Ces principes généraux sont au nombre de deux : le principe de réalité et le principe de non-dualité. Le premier exprime la « tectonique » de la pensée tantrique, le second montre la dynamique de l’Univers, notamment le destin des hommes et la direction universelle de leur progression spirituelle. L’articulation de ces deux principes concluent à ériger la Nature à la fois comme réalité fondamentale et comme la projection qui donne sens à l’évolution de toutes choses.
Ce XIIIème carnet aborde de front la mystique tantrique par la théorie du Spanda, ou de la vibration. Il montre que, si dans l’univers tout est mouvement, ce qui est une description relevant de la Physique, l’origine de ce mouvement et sa signification sont données par le Shivaïsme non dualiste. La vibration devient alors la manifestation générale de Shiva en sa création, y compris dans la Conscience.
Les Dames de Saint-Maur se sont installées à Toulon en 1686, lorsque Monseigneur de Chalucet, Evêque du diocèse, a sollicité leur aide pour éduquer les jeunes filles de notre cité, à une époque où l’éducation publique faisait défaut. Elles accomplirent leur mission pendant près de deux siècles et demi dans différents établissements toulonnais. C’est en 1842 qu’elles s’installèrent au quartier de Valbourdin, dans une grande propriété alors dénommée le « champ clos » où un internat et un externat fonctionnèrent jusqu’en 1906. Les Dames de Saint-Maur ont participé à la vie de Toulon, marquant de leurs empreintes l’histoire locale, en menant des actions auprès des enfants et des adolescentes, puis après la première guerre mondiale, au service des personnes âgées.
Du 5 juin au 5 décembre de l’an 26 de notre Ère, le lecteur trouvera ici, d’après Anne-Catherine Emmerich (1774-1824), dont on dit souvent qu’elle fut la plus grande visionnaire de tous les temps, six mois de la vie du Christ et de ses proches, jusqu’à la fin des quarante jours de jeûne au désert. Il y a ici quatre auteurs qui ont travaillé avec persévérance le même sujet sur une période de 240 ans : au départ, Anne-Catherine Emmerich ; puis l’écrivain allemand, ami de Goethe, Clément Brentano (1778-1842), qui voulait consacrer une quinzaine de jours pour réaliser un reportage sur Anne-Catherine, mais qui est resté six ans pour consigner les récits extraordinaires qu’elle lui faisait et qui élabora ensuite, à partir de là, plusieurs livres à grand succès...
Le développement actuel du catéchuménat des adultes nécessite de nouveaux accompagnateurs. Certaines personnes hésitent à se lancer dans l'aventure. Ce dossier a pour but de les aider en leur proposant des contenus pour un déroulement substantiel des rencontres de catéchèse préparant aux trois sacrements de l'initiation chrétienne. Il est adossé aux textes bibliques présentés dans "PARLE SEIGNEUR, ta Parole est un Trésor" (Éditions MAME-Tardy). Les accompagnateurs pourront suivre ces fiches de près, ou s'en inspirer en les adaptant aux besoins et possibilités de chacun.
D’après la tradition, saint Maur (vers 512-584) est né dans une famille patricienne originaire de Rome, son père ayant été sénateur. Saint Maur entra au monastère du Mont-Cassin, dont l’abbé était alors saint Benoît de Nursie, le père du monachisme occidental ».
J’ai accepté bien volontiers d’entrer en dialogue avec Robert Pembélé, Sociologue et Prêtre, du diocèse de Fréjus-Toulon, en Provence Alpes Côte d’Azur (France). Il me fit l’honneur d’être son parrain d’ordination sacerdotale, le samedi 6 avril 1991, à Nkongsamba-Cameroun. En signe d’un témoignage d’amitié sacerdotale, mon filleul a bien voulu que je l’aide à rendre compte de l’Espérance qui l’anime dans sa vocation à suivre le Christ. Certaines de mes questions n’ont pas toujours plu à mon ami et fils spirituel mais vous constaterez, au fil des échanges, son effort louable d’apporter les solutions à certaines interrogations embarrassantes.
La question préalable à toute initiation est donc de forger un outil linguistique capable de nous dire, à nous autres occidentaux du XXIème siècle, le sens de ce qui est écrit et sa transposition en langues occidentales.
Cette très célèbre invention de la pensée asiatique soutient une théorie parfaite de la connaissance, au modèle des sciences occidentales. Le troisième il est une fonction positive de l’imaginaire, apte à connaître des choses non scientifiques, le mystique, l’émotionnel, l’esthétique, le religieux, le merveilleux, tout ce que Kant résumait dans les mots : Dieu, le monde, l’homme.
Pourquoi cet Évangile est-il dit « provençal » ? Parce que, selon Anne-Catherine Emmerich, à partir de l’an 37 de notre Ère, Lazare et ses deux sœurs (Marthe et Marie-Madeleine), ainsi que Sidoine, Saint-Maximin et quelques autres sont effectivement venus évangéliser la Provence. Les trois premiers volumes de ces Récits sur les premiers temps de l’Ère chrétienne sont déjà « centrés » sur tous ceux qui, une dizaine d’années plus tard, se retrouveront en divers lieux de la Provence romaine. Ainsi, c’est seulement lorsqu’il aura atteint puis dépassé l’an 37 de notre ère que cet ouvrage méritera véritablement son titre, qu’il porte encore, pour l’instant, par anticipation.
Paul Ricoeur disait profondément Écrire, c’est réécrire. Dans le présent travail de réécriture des livres de Clément Brentano publiés au dix-neuvième siècle, j’ai souvent mis un bémol à ce qu’Anne-Catherine Emmerich (1774-1824) lui avait dit à partir de sa foi de religieuse augustinienne.
Ces principes généraux sont au nombre de deux : le principe de réalité et le principe de non-dualité.