LES SCAPHANDRIERS DE LA SPIROTECHNIQUE de Scaph’ 50
Référence: L0919
15,00 €
TTC
C’est un bien bel anniversaire que ces 60 ans d’Aqua Lung, la Spirotechnique. Il nous ramène en 1947, lorsque la société Air Liquide créa la première entreprise de plongée dont le but était d’industrialiser et de commercialiser les idées du commandant Cousteau. L’ère de la plongée sportive et de loisir était née. Avec Air Liquide, nous étions dans le domaine de la maîtrise des risques, la technique industrielle étant mise à disposition des pionniers de la plongée sous-marine. Avec Jacques Yves Cousteau, nous entrions dans le domaine de l’image et de la communication
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
C’est un bien bel anniversaire que ces 60 ans d’Aqua Lung, la Spirotechnique. Il nous ramène en 1947, lorsque la société Air Liquide créa la première entreprise de plongée dont le but était d’industrialiser et de commercialiser les idées du commandant Cousteau. L’ère de la plongée sportive et de loisir était née. Avec Air Liquide, nous étions dans le domaine de la maîtrise des risques, la technique industrielle étant mise à disposition des pionniers de la plongée sous-marine. Avec Jacques Yves Cousteau, nous entrions dans le domaine de l’image et de la communication
Ce livre est l’œuvre du père Pierre Bilard qui s’est mis au service des personnes détenues comme aumônier catholique à la maison d’arrêt de Dijon pendant 13 ans, jusqu’à ce qu’il soit atteint par la limite d’âge. Ses qualités d’homme de Dieu et d’homme de lettres l’ont conduit à entretenir un abondant courrier avec les prisonniers. C’est l’ensemble de ces témoignages écrits qu’il nous rapporte dans cet ouvrage avec beaucoup de simplicité, sans commentaires excessifs mais avec une grande vérité, laissant au lecteur la liberté de juger de la pertinence de ces témoignages. Ce livre confirme qu’en prison la quête spirituelle est très présente et suscite souvent l’admiration.
Rien ne semblait prédestiner Christian Barral-Poignard à devenir un combattant coincé dans des moments courts mais prenants et dangereux. Pourtant, les hasards et les violences de la vie ont fait que l’intéressé a été appelé sous les drapeaux pour prendre part à la guerre d’Indochine en 1953. Son existence va alors être totalement bouleversée en vie militaire avec une incidence sur sa vie privée : mariage avec Paulette Poignard, lycéenne française métis quarteronne jaune. Mais ses capacités d’adaptation et de réaction feront de lui un guerrier récompensé par de multiples médailles et distinctions mineures dans la collection décorative mais majeure pour Lui en Médaille Militaire : la seule non polluée par les politicards des partis.
Elle a quatre ans et demi et s'appelle Angeline. Elle est ma fille adoptive. Après une longue année de procédures, je suis allée la chercher en Haïti, son pays de naissance, et sommes rentrées ensemble le 24 décembre 2010, un de mes plus beaux noëls. J'étais maman pour la première fois. J'ai rêvé et idéalisé ma fille pendant de nombreux mois. Aujourd'hui, la réalité est tout autre. Il nous faut beaucoup de temps pour nous connaître, nous apprivoiser. Dès son arrivée, rapidement, nous rentrons à la clinique ce qui ne favorise pas notre rapprochement. Là tout commence. Chaque jour un nouveau combat s'offre à nous, car les difficultés sont bien présentes. Il faut gérer les colères, la partie médicale, le quotidien.
« La langue de chez nous autres, elle utilise tous les dialectes, toutes les expressions, toutes les langues latines pour dire les phrases et les mots qui nous passent par la tête. Alors, plutôt que de vous saouler sans anisette, mieux je vous tape le dictionnaire de chez moi pour vous parler du parler de chez nous autres. C’est un mélange « trabadia la mouquère » avec des zestes venus de tous les citronniers du monde entier mais c’est çuila que je parlais dans ma famille qu’elle est issue de Bab El Oued mais aussi de la casbah judéo-arabe. Mon maître d’orthographe de la rue Rochambeau y s’en est allé rejoindre le pays de bon dieu, reusement le pauvre, ou sinon y meurt de mauvais sang.
Elle a toujours aimé relater toutes ces journées qui passent sans lui. Elle aurait voulu aller le chercher, le ramener à elle... Ils étaient si bien tous les deux, même vieux, même moins beaux.
Il était son amour, elle était sa mémoire.
Embrasse-moi lui disait-elle. Et toi répondait-il, continue à me raconter...
Pour quelle raison demander aux amis du Ruisseau de la ville d’Alger, de se souvenir, de leur passage de l’Algérie, à la France ? N’ont-ils pas essuyé suffisamment de larmes pour les solliciter à nouveau ?
Quand un héritage inattendu émanant d’un oncle inconnu bouleverse l’existence d’un homme d’âge mûr. Sauf que là, il ne s’agit pas d’argent mais au contraire de quelque chose qui ne s’achète pas à savoir ses propres origines. Avec « L’enfant enlevé à sa mère » Marcel Bancel replonge dans son passé. Celui d’un enfant labellisé « pupille de la nation » car recueilli par la DDASS.
Pour les historiens d'aujourd'hui, l'histoire de l'Algérie débute en 1830. Que s’était-il passé précédemment ? La propagande laisse penser que la vie sur la côte des Barbaresques avant l'arrivée des Français était plus heureuse, alors que le pays était sous le joug de deux colonialismes en même temps, arabe depuis onze siècles et ottoman depuis trois cent quinze ans.
Jeune ingénieur des Ponts, plein d’idéal et de fantaisie, Henri Maux a 26 ans, lorsqu’il s’embarque à destination du Cambodge, où l’attend son premier poste. Pendant cinq ans, il va vivre une aventure exceptionnelle, se passionnant pour la civilisation khmère et pour le sort des habitants de ce pays neuf, où de grands travaux ont été lancés par la métropole : routes, ponts et construction du premier chemin de fer…. Il parcourt le pays à cheval, en voiture ou à dos d’éléphant, et apporte son aide aux grands conservateurs d’Angkor. C’est avec une réelle nostalgie qu’il quitte le Cambodge pour poursuivre sa carrière en Cochinchine, pendant trois ans.