Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
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Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
Rita Largillier délivre dans cet ouvrage un formidable message d’espoir à tous. Chacune de ces lignes recèle de véritables mots d’amour, gages d’une sincérité sans faille.
Ma vie, consacrée à une activité professionnelle débordante, s’éclaire d’une embellie soudaine : une rencontre, un sourire, peut-être des perspectives d’avenir… Très vite, l’éclaircie poussée par les vents de la discorde s’éloigne. Une naissance inattendue, le sourire d’un bébé innocent, annonceraient-ils le retour de l’espoir ? Mais la rupture gronde, le couple se casse. Janus intransigeant kidnappe mon enfant qui s’attache de plus en plus à moi. Une justice malentendante et malvoyante, prisonnière de ses multiples faiblesses et de ses préjugés, m’écarte de lui. L’amour paternel est fort et une lutte inégale s’engage contre cette justice frileuse qui m‘impose une attente infernale. Mon fils, 2 ans, grandira-t-il loin de moi ?
PROPRIÉTAIRE de bonne foi, l’auteur a fait confiance à un homme. Il lui a remis les clés de son appartement contre la promesse d’un virement immédiat. Ce locataire indélicat est resté TROIS ANS sans débourser un centime, DONT DEUX grâce ou à cause de la justice. Après avoir SUBI, devant un tribunal de proximité, une procédure judiciaire dont la longueur excessive lui a causé un PRÉJUDICE FINANCIER, l’auteur s’est interrogé. Il nous livre une ANALYSE IMPITOYABLE de cette justice qui s’arroge le droit d’être lente sans avoir à en rendre compte même quand cette lenteur génère l’injustice. Ce livre est un TÉMOIGNAGE qui révèle les faiblesses de notre justice de proximité et un DÉFI lancé aux plus hautes autorités sous forme de deux questions : SEREZ-VOUS CAPABLES d’entendre ces critiques ?
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
Je t’aime, ma chérie… Ces simples mots, je les ai attendus toute ma vie, mais jamais ils ne sont venus. Les seules paroles que ma mère était capable de prononcer à mon égard n’étaient que sentences critiques : – Tu es chétive, tu ne feras jamais rien de bon, tu es inutile. Ainsi, peu à peu, émergeant du plus profond de mon être, naquit l’ours. Je devins la personne que ma mère avait créée ; bourrue, insociable, muette. Elle avait gagné et pouvait à loisir me détruire. Recluse dans ma tanière, je ne permettais à personne de franchir les portes de mon refuge. Une femme qui a mis au monde un enfant doit lui prodiguer tout son amour. Seule alors, grand-mère réussit à gagner mon affection.
Sous l’œil bienveillant de sa maman, l’enfance de Jean fut très agréable. Insouciant des atrocités de la Seconde Guerre mondiale, sa vie se partageait entre les jeux avec ses camarades d’école et ses plongées dans la baie d’Agadir, inondée de soleil. Ce petit coin de France vivait alors en toute quiétude, en compagnie des Marocains, sous l’égide des autorités françaises. L’atmosphère y était paisible... Jusqu’à ce terrible jour du 29 février 1960, où un tremblement de terre a fait basculer la vie de Jean. Plus rien ne sera comme avant.
Au siècle dernier, on parlait de progrès pourtant peu de gens en profitait. Ils ne quittaient pas leur village, leur région et vivaient en vase clos. Puis il y eut la guerre, et la vie a changé. Notre génération fut la première à bouger : le train, l’avion, etc. L’empire colonial existait encore, la recherche du travail favorisait les déplacements.
« Il y a des flics bien singuliers », chantait Brassens. Fabrice MARTINEZ, à n’en pas douter, fait partie de ceux-là, lui qui murmure à l’oreille des grands singes. Il se voyait lointain explorateur et finit par intégrer les rangs de la police, par vocation. Mais une violente passion le cheville au corps : les gorilles ! Une femme admirable, Diane FOSSEY, se bat au Rwanda pour empêcher leur disparition. Elle meurt assassinée de six coups de machette, le 26 décembre 1985. Dès le lendemain, Fabrice fonde l’Association Gorilla et s’envole pour le Rwanda où il plante sa tente au pied d’un volcan, sur le territoire des gorilles de montagne. En Afrique, il est désormais connu comme le policier blanc qui veut sauver les gorilles.
Camille est l’aînée de nos petits-enfants. Elle adore se déguiser et, ce jour-là, elle s’est coiffée d’un petit chapeau rond et fleuri qui lui sied à merveille...
Ce tome II des mémoires des Chantiers Navals de La Seyne-sur-Mer a été difficile à rédiger. L’hommage rendu aux femmes était nécessaire, il ne fut pas simple à mettre en forme. Vraies et pudiques. Les femmes ont voulu témoigner ainsi. Le choix du témoignage nous a semblé la meilleure mise en page possible pour ce type de recueil. « Luttes et travail » en découlent naturellement. Nous n’avons pu échapper à l’intense attachement que nous avons eu pour cette prestigieuse entreprise que furent les Chantiers de La Seyne-sur-Mer, sentiment qui persiste encore aujourd’hui. Ensemble c’est le récit de notre aliénation et des luttes pour nous libérer qui est ici mis en page. Sans fard, ni lieu commun, sur le mouvement ouvrier seynois, dont notre présent porte encore les stigmates.
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.
Ayant dépassé les soixante-seize ans maintenant, je voudrais vous conter mon existence, de ma naissance en 1947 dans la Meuse à mon entrée dans la marine nationale en septembre 1965, jusqu’à la fin de ma carrière en 2007.
Étant doté d’une santé de fer, d’un mental d’acier et de capacités physiques hors du commun – sans oublier un facteur chance qui ne m’a jamais quitté –, il m’a été donné de faire une grande carrière dans la marine nationale, en particulier dans le commando Hubert, celui des nageurs de combat.
Pour les historiens d'aujourd'hui, l'histoire de l'Algérie débute en 1830. Que s’était-il passé précédemment ? La propagande laisse penser que la vie sur la côte des Barbaresques avant l'arrivée des Français était plus heureuse, alors que le pays était sous le joug de deux colonialismes en même temps, arabe depuis onze siècles et ottoman depuis trois cent quinze ans.
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.