevant de la Physique, l’origine de ce mouvement et sa signification sont données par le Shivaïsme non dualiste. La vibration devient alors la manifestation générale de Shiva en sa création, y compris dans la Conscience.
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Ce XIIIème carnet aborde de front la mystique tantrique par la théorie du Spanda, ou de la vibration. Il montre que, si dans l’univers tout est mouvement, ce qui est une description relevant de la Physique, l’origine de ce mouvement et sa signification sont données par le Shivaïsme non dualiste. La vibration devient alors la manifestation générale de Shiva en sa création, y compris dans la Conscience.
La joie de vivre n’est pas un bonheur spontané qui viendrait de l’accumulation des biens divers. Elle nous est donnée avec la vie qui contient tous ses ingrédients.
J’ai accepté bien volontiers d’entrer en dialogue avec Robert Pembélé, Sociologue et Prêtre, du diocèse de Fréjus-Toulon, en Provence Alpes Côte d’Azur (France). Il me fit l’honneur d’être son parrain d’ordination sacerdotale, le samedi 6 avril 1991, à Nkongsamba-Cameroun. En signe d’un témoignage d’amitié sacerdotale, mon filleul a bien voulu que je l’aide à rendre compte de l’Espérance qui l’anime dans sa vocation à suivre le Christ. Certaines de mes questions n’ont pas toujours plu à mon ami et fils spirituel mais vous constaterez, au fil des échanges, son effort louable d’apporter les solutions à certaines interrogations embarrassantes.
Paul Ricoeur disait profondément Écrire, c’est réécrire. Dans le présent travail de réécriture des livres de Clément Brentano publiés au dix-neuvième siècle, j’ai souvent mis un bémol à ce qu’Anne-Catherine Emmerich (1774-1824) lui avait dit à partir de sa foi de religieuse augustinienne.
Pourquoi cet Évangile est-il dit « provençal » ? Parce que, selon Anne-Catherine Emmerich, à partir de l’an 37 de notre Ère, Lazare et ses deux sœurs (Marthe et Marie-Madeleine), ainsi que Sidoine, Saint-Maximin et quelques autres sont effectivement venus évangéliser la Provence. Les trois premiers volumes de ces Récits sur les premiers temps de l’Ère chrétienne sont déjà « centrés » sur tous ceux qui, une dizaine d’années plus tard, se retrouveront en divers lieux de la Provence romaine. Ainsi, c’est seulement lorsqu’il aura atteint puis dépassé l’an 37 de notre ère que cet ouvrage méritera véritablement son titre, qu’il porte encore, pour l’instant, par anticipation.
Le Tantrisme est un immense système d’une très forte cohérence, dont chaque point est relié étroitement avec tous les autres. Il est donc préférable d’en avoir dès le début une vision cavalière générale qui fera voir ensemble les points les plus saillants.
Du 5 juin au 5 décembre de l’an 26 de notre Ère, le lecteur trouvera ici, d’après Anne-Catherine Emmerich (1774-1824), dont on dit souvent qu’elle fut la plus grande visionnaire de tous les temps, six mois de la vie du Christ et de ses proches, jusqu’à la fin des quarante jours de jeûne au désert. Il y a ici quatre auteurs qui ont travaillé avec persévérance le même sujet sur une période de 240 ans : au départ, Anne-Catherine Emmerich ; puis l’écrivain allemand, ami de Goethe, Clément Brentano (1778-1842), qui voulait consacrer une quinzaine de jours pour réaliser un reportage sur Anne-Catherine, mais qui est resté six ans pour consigner les récits extraordinaires qu’elle lui faisait et qui élabora ensuite, à partir de là, plusieurs livres à grand succès...
Cet ouvrage survole 10 000 ans d’histoire de cette terre que l’on nomme selon ses croyances Terre Promise ou Terre Sainte. Il veut montrer que les luttes sanglantes existent depuis la nuit des temps et que, préhistoire mise à part, la Palestine a changé 13 fois de carte d’identité.
Entre ceux « qui croient au ciel » et « ceux qui n’y croient pas », nombre de malentendus et de controverses pourraient bien provenir non seulement de l’ignorance ou de l’indifférence, mais bien davantage encore de l’écart entre ce que l’on croit et ce que l’on sait. Or, cet écart va croissant en raison de l’évolution des connaissances face à l’immutabilité relative des doctrines religieuses, pour la plupart fondées sur des paradigmes obsolètes. Avant d’envisager pourquoi et comment croire en Dieu, il conviendrait donc d’analyser de façon critique les présupposés scientifiques, anthropologiques, métaphysiques qui ont présidé à l’élaboration du christianisme notamment, et de les confronter aux connaissances actuelles.
Ce XIIIème carnet aborde de front la mystique tantrique par la théorie du Spanda, ou de la vibration. Il montre que, si dans l’univers tout est mouvement, ce qui est une description relevant de la Physique, l’origine de ce mouvement et sa signification sont données par le Shivaïsme non dualiste. La vibration devient alors la manifestation générale de Shiva en sa création, y compris dans la Conscience.