Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
Rita Largillier délivre dans cet ouvrage un formidable message d’espoir à tous. Chacune de ces lignes recèle de véritables mots d’amour, gages d’une sincérité sans faille.
Le 12 Novembre 1941 vers 13 heures, par un temps exécrable j’ai assisté, avec mes copains du Camp 4, du Groupement 18 des Chantiers de la Jeunesse Française du Vigan dans le Gard, à la chute de l’avion quadrimoteur qui percuta la montagne dans la forêt et s’embrase au Col du Minier dans le massif de l’Aigoual. Dans des conditions atmosphériques abominables, nous y trouverons sept cadavres. Le soir, j’écrivis une longue lettre à mes parents, relatant la mort du Général Huntziger et des membres de sa suite. J’ai conservé tout le courrier de mes parents et de moi-même, de l’époque de mes vingt ans. En 1948, M. Pierre Mazier historien vient me voir, s’intéresse à mes documents et photos en ma possession.
Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien...
Après avoir participé, avec Antoine Boncompagni et Gérard Piasco, à l’écriture du livre « L’Histoire des Sapeurs-pompiers de Toulon », Alain Pellegrino a voulu essayer de se lancer seul dans l’aventure de l’élaboration d’un nouveau chapitre sur un sujet qui lui tient à cœur : le Sauvetage et Déblaiement.
Ce défi, qu’il s’est donné arrivé à terme, il pensait en avoir terminé avec l’écriture ! Mais le virus le reprend car il se rend compte qu’il y a encore de très nombreuses histoires à raconter sur les sapeurs-pompiers de Toulon et il se remet au travail pour aboutir à ce troisième livre.
« La langue de chez nous autres, elle utilise tous les dialectes, toutes les expressions, toutes les langues latines pour dire les phrases et les mots qui nous passent par la tête. Alors, plutôt que de vous saouler sans anisette, mieux je vous tape le dictionnaire de chez moi pour vous parler du parler de chez nous autres. C’est un mélange « trabadia la mouquère » avec des zestes venus de tous les citronniers du monde entier mais c’est çuila que je parlais dans ma famille qu’elle est issue de Bab El Oued mais aussi de la casbah judéo-arabe. Mon maître d’orthographe de la rue Rochambeau y s’en est allé rejoindre le pays de bon dieu, reusement le pauvre, ou sinon y meurt de mauvais sang.
Passionné depuis toujours par le monde des chats, et en particulier par le Chat sacré de Birmanie, l’auteur nous invite à découvrir la vie de trois chatons, pendant leurs premiers mois d’existence parmi nous. Eleveur familial depuis de nombreuses années, il nous fait suivre pas à pas l’évolution des nouveau-nés. De leur naissance, en passant par leur éveil, leur apprentissage, leur éducation ainsi que leur sevrage, c’est avec passion, humour et bienveillance qu’il suit leurs découvertes et leurs jeux. Le départ du foyer de naissance, à l’issue de cette période de leur vie, donnera l’occasion à de nouvelles familles, de partager les joies de vivre avec ces êtres merveilleux que sont nos compagnons, les Chats.
J’ai lu votre manuscrit avec toute mon estime pour votre manière d’être et votre courage. Vous êtes resté vous-même pendant tout cet enfermement et c’est votre force. Votre expérience montre aussi ce qui aide à garder la tête hors de l’eau : l’exercice physique régulier, les douches, la prière et surtout le souci de l’autre. »
Toulon libéré, la guerre n’est pas terminée, Monsieur Charles Bruno, mon ami, me demande d’être son second, au sein de l’entreprise de bâtiments Bruno et fils, (c’est lui le fils-gérant), et me confie la partie technico-administrative de la société. Il y a du pain sur la planche, car Toulon a beaucoup souffert ces trois dernières années. J’avais vingt-trois ans. Je passais subitement, à l’évaluation des dommages de guerre (travaux d’urgences) que je chiffrais et donnais aux architectes, puis au Ministère de la Reconstruction pour accord. Charles s’occupait alors des travaux. Je faisais la facturation. L’entreprise était cotée, elle avait de beaux jours devant elle.
Ce livre est l’œuvre du père Pierre Bilard qui s’est mis au service des personnes détenues comme aumônier catholique à la maison d’arrêt de Dijon pendant 13 ans, jusqu’à ce qu’il soit atteint par la limite d’âge. Ses qualités d’homme de Dieu et d’homme de lettres l’ont conduit à entretenir un abondant courrier avec les prisonniers. C’est l’ensemble de ces témoignages écrits qu’il nous rapporte dans cet ouvrage avec beaucoup de simplicité, sans commentaires excessifs mais avec une grande vérité, laissant au lecteur la liberté de juger de la pertinence de ces témoignages. Ce livre confirme qu’en prison la quête spirituelle est très présente et suscite souvent l’admiration.
Quoi de plus fascinant et captivant qu’une histoire vécue ? Qui plus est, de celles qui n’arrivent pas qu’aux autres. C’est bien le cas dans cet ouvrage, où l’authenticité vous interpelle page après page.
Un récit qui s’affranchit volontairement des us et coutumes en traitant d’un sujet trop souvent éludé : celui des victimes collatérales… Libres, mais comme « emprisonnées dehors ». Un récit poignant de vérité et touchant de sincérité.
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.
Chantal Cogoni-Losfeld raconte la vie d’un babouin qu’elle et son mari ont eu pendant des années. L’histoire est narrée comme si c’était le singe qui dévoilait ses propres aventures, pleines de joies et d’espiègleries. Un témoin particulier et privilégié de la fabuleuse ascension des Sunlights, groupe mythique des années 1960 et 1970. D’où les nombreuses situations exceptionnelles traversées par ce singe devenu au fil des ans un véritable compagnon de route.
« Ton fils est un âne… » Cette affirmation qui semblait sceller le destin du jeune Jean-Pierre se révélera bien inexacte ! Dans les années cinquante, ce petit Marseillais, débrouillard et curieux, nous entraîne du quartier du Panier au moulin du Logis-Neuf, en passant par le Vieux-Port et les ruelles de la grande ville. À travers anecdotes et souvenirs racontés avec humour, on suit avec plaisir les aventures de l’enfant qui, longtemps, s’est cru bon à rien. Malgré les vicissitudes qui se succéderont dans sa vie, l’optimisme typique des gens du Sud ne sera jamais loin et Jean-Pierre, dont on détectera finalement un fort QI, fera la démonstration de ses capacités en devenant pilote d’aéronautique navale dans la marine et plus tard pilote instructeur dans la vie civile.
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.