CARNET DE SANTÉ À Porquerolles du Dr. Philippe LENTZ
Référence: L2237
18,00 €
TTC
Le médecin attitré de Porquerolles depuis de longues années a décidé de réaliser un ouvrage pour revenir sur cette expérience professionnelle si atypique. Il en résulte des anecdotes assez exceptionnelles mais aussi et surtout des tranches de vie saisissantes de sincérité, de simplicité et empreintes d’humour. Comme il le dit lui-même : « Sur cette île tout devient possible comme être sur les traces de Barberousse ou y croiser Zinedine Zidane... ».
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Le médecin attitré de Porquerolles depuis de longues années a décidé de réaliser un ouvrage pour revenir sur cette expérience professionnelle si atypique. Il en résulte des anecdotes assez exceptionnelles mais aussi et surtout des tranches de vie saisissantes de sincérité, de simplicité et empreintes d’humour. Comme il le dit lui-même : « Sur cette île tout devient possible comme être sur les traces de Barberousse ou y croiser Zinedine Zidane... ».
Au fil des ans Philippe Lentz est devenu quasiment un ami des familles de Porquerolles. Un médecin « à l’ancienne » au sens noble du terme avec la compréhension, l’écoute et la confiance en bandoulière. Capable à la fois d’expliquer comment soigner une piqure de méduse ou de taon mais aussi de dévoiler l’envers de ce décor paradisiaque qui a vu naître le tourisme et la Côte d’Azur. Page après page, l’auteur passe aussi en revue l’histoire de Porquerolles et les personnalités qui ont façonné la légende de ce lieu magnifique, très prisé l’été et dont les bienfaits climatiques ne sont plus à démontrer.
Ce livre est l’œuvre du père Pierre Bilard qui s’est mis au service des personnes détenues comme aumônier catholique à la maison d’arrêt de Dijon pendant 13 ans, jusqu’à ce qu’il soit atteint par la limite d’âge. Ses qualités d’homme de Dieu et d’homme de lettres l’ont conduit à entretenir un abondant courrier avec les prisonniers. C’est l’ensemble de ces témoignages écrits qu’il nous rapporte dans cet ouvrage avec beaucoup de simplicité, sans commentaires excessifs mais avec une grande vérité, laissant au lecteur la liberté de juger de la pertinence de ces témoignages. Ce livre confirme qu’en prison la quête spirituelle est très présente et suscite souvent l’admiration.
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
« J’admire la façon dont vous savez donner vie aux moindres objets d’une maison, que vous parvenez à faire goûter presque physiquement. À vous lire, je sens l’odeur de l’entrée de Viazac, ou de sa cuisine. J’entends les bruits de l’étage, je reconnais les pas d’oncle Roger, je frissonne au vent qui balaie la terrasse… Il y a, dans votre façon d’écrire, une sorte de réalisme à la fois méticuleux et léger. Vous dites les choses avec une densité étonnante. Vos phrases, précises et nettes, semblent s’enchaîner à toute vitesse mais les termes en sont si exactement choisis – parce qu’intensément sentis – qu’elles contiennent une prodigieuse richesse descriptive, inaperçue en première lecture. On est pris, ensorcelé et c’est pourquoi on y revient...
Olivier est enlevé à Niamey alors qu’il était venu rendre visite, avec son épouse Laura, à leurs filleuls dans le cadre de l’association « Aide et Action ». Pendant six mois il sera l’otage d’AQMI dans le Nord du Mali. Deux geôliers se relaieront une semaine sur deux pour le « surveiller » en plein désert : l'un est un fou furieux avec lequel aucune communication n’est possible, l'autre pourrait être son fils... c’est pourtant un terroriste qui opère au Maroc. Olivier, ignorant son devenir, veut laisser une trace de son parcours à l’intention de ses descendants. Il laisse aussi un « Petit Traité de philosophie » personnel. « Destinées croisées » retrace la vie et la rencontre de Mohamed et d’Olivier.
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita se réalise depuis 40 ans auprès des autres. Du Nord au Sud de la France, quarante années au service des personnes malades et souffrantes lui ont permis d’apporter à ces femmes et ces hommes un formidable rayon de soleil.
Après le premier tome, « Un grand message d’Amour », Rita Largillier continue à nous le livrer pour apprendre à sourire à la vie. Les épreuves qu’elle traverse, les combats qu’elle mène, l’amour qu’elle porte à ses patients et aux siens ne sont que le reflet d’une femme entièrement dévouée, sincère et épanouie.
Dès les premiers «mots» nous sommes frappés par la passion profonde que génère ce lieu mythique, cette forteresse à double entrée. Mayol, cette arène féroce pour nos adversaires, mais surtout ce théâtre de «symphonies» rythmées par le cœur des supporters.
Être au bord de la rade et vivre «le naufrage des mots anciens» a poussé Jean-Claude à perpétuer la tradition pour lutter contre la «morosité» en nous offrant ce livre.
Tel «le Cœur de l’océan» du Titanic, les mots se perdent mais ne sont pas si loin. Laissez-vous guider par le philtre d’un passionné, vous verrez… vous les retrouverez. Grâce à Jean-Claude ils remontent à la surface et ne demandent qu’à se répandre dans les travées de Mayol.
Le général de Gaulle est sans contestation possible l’un des hommes politiques les plus populaires de l’histoire de France. Mais c’était à une époque où les réseaux sociaux et les chaines d’information en continu n’existaient pas. De plus les médias se voulaient bienveillants à l’égard du pouvoir. L’auteur Pierre Vedel remonte le temps via cet ouvrage au titre évocateur et symbolique « Deux Gaulle » et dévoile les différentes facettes de l’ancien président de la République. Références historiques à l’appui, l’écrivain révèle que derrière l’homme adulé se cache aussi un être manipulateur qui n’a jamais lésiné sur les moyens pour arriver à ses fins notamment lors de la Seconde Guerre mondiale puis la guerre d’Algérie.
Récemment, lors d’une succession, l’auteur mit la main sur une mallette en carton qui semblait dormir depuis les années soixante. Il y trouva un important dossier avec des textes écrits en français, d’autres écrits en russe et en allemand et deux albums de photos en noir et blanc d’hommes en uniforme militaire et de dames sous chapeau cloche. Le tout, sans classement, pouvait paraître banal… En vérité, c’était un important dossier concernant une famille juive qui, échappant aux pogroms de Russie de 1904, s’était réfugiée à Paris où elle fit souche. Son histoire contemporaine commence en Dordogne, lors des congés payés de l’été 1939. Puis, ce fut la guerre et l’extermination d’une partie de cette famille, comme celle de milliers d’autres à Auschwitz.
“Une famille de 1660 à nos jours” est le cinquième ouvrage de Bernard Gaudin. Après son journal de marche sur la guerre d’Indochine, le secours en mer, un roman d’espionnage et une chronique sur la drogue, voici l’histoire d’une partie de sa famille et de ce village qui a bercé son enfance. Il est le petit-fils de Clément Louis Alexis Combet Septième du nom. Connaître ses origines en remontant le temps est un exercice plaisant qui permet de rencontrer nos anciens et de découvrir ce qu’ils ont été. Parler de la famille c’est aussi l’occasion de rappeler les valeurs qu’elle représente.
Combien de temps faut-il pour extirper de chacun de ses petits tiroirs cadenassés dans sa mémoire, les souvenirs engrangés précieusement ? Combien de temps faut-il pour oser tremper sa plume dans l’encrier des larmes, de la souffrance, des bonheurs, de l’imaginaire pour écrire des mots du bout du cœur et noircir quelques pages, les unes ternies par la fatalité, d’autres enluminées par l’espoir et quelques autres relevant du fantastique… Avec le temps… avec le temps va tout s'en va. Non ! Avec le temps, on n’oublie rien. La Vie a décidé de ne pas me laisser naviguer sur un long fleuve tranquille. Elle est aujourd’hui ma meilleure amie. J’ai puisé dans ma mémoire quelques tranches de vie. Quelques pages, temporairement vierges, patienteront.
Rodriguez est un bagnard en fuite sur le littoral varois, de Toulon jusqu’à Roquebrune. Arnaud est un campagnard de Figanières. Ils sont contemporains (1848 / 1851). Tous deux vont commettre des crimes. Malgré le ton picaresque des récits, les faits sont historiques.
Sept bagnards mettent les voiles.
Frederico Rodriguez, ancien soldat espagnol, tente la vie de colon à Constantine, pays nouvellement conquis par la France. Il est pris lors d’une tentative de vol à main armée et envoyé au bagne de Toulon. Il décide de profiter de l’atmosphère révolutionnaire de 1848 pour s’évader par la mer avec six autres forçats. Les fugitifs accostent sur le littoral des Maures...
Les secrets des uns sont les tabous des autres. Ces autres qu’il faut préserver par amour. Et pourtant les conséquences des non-dits peuvent s’avérer pires encore. Dans son autobiographie, l’auteur dévoile avec force et courage « …la parole assassine. », blessure qu’elle a tenté toute sa vie d’occulter pour protéger les siens. Poignant, difficile, ce récit nous laisse vides et en colère contre l’injustice de ce vécu. L’abus de faiblesse ne serait-il aujourd’hui décrié que par ceux qui ne sont pas touchés personnellement ? Les dénonciations médiatiques, publiques n’ont-elles pas leurs places au sein de l’entourage, de la famille qui souvent encore préfèrent voir la victime comme le criminel.
Le médecin attitré de Porquerolles depuis de longues années a décidé de réaliser un ouvrage pour revenir sur cette expérience professionnelle si atypique. Il en résulte des anecdotes assez exceptionnelles mais aussi et surtout des tranches de vie saisissantes de sincérité, de simplicité et empreintes d’humour. Comme il le dit lui-même : « Sur cette île tout devient possible comme être sur les traces de Barberousse ou y croiser Zinedine Zidane... ».