Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
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Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
Rita Largillier délivre dans cet ouvrage un formidable message d’espoir à tous. Chacune de ces lignes recèle de véritables mots d’amour, gages d’une sincérité sans faille.
Alexandre Briano retrace, à l’aide de témoignages, de documents et d’articles de presse ces neuf mois d’élaboration d’une campagne d’élection municipale toulonnaise, entre juin 1976 et mars 1977. Elle aurait pu être d’une banalité n’intéressant qu’une infime partie des Toulonnais. A priori, la ville semblait vouloir reconduire au mieux l’équipe municipe sortante ou, au pire, la liste de gauche PCF-PS. Mais un ver fut introduit dans le fruit : la proposition de responsables politiques parisiens de vouloir, dans certaines villes, ouvrir les listes à d’autres opposants tels que les gaullistes de gauche. À Toulon, avec la proposition de faire participer le vice-amiral d’escadre Antoine Sanguinetti, dit Tony Carabine, la zizanie durant de longs mois s’installa.
Ma vie, consacrée à une activité professionnelle débordante, s’éclaire d’une embellie soudaine : une rencontre, un sourire, peut-être des perspectives d’avenir… Très vite, l’éclaircie poussée par les vents de la discorde s’éloigne. Une naissance inattendue, le sourire d’un bébé innocent, annonceraient-ils le retour de l’espoir ? Mais la rupture gronde, le couple se casse. Janus intransigeant kidnappe mon enfant qui s’attache de plus en plus à moi. Une justice malentendante et malvoyante, prisonnière de ses multiples faiblesses et de ses préjugés, m’écarte de lui. L’amour paternel est fort et une lutte inégale s’engage contre cette justice frileuse qui m‘impose une attente infernale. Mon fils, 2 ans, grandira-t-il loin de moi ?
« En 39, j’avais 10 ans » est le livre de ma vie. Un récit que j’ai voulu poignant de vérité. Ainsi les passages marquants et anecdotes révélatrices sur des périodes historiques fortes, comme la Seconde Guerre mondiale bien sûr, se succèdent page après page. Les lecteurs découvriront les réalités d’une existence riche en émotions rythmée par les situations vécues, les gens rencontrés et les lieux traversés. Et si certains passages peuvent paraître incroyables, ils sont pourtant d’une véracité incontestable. À l’image de ces années qui ont fait de moi celui que je suis…
Comment vivaient nos aînés ? Vous souhaitez le découvrir au travers de témoignages ? Oui ? Alors entrons ensemble au cœur de leurs souvenirs qu’ils savent rendre si vivants ! À les lire, vous les imaginerez assis autour des animatrices et des animateurs des résidences, racontant à qui mieux mieux comment ils ont traversé les années d’école, vécu des épisodes de la Seconde Guerre mondiale, entamé leur vie au travail, aux champs, échangé leurs recettes et nos traditions provençales.
Récemment, lors d’une succession, l’auteur mit la main sur une mallette en carton qui semblait dormir depuis les années soixante. Il y trouva un important dossier avec des textes écrits en français, d’autres écrits en russe et en allemand et deux albums de photos en noir et blanc d’hommes en uniforme militaire et de dames sous chapeau cloche. Le tout, sans classement, pouvait paraître banal… En vérité, c’était un important dossier concernant une famille juive qui, échappant aux pogroms de Russie de 1904, s’était réfugiée à Paris où elle fit souche. Son histoire contemporaine commence en Dordogne, lors des congés payés de l’été 1939. Puis, ce fut la guerre et l’extermination d’une partie de cette famille, comme celle de milliers d’autres à Auschwitz.
L’aventure est au coin de la rue. Avec peu de moyens mais une volonté de fer, deux amis d’enfance ont parcouru la mythique National 7 sur de vieilles mobylettes des années 60, entre Paris et Hyères. Leur soif de découvertes leur a permis d’admirer les beaux paysages et les anciens vestiges de cette route des vacances. Allant naturellement au contact de nombreuses personnes rencontrées au cours de leur périple, Patrick et Morad passionnés d’aventure en deux roues, désiraient aussi à travers cette escapade, faire connaître l’association ARC-EN-CIEL qui s’occupe de réaliser les rêves d’enfants atteints de graves maladies. C’est ce qu’ils firent…
S’expatrier, c’est se lancer vers l’inconnu… À nous les horizons lointains et les aventures inattendues ! À nous les expériences originales mais parfois dangereuses, les belles rencontres humaines, avec toujours l’attrait de voir se dessiner des mondes inconnus. Plus question d’une vie monochrome, il faut aimer les couleurs vives. Antoinette Maux-Robert appartient à une famille où l’expatriation est la règle. Elle a passé de longues années à faire revivre le personnage aventureux de son père, dans quatre livres d’histoire très documentés sur l’Asie d’avant-Mao, qui figurent dans les bibliothèques universitaires. Elle a aussi publié cinq livres de Contes africains, tirés de son travail dans les hôpitaux du Sénégal et des spectacles de marionnettes, montés pour le Noël des enfants malades.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
« Ne connaîtra jamais l'amour celui qui a connu l'amour avant la rencontre. »
Rencontre à quinze ans, fiançailles à vingt, épousailles à vingt-deux ans. Durant cinquante-cinq ans, la vie s'écoulera douce et tranquille, comme éternelle. Un jour, la Camarde viendra frapper à la porte. Ce sera pareil à un tremblement de terre : les paysages se renverseront, des pans entiers de blocs se décrocheront d'une colline, tout ce qui est à l'endroit se retrouvera à l'envers. Ce sera le début d'un autre temps.
Un magnifique couple, sept ans de mariage, cinq FIV et le bonheur total à votre naissance, Alexia et Gary. Une violente bagarre conjugale quelques semaines plus tard qui ressemble davantage à un guet-apens et te voilà, mon fils, Peter, privé de tout du jour au lendemain. Ton épouse enchaînant avec des accusations immondes qu’elles sont des milliers de femmes à utiliser pour priver les pères de leurs droits… Surfant sur la vague « femmes battues » et MeToo, tous l’ont crue sans mettre en doute ses qualités de « mère d’exception » !
Je t’aime, ma chérie… Ces simples mots, je les ai attendus toute ma vie, mais jamais ils ne sont venus. Les seules paroles que ma mère était capable de prononcer à mon égard n’étaient que sentences critiques : – Tu es chétive, tu ne feras jamais rien de bon, tu es inutile. Ainsi, peu à peu, émergeant du plus profond de mon être, naquit l’ours. Je devins la personne que ma mère avait créée ; bourrue, insociable, muette. Elle avait gagné et pouvait à loisir me détruire. Recluse dans ma tanière, je ne permettais à personne de franchir les portes de mon refuge. Une femme qui a mis au monde un enfant doit lui prodiguer tout son amour. Seule alors, grand-mère réussit à gagner mon affection.
Quoi de plus fascinant et captivant qu’une histoire vécue ? Qui plus est, de celles qui n’arrivent pas qu’aux autres. C’est bien le cas dans cet ouvrage, où l’authenticité vous interpelle page après page.
Un récit qui s’affranchit volontairement des us et coutumes en traitant d’un sujet trop souvent éludé : celui des victimes collatérales… Libres, mais comme « emprisonnées dehors ». Un récit poignant de vérité et touchant de sincérité.
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.