Quand un héritage inattendu émanant d’un oncle inconnu bouleverse l’existence d’un homme d’âge mûr. Sauf que là, il ne s’agit pas d’argent mais au contraire de quelque chose qui ne s’achète pas à savoir ses propres origines. Avec « L’enfant enlevé à sa mère » Marcel Bancel replonge dans son passé. Celui d’un enfant labellisé « pupille de la nation » car recueilli par la DDASS.
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Quand un héritage inattendu émanant d’un oncle inconnu bouleverse l’existence d’un homme d’âge mûr. Sauf que là, il ne s’agit pas d’argent mais au contraire de quelque chose qui ne s’achète pas à savoir ses propres origines. Avec « L’enfant enlevé à sa mère » Marcel Bancel replonge dans son passé. Celui d’un enfant labellisé « pupille de la nation » car recueilli par la DDASS.
L’auteur dans un style particulièrement soigné évoque la quête d’identité, le manque de repères, d’amour et la difficulté à se reconstruire. En filigrane se pose aussi la question de la responsabilité de parents sans doute pas prêts à assumer une telle charge car les conséquences psychologiques sont irréversibles pour l’enfant. Un ouvrage fort qui traite d’un thème central car en découlent des souffrances conditionnant l’être humain et son rapport à autrui…
Olivier est enlevé à Niamey alors qu’il était venu rendre visite, avec son épouse Laura, à leurs filleuls dans le cadre de l’association « Aide et Action ». Pendant six mois il sera l’otage d’AQMI dans le Nord du Mali. Deux geôliers se relaieront une semaine sur deux pour le « surveiller » en plein désert : l'un est un fou furieux avec lequel aucune communication n’est possible, l'autre pourrait être son fils... c’est pourtant un terroriste qui opère au Maroc. Olivier, ignorant son devenir, veut laisser une trace de son parcours à l’intention de ses descendants. Il laisse aussi un « Petit Traité de philosophie » personnel. « Destinées croisées » retrace la vie et la rencontre de Mohamed et d’Olivier.
Un magnifique couple, sept ans de mariage, cinq FIV et le bonheur total à votre naissance, Alexia et Gary. Une violente bagarre conjugale quelques semaines plus tard qui ressemble davantage à un guet-apens et te voilà, mon fils, Peter, privé de tout du jour au lendemain. Ton épouse enchaînant avec des accusations immondes qu’elles sont des milliers de femmes à utiliser pour priver les pères de leurs droits… Surfant sur la vague « femmes battues » et MeToo, tous l’ont crue sans mettre en doute ses qualités de « mère d’exception » !
Cette histoire, ce conte imaginaire, se situe en l’an mille neuf cent… et des poussières avec récitants, villageois, villageoises, Orphéon et animaux domestiques. L’auteur y a glissé ses souvenirs d’enfance qui s’entrecroisent subtilement et parfaitement avec le récit. Si vous n’aimez pas le rire et l’humour vous n’auriez pas dû acheter ce bouquin. Refilez-le à quelqu’un qui saura l’apprécier ! Pour les autres, vous avez le choix entre : Sourire, rire, éclater de rire. À vous de choisir.
Passionné depuis toujours par le monde des chats, et en particulier par le Chat sacré de Birmanie, l’auteur nous invite à découvrir la vie de trois chatons, pendant leurs premiers mois d’existence parmi nous. Eleveur familial depuis de nombreuses années, il nous fait suivre pas à pas l’évolution des nouveau-nés. De leur naissance, en passant par leur éveil, leur apprentissage, leur éducation ainsi que leur sevrage, c’est avec passion, humour et bienveillance qu’il suit leurs découvertes et leurs jeux. Le départ du foyer de naissance, à l’issue de cette période de leur vie, donnera l’occasion à de nouvelles familles, de partager les joies de vivre avec ces êtres merveilleux que sont nos compagnons, les Chats.
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.
C’était le 23 octobre 1917, un début de soirée d’automne, Ferdinand n’avait pas encore 20 ans, il venait d’obtenir son baccalauréat. Affecté sur le front ouest, il exécutait dans des conditions difficiles les ordres reçus, alors qu’une montée à l’assaut se préparait après le passage de la première vague... Il perçut le sinistre sifflement de l’obus et une puissante déflagration… touché à la tête par un éclat, il gît dans le sang et dans la boue. Ferdinand Angousture était un Nettoyeur de Tranchées, mais ce n’était ni un " zigouilleur " ni un " tueur ". Il était un jeune Poilu engagé dans le conflit, pour participer à la libération de la France. La personnalité de ces soldats n’a jamais été bien définie.
André TRIVES, enfant de Bab el Oued et fils du « Berger de Mostaganem », écrit pour retrouver la parole perdue. Une manière de rendre hommage aux modestes aïeux que l'histoire a humiliés par le mépris, la caricature et l'oubli. La force évocatrice de son style ne peut laisser indifférent. Ce livre raconte le retour de l’auteur à Bab el Oued, 54 ans après. Il était important pour lui de rappeler la vie en Algérie avant l’arrivée de la France en 1830 et telle qu’il l’a vécue jusqu’à l’Indépendance. L'auteur apporte des réponses aux interrogations des enfants de Pieds-Noirs ; ils n'ont plus à rougir du passé de leurs parents. « Bab el Oued pour la vie » n'est pas un livre comme les autres ; c'est un réel cri du cœur, bouleversant de vérité.
Parti du Var à la fin du 19è siècle, le Théâtre ambulant Désiré Ravel a donné des dizaines de représentations durant de nombreuses années. Au rythme du cheval, au gré des saisons, cet ouvrage vous transportera à travers et jusqu’aux confins de la Provence. Des petites villes aux hameaux les plus isolés, vous cheminerez auprès d’une bande « d’intermittents du spectacle ». Ces personnages hauts en couleur, acteurs ou victimes d’anecdotes plus ou moins heureuses, sont les témoins d’un temps révolu que l’auteur fait revivre avec ardeur et poésie.
« Quand je me suis exilé, j’ai d’abord estimé que ma femme avait ruiné mon existence en m’éloignant de la civilisation. Au contact de la nature, j’ai vite compris qu’Aurélie m’avait en fait sauvé, à son insu. Il faut que j’en témoigne. Ainsi, sur mon lit de mort, ai-je demandé à Stéphanie et à Claude de raconter ma vie dans les grottes du Tarn. Pour rédiger mes Mémoires, il me fallait des auteurs qui me ressemblent, des auteurs pour lesquels écrire, c’est courir nu dans la baie du Mont-Saint-Michel, c’est hurler en silence. »
Après avoir participé, avec Antoine Boncompagni et Gérard Piasco, à l’écriture du livre « L’Histoire des Sapeurs-pompiers de Toulon », Alain Pellegrino a voulu essayer de se lancer seul dans l’aventure de l’élaboration d’un nouveau chapitre sur un sujet qui lui tient à cœur : le Sauvetage et Déblaiement.
Ce défi, qu’il s’est donné arrivé à terme, il pensait en avoir terminé avec l’écriture ! Mais le virus le reprend car il se rend compte qu’il y a encore de très nombreuses histoires à raconter sur les sapeurs-pompiers de Toulon et il se remet au travail pour aboutir à ce troisième livre.
En définitive, nous, les adultes, sommes des puzzles. Tous les jours ou presque, nous ajoutons des pièces comme un souvenir, une rencontre, une émotion, mais ce sont les morceaux liés à l’enfance qui donnent véritablement de la couleur au tableau final.
Cette métaphore symbolise parfaitement celui qu’était mon père. Mais aussi une époque, celle du début du xxe siècle, celle de sa naissance.
Quand un héritage inattendu émanant d’un oncle inconnu bouleverse l’existence d’un homme d’âge mûr. Sauf que là, il ne s’agit pas d’argent mais au contraire de quelque chose qui ne s’achète pas à savoir ses propres origines. Avec « L’enfant enlevé à sa mère » Marcel Bancel replonge dans son passé. Celui d’un enfant labellisé « pupille de la nation » car recueilli par la DDASS.