FEMMES EN CHANTIER - LUTTES ET TRAVAIL de GIOVANNANGELI René - CONNAN Marcel - KANIA Gisèle
Référence: L1808
38,00 €
TTC
Ce tome II des mémoires des Chantiers Navals de La Seyne-sur-Mer a été difficile à rédiger. L’hommage rendu aux femmes était nécessaire, il ne fut pas simple à mettre en forme. Vraies et pudiques. Les femmes ont voulu témoigner ainsi. Le choix du témoignage nous a semblé la meilleure mise en page possible pour ce type de recueil. « Luttes et travail » en découlent naturellement. Nous n’avons pu échapper à l’intense attachement que nous avons eu pour cette prestigieuse entreprise que furent les Chantiers de La Seyne-sur-Mer, sentiment qui persiste encore aujourd’hui. Ensemble c’est le récit de notre aliénation et des luttes pour nous libérer qui est ici mis en page. Sans fard, ni lieu commun, sur le mouvement ouvrier seynois, dont notre présent porte encore les stigmates.
Paiement sécurisé
Meilleures solutions de paiement en ligne
Frais de port offerts
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Ce tome II des mémoires des Chantiers Navals de La Seyne-sur-Mer a été difficile à rédiger. L’hommage rendu aux femmes était nécessaire, il ne fut pas simple à mettre en forme. Vraies et pudiques. Les femmes ont voulu témoigner ainsi. Le choix du témoignage nous a semblé la meilleure mise en page possible pour ce type de recueil. « Luttes et travail » en découlent naturellement. Nous n’avons pu échapper à l’intense attachement que nous avons eu pour cette prestigieuse entreprise que furent les Chantiers de La Seyne-sur-Mer, sentiment qui persiste encore aujourd’hui. Ensemble c’est le récit de notre aliénation et des luttes pour nous libérer qui est ici mis en page. Sans fard, ni lieu commun, sur le mouvement ouvrier seynois, dont notre présent porte encore les stigmates.
“Une famille de 1660 à nos jours” est le cinquième ouvrage de Bernard Gaudin. Après son journal de marche sur la guerre d’Indochine, le secours en mer, un roman d’espionnage et une chronique sur la drogue, voici l’histoire d’une partie de sa famille et de ce village qui a bercé son enfance. Il est le petit-fils de Clément Louis Alexis Combet Septième du nom. Connaître ses origines en remontant le temps est un exercice plaisant qui permet de rencontrer nos anciens et de découvrir ce qu’ils ont été. Parler de la famille c’est aussi l’occasion de rappeler les valeurs qu’elle représente.
Certains noms propres annoncent la destinée de ceux qui le portent, il en est ainsi pour Maltese. Jean Maltese est un aventurier. Né dans un souk à Tunis, il a été à la fois un artiste et un homme de télévision. Or il faut avoir la force de la persuasion, le talent de la présentation et l’obstination dans la réalisation pour être un personnage dans ce monde de l’image. Un “ Maltèse “ ne peut être qu’un homme atypique, et, dès ses quinze ans, Jean quitte son pays et part sans bagages ni relations, mais des rêves plein la tête, vers la ville lumière. Ce Rastignac de Saint-Germain-des-Prés, élève du Cours Simon, devient acteur et compositeur, à la guitare, entre autres...
Pour quelle raison demander aux amis du Ruisseau de la ville d’Alger, de se souvenir, de leur passage de l’Algérie, à la France ? N’ont-ils pas essuyé suffisamment de larmes pour les solliciter à nouveau ?
On a beaucoup écrit sur l'histoire de Toulon, du Mourillon et du fort St Louis, mais, bizarrement, aucun ouvrage n'existait sur le port St Louis. C'est chose faite aujourd'hui avec ce livre facile à lire et divertissant. Bourré d'anecdotes, il est rédigé à la façon d'un conte drolatique. Son personnage central est un veuf un peu philosophe qui va découvrir peu à peu l'univers du petit port. Réalisé "à quatre mains" par deux amis toulonnais, ce récit permet de passer un moment agréable et de faire mieux connaissance avec ce coin particulier de la Ville.
Qui pouvait le mieux parler d’un mineur de mines de bauxite qu’un mineur, avec son cœur et sa générosité, pour le transmettre aux nouvelles générations ? Au travers de son aventure personnelle, Roger Dispard, cadre à Péchiney, nous conte sa carrière.
Pour les historiens d'aujourd'hui, l'histoire de l'Algérie débute en 1830. Que s’était-il passé précédemment ? La propagande laisse penser que la vie sur la côte des Barbaresques avant l'arrivée des Français était plus heureuse, alors que le pays était sous le joug de deux colonialismes en même temps, arabe depuis onze siècles et ottoman depuis trois cent quinze ans.
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
« Quand je me suis exilé, j’ai d’abord estimé que ma femme avait ruiné mon existence en m’éloignant de la civilisation. Au contact de la nature, j’ai vite compris qu’Aurélie m’avait en fait sauvé, à son insu. Il faut que j’en témoigne. Ainsi, sur mon lit de mort, ai-je demandé à Stéphanie et à Claude de raconter ma vie dans les grottes du Tarn. Pour rédiger mes Mémoires, il me fallait des auteurs qui me ressemblent, des auteurs pour lesquels écrire, c’est courir nu dans la baie du Mont-Saint-Michel, c’est hurler en silence. »
Le présent récit, qu’il qualifie d’imaginaire, illustre le talent d’écrivain de Robert Landi. Il y unit harmonieusement dans une composition très singulière, les caractères fondamentaux de la tragédie classique à ceux du drame romantique. La fatalité y dirige les destinées. Implacable, inexorable, elle conduit au sort funeste. Ce récit est-il complètement imaginaire ? Oui, dans sa mise en scène, mais à travers ses personnages, c’est l’auteur qui raconte certaines de ses expériences ou qui narre avec brio ses réflexions ou pensées sur la vie. Sa richesse de langage ne pourrait s’exprimer avec autant de justesse et de bonheur sans un ressenti profondément personnel et sincère. «Ainsi passe le temps» est un récit original, un texte émouvant que le lecteur saura apprécier.
11 mars 2011, séisme et tsunami au Japon. En France, une femme vit le drame en direct par écrans interposés : son fils Rémi est installé là-bas. Il s’apprête à épouser Yuko, une Japonaise. Six mois plus tard, conviée à leur mariage, elle les rejoint. Hélas, le Japon n’est pas un pays de tout repos, elle le découvre à ses dépens : expériences cocasses, étranges ou éprouvantes se succèdent. Retirée sur une île de l’océan indien, elle prend enfin le temps de déplier l’origami de cette année-là et de chercher la cause de ses égarements. L’écriture parviendra-t-elle à élucider ce passé ?
Maryjoa a eu un parcours de vie assez atypique. Elle a passé sa petite enfance dans un petit village de Bourgogne durant les années qui ont suivi la Deuxième Guerre mondiale. Sa mère est morte lorsqu’elle avait à peine dix ans. Ainsi, elle a dû arrêter ses études après le CEP pour aider son père dans son atelier de tissage artisanal. Après avoir rencontré celui qui allait devenir son mari, elle a travaillé quelque temps dans une entreprise de sous-vêtements féminins... Et puis suite à la naissance de son cinquième et dernier enfant, une crise existentielle a été à la base de grands changements dans sa vie, dont une reprise de scolarité (de la cinquième à la terminale) par correspondance. Un déménagement en région parisienne a bousculé toute la famille...
Ce tome II des mémoires des Chantiers Navals de La Seyne-sur-Mer a été difficile à rédiger. L’hommage rendu aux femmes était nécessaire, il ne fut pas simple à mettre en forme. Vraies et pudiques. Les femmes ont voulu témoigner ainsi. Le choix du témoignage nous a semblé la meilleure mise en page possible pour ce type de recueil. « Luttes et travail » en découlent naturellement. Nous n’avons pu échapper à l’intense attachement que nous avons eu pour cette prestigieuse entreprise que furent les Chantiers de La Seyne-sur-Mer, sentiment qui persiste encore aujourd’hui. Ensemble c’est le récit de notre aliénation et des luttes pour nous libérer qui est ici mis en page. Sans fard, ni lieu commun, sur le mouvement ouvrier seynois, dont notre présent porte encore les stigmates.