Pieds-noirs, la mémoire retrouvée ! d'André TRIVES
Référence: L2502
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Durant cent trente-deux ans, la France n'eut de cesse de combattre la misère et les maladies héritées à son arrivée en 1830 sur un territoire sans nom ni frontières, exploité par deux colonialismes en même temps, celui des Arabes depuis onze siècles et celui des Ottomans depuis trois cent quinze ans.
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Durant cent trente-deux ans, la France n'eut de cesse de combattre la misère et les maladies héritées à son arrivée en 1830 sur un territoire sans nom ni frontières, exploité par deux colonialismes en même temps, celui des Arabes depuis onze siècles et celui des Ottomans depuis trois cent quinze ans. Elle construisit un pays moderne qu'elle appela Algérie et donna naissance à un peuple nouveau unique en son genre où juifs, musulmans, chrétiens et athées, Français par le sang versé, pensaient pouvoir vivre à jamais sous le couvert de la souveraineté de leur nouvelle patrie. Peine perdue ! En 1962, le parjure honteux du président de la République française les obligea à abandonner le pays qu'ils avaient inventé et à emporter le patrimoine de toute une vie avec une seule valise par personne, après avoir dû payer de leurs propres deniers leur billet d'avion ou de bateau.
Cet ouvrage vérité, gorgé de témoignages et de photos d’époque, nous replonge dans la vie quotidienne à Al-Djazaïr avant 1830 et à Alger de 1830 à 1962.
L’auteur évoque avec force et précisions des faits marquants de l’histoire des Français d’Algérie, pourtant restés dans l’oubli. Ce quatrième ouvrage aborde la violence et les atrocités des dramatiques évènements survenus entre le 23 mars et le 5 juillet 1962, 105 jours d’humiliations, 105 jours de souffrances inexpliquées, 105 jours de lâcheté pour assassiner un peuple pacifiste sans défense. C’est dans cet univers de massacres et de turpitudes qu’une belle histoire d’amour voit le jour entre Serge, un jeune parachutiste parisien, déserteur de l’arme française, venu apporter son aide à l‘OAS en avril 1962 et Paula, une fille de Bab el Ouied. L’idylle sera brève mais intense…
André TRIVES, enfant de Bab el Oued et fils du « Berger de Mostaganem », écrit pour retrouver la parole perdue. Une manière de rendre hommage aux modestes aïeux que l'histoire a humiliés par le mépris, la caricature et l'oubli. La force évocatrice de son style ne peut laisser indifférent. Ce livre raconte le retour de l’auteur à Bab el Oued, 54 ans après. Il était important pour lui de rappeler la vie en Algérie avant l’arrivée de la France en 1830 et telle qu’il l’a vécue jusqu’à l’Indépendance. L'auteur apporte des réponses aux interrogations des enfants de Pieds-Noirs ; ils n'ont plus à rougir du passé de leurs parents. « Bab el Oued pour la vie » n'est pas un livre comme les autres ; c'est un réel cri du cœur, bouleversant de vérité.
Adrien découvre les mémoires de son père consacrées à sa jeunesse là-bas, le soir de ses funérailles. Emu par la lecture de ses pensées posthumes, il se plonge dans l’histoire de sa famille. Jean et Smaïl âgés de 10 ans, berger dans les collines de Mostaganem, se lient d’une amitié pure et sincère. Les circonstances de la vie les séparent à l’adolescence. Ils se retrouvent en 1957 à Alger, confrontés à une actualité brûlante. André Trivès n’est pas « un homme de lettres, mais un homme de l’être ». Son écriture s’inspire de la syntaxe du cœur… Ce roman nous transporte dans une Algérie de nostalgie, de passion, aux accents et aux décors d’antan.
Pour les historiens d'aujourd'hui, l'histoire de l'Algérie débute en 1830. Que s’était-il passé précédemment ? La propagande laisse penser que la vie sur la côte des Barbaresques avant l'arrivée des Français était plus heureuse, alors que le pays était sous le joug de deux colonialismes en même temps, arabe depuis onze siècles et ottoman depuis trois cent quinze ans.
En novembre 1930, Georges Bernanos, tout auréolé d’une récente et tonitruante renommée littéraire, arrive dans le Var avec sa nombreuse tribu. Il le quittera définitivement en septembre 1946, après trois séjours alternés dans son « cher Toulon », puis à Hyères et Bandol, totalisant près de six années. Séjours entrecoupés de deux expériences majeures qui éprouveront l’homme et sa pensée : aux Baléares au cœur de la guerre civile espagnole qui le révolte, au Brésil lors de la deuxième guerre mondiale, où il devient depuis l’étranger une grande voix de la France résistante.
Cette histoire, ce conte imaginaire, se situe en l’an mille neuf cent… et des poussières avec récitants, villageois, villageoises, Orphéon et animaux domestiques. L’auteur y a glissé ses souvenirs d’enfance qui s’entrecroisent subtilement et parfaitement avec le récit. Si vous n’aimez pas le rire et l’humour vous n’auriez pas dû acheter ce bouquin. Refilez-le à quelqu’un qui saura l’apprécier ! Pour les autres, vous avez le choix entre : Sourire, rire, éclater de rire. À vous de choisir.
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
Parcourir les routes du monde ! Pour découvrir d'autres horizons, d'autres valeurs, pour apprendre à mieux se connaître... Nous l'avons fait mon fils de 14 ans et moi, à moto entre Hyères et le cap Nord pendant 4 semaines.
Pour quelle raison demander aux amis du Ruisseau de la ville d’Alger, de se souvenir, de leur passage de l’Algérie, à la France ? N’ont-ils pas essuyé suffisamment de larmes pour les solliciter à nouveau ?
Dans « Le Collège de Neptune », Claude ROUQUETTE évoque les relations historiques des Cévennes avec la mer. L'auteur raconte l'histoire des professeurs et des élèves de marine d'une des premières - École Navale - établies à Alès et à Vannes (1786-1792), il nous entraîne à la découverte du patrimoine maritime atypique et méconnu de l'arrière-pays gardois dans une narration au long cours de ses mémoires de mer cévenoles. Il a collaboré à l'écriture de la longue et inédite préface du « Journal de bord » de Charles Darwin sous la direction du Professeur Patrick Tort.
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
Toulon libéré, la guerre n’est pas terminée, Monsieur Charles Bruno, mon ami, me demande d’être son second, au sein de l’entreprise de bâtiments Bruno et fils, (c’est lui le fils-gérant), et me confie la partie technico-administrative de la société. Il y a du pain sur la planche, car Toulon a beaucoup souffert ces trois dernières années. J’avais vingt-trois ans. Je passais subitement, à l’évaluation des dommages de guerre (travaux d’urgences) que je chiffrais et donnais aux architectes, puis au Ministère de la Reconstruction pour accord. Charles s’occupait alors des travaux. Je faisais la facturation. L’entreprise était cotée, elle avait de beaux jours devant elle.
Ce tome II des mémoires des Chantiers Navals de La Seyne-sur-Mer a été difficile à rédiger. L’hommage rendu aux femmes était nécessaire, il ne fut pas simple à mettre en forme. Vraies et pudiques. Les femmes ont voulu témoigner ainsi. Le choix du témoignage nous a semblé la meilleure mise en page possible pour ce type de recueil. « Luttes et travail » en découlent naturellement. Nous n’avons pu échapper à l’intense attachement que nous avons eu pour cette prestigieuse entreprise que furent les Chantiers de La Seyne-sur-Mer, sentiment qui persiste encore aujourd’hui. Ensemble c’est le récit de notre aliénation et des luttes pour nous libérer qui est ici mis en page. Sans fard, ni lieu commun, sur le mouvement ouvrier seynois, dont notre présent porte encore les stigmates.
Pour les historiens d'aujourd'hui, l'histoire de l'Algérie débute en 1830. Que s’était-il passé précédemment ? La propagande laisse penser que la vie sur la côte des Barbaresques avant l'arrivée des Français était plus heureuse, alors que le pays était sous le joug de deux colonialismes en même temps, arabe depuis onze siècles et ottoman depuis trois cent quinze ans.
Elle a quatre ans et demi et s'appelle Angeline. Elle est ma fille adoptive. Après une longue année de procédures, je suis allée la chercher en Haïti, son pays de naissance, et sommes rentrées ensemble le 24 décembre 2010, un de mes plus beaux noëls. J'étais maman pour la première fois. J'ai rêvé et idéalisé ma fille pendant de nombreux mois. Aujourd'hui, la réalité est tout autre. Il nous faut beaucoup de temps pour nous connaître, nous apprivoiser. Dès son arrivée, rapidement, nous rentrons à la clinique ce qui ne favorise pas notre rapprochement. Là tout commence. Chaque jour un nouveau combat s'offre à nous, car les difficultés sont bien présentes. Il faut gérer les colères, la partie médicale, le quotidien.
Durant cent trente-deux ans, la France n'eut de cesse de combattre la misère et les maladies héritées à son arrivée en 1830 sur un territoire sans nom ni frontières, exploité par deux colonialismes en même temps, celui des Arabes depuis onze siècles et celui des Ottomans depuis trois cent quinze ans.