Quand un héritage inattendu émanant d’un oncle inconnu bouleverse l’existence d’un homme d’âge mûr. Sauf que là, il ne s’agit pas d’argent mais au contraire de quelque chose qui ne s’achète pas à savoir ses propres origines. Avec « L’enfant enlevé à sa mère » Marcel Bancel replonge dans son passé. Celui d’un enfant labellisé « pupille de la nation » car recueilli par la DDASS.
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Quand un héritage inattendu émanant d’un oncle inconnu bouleverse l’existence d’un homme d’âge mûr. Sauf que là, il ne s’agit pas d’argent mais au contraire de quelque chose qui ne s’achète pas à savoir ses propres origines. Avec « L’enfant enlevé à sa mère » Marcel Bancel replonge dans son passé. Celui d’un enfant labellisé « pupille de la nation » car recueilli par la DDASS.
L’auteur dans un style particulièrement soigné évoque la quête d’identité, le manque de repères, d’amour et la difficulté à se reconstruire. En filigrane se pose aussi la question de la responsabilité de parents sans doute pas prêts à assumer une telle charge car les conséquences psychologiques sont irréversibles pour l’enfant. Un ouvrage fort qui traite d’un thème central car en découlent des souffrances conditionnant l’être humain et son rapport à autrui…
Dès les premiers «mots» nous sommes frappés par la passion profonde que génère ce lieu mythique, cette forteresse à double entrée. Mayol, cette arène féroce pour nos adversaires, mais surtout ce théâtre de «symphonies» rythmées par le cœur des supporters.
Être au bord de la rade et vivre «le naufrage des mots anciens» a poussé Jean-Claude à perpétuer la tradition pour lutter contre la «morosité» en nous offrant ce livre.
Tel «le Cœur de l’océan» du Titanic, les mots se perdent mais ne sont pas si loin. Laissez-vous guider par le philtre d’un passionné, vous verrez… vous les retrouverez. Grâce à Jean-Claude ils remontent à la surface et ne demandent qu’à se répandre dans les travées de Mayol.
PROPRIÉTAIRE de bonne foi, l’auteur a fait confiance à un homme. Il lui a remis les clés de son appartement contre la promesse d’un virement immédiat. Ce locataire indélicat est resté TROIS ANS sans débourser un centime, DONT DEUX grâce ou à cause de la justice. Après avoir SUBI, devant un tribunal de proximité, une procédure judiciaire dont la longueur excessive lui a causé un PRÉJUDICE FINANCIER, l’auteur s’est interrogé. Il nous livre une ANALYSE IMPITOYABLE de cette justice qui s’arroge le droit d’être lente sans avoir à en rendre compte même quand cette lenteur génère l’injustice. Ce livre est un TÉMOIGNAGE qui révèle les faiblesses de notre justice de proximité et un DÉFI lancé aux plus hautes autorités sous forme de deux questions : SEREZ-VOUS CAPABLES d’entendre ces critiques ?
L’aventure est au coin de la rue. Avec peu de moyens mais une volonté de fer, deux amis d’enfance ont parcouru la mythique National 7 sur de vieilles mobylettes des années 60, entre Paris et Hyères. Leur soif de découvertes leur a permis d’admirer les beaux paysages et les anciens vestiges de cette route des vacances. Allant naturellement au contact de nombreuses personnes rencontrées au cours de leur périple, Patrick et Morad passionnés d’aventure en deux roues, désiraient aussi à travers cette escapade, faire connaître l’association ARC-EN-CIEL qui s’occupe de réaliser les rêves d’enfants atteints de graves maladies. C’est ce qu’ils firent…
Certains noms propres annoncent la destinée de ceux qui le portent, il en est ainsi pour Maltese. Jean Maltese est un aventurier. Né dans un souk à Tunis, il a été à la fois un artiste et un homme de télévision. Or il faut avoir la force de la persuasion, le talent de la présentation et l’obstination dans la réalisation pour être un personnage dans ce monde de l’image. Un “ Maltèse “ ne peut être qu’un homme atypique, et, dès ses quinze ans, Jean quitte son pays et part sans bagages ni relations, mais des rêves plein la tête, vers la ville lumière. Ce Rastignac de Saint-Germain-des-Prés, élève du Cours Simon, devient acteur et compositeur, à la guitare, entre autres...
Ce recueil, fondé sur des bribes de souvenirs, des articles de journaux, des albums photos et d’autres supports médias, est à classer dans un genre nouveau, une sorte de « trilogie familiale biographique ». Il relate la vie condensée de trois hommes au talent artistique affirmé qui ont influencé l’ère toulonnaise : Alfonso Arride, Louis Arride et Daniel-Antoine. Chacun, à sa manière, a su en son temps œuvrer pour le bien de tous et ce témoignage les met en lumière.
Maryjoa a eu un parcours de vie assez atypique. Elle a passé sa petite enfance dans un petit village de Bourgogne durant les années qui ont suivi la Deuxième Guerre mondiale. Sa mère est morte lorsqu’elle avait à peine dix ans. Ainsi, elle a dû arrêter ses études après le CEP pour aider son père dans son atelier de tissage artisanal. Après avoir rencontré celui qui allait devenir son mari, elle a travaillé quelque temps dans une entreprise de sous-vêtements féminins... Et puis suite à la naissance de son cinquième et dernier enfant, une crise existentielle a été à la base de grands changements dans sa vie, dont une reprise de scolarité (de la cinquième à la terminale) par correspondance. Un déménagement en région parisienne a bousculé toute la famille...
Peppe Russo. C’est comme ça que l’on m’appelle. Je suis né à Tunis, le lundi 1er juin 1931, à 4 heures du matin, d’une famille sicilienne de Castellammare del Golfo, dans la province de Trapani, lieu de naissance de mon père et ma mère.
Mon rêve de devenir maman m’a poussée à adopter. En effet je savais dorénavant que je ne porterais jamais mon enfant dans mon ventre ; en revanche je le porterais dans mon cœur. Ce long combat, je l’ai mené seule en tant que célibataire. Il faut savoir que pour adopter, un agrément est nécessaire et obligatoire. Une fois ce sésame obtenu, j’ai su que mon enfant arriverait d’Haïti. Une petite fille de trois ans et demi, au joli prénom d’Angeline m’attendait. Ce furent des photos échangées, des appels téléphoniques… jusqu’au jour où l’impensable se produisit…le 12 Janvier 2010, ce terrible séisme. Angeline est une petite fille miraculée. Elle est restée sous les décombres pendant quatre longues journées et quatre longues nuits et a dû, à sa « sortie », être amputée d’une partie d’elle-même.
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
Pour quelle raison demander aux amis du Ruisseau de la ville d’Alger, de se souvenir, de leur passage de l’Algérie, à la France ? N’ont-ils pas essuyé suffisamment de larmes pour les solliciter à nouveau ?
Quoi de plus fascinant et captivant qu’une histoire vécue ? Qui plus est, de celles qui n’arrivent pas qu’aux autres. C’est bien le cas dans cet ouvrage, où l’authenticité vous interpelle page après page.
Un récit qui s’affranchit volontairement des us et coutumes en traitant d’un sujet trop souvent éludé : celui des victimes collatérales… Libres, mais comme « emprisonnées dehors ». Un récit poignant de vérité et touchant de sincérité.
Dans la vie il y a des cycles. Certains sont positifs et d’autres testent vraiment votre capacité à rebondir après les coups durs. Ce fut mon cas lorsque, au sortir d’un confinement qui nous a tous de près ou de loin bien chamboulés, j’ai découvert en septembre 2020 une grosseur sur mon sein gauche. Le stress fut logiquement immédiat. Après une mammographie, une échographie, une IRM et une biopsie, mon gynécologue m’a annoncé que j’avais un cancer du sein. Le tourbillon infernal a alors commencé pour ma famille et pour moi-même avec les examens médicaux, l’opération, les séances de radiothérapie, le traitement d’hormonothérapie, les doutes, les angoisses, puis la dépression.
Quand un héritage inattendu émanant d’un oncle inconnu bouleverse l’existence d’un homme d’âge mûr. Sauf que là, il ne s’agit pas d’argent mais au contraire de quelque chose qui ne s’achète pas à savoir ses propres origines. Avec « L’enfant enlevé à sa mère » Marcel Bancel replonge dans son passé. Celui d’un enfant labellisé « pupille de la nation » car recueilli par la DDASS.