11 mars 2011, séisme et tsunami au Japon. En France, une femme vit le drame en direct par écrans interposés : son fils Rémi est installé là-bas. Il s’apprête à épouser Yuko, une Japonaise. Six mois plus tard, conviée à leur mariage, elle les rejoint. Hélas, le Japon n’est pas un pays de tout repos, elle le découvre à ses dépens : expériences cocasses, étranges ou éprouvantes se succèdent. Retirée sur une île de l’océan indien, elle prend enfin le temps de déplier l’origami de cette année-là et de chercher la cause de ses égarements. L’écriture parviendra-t-elle à élucider ce passé ?
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11 mars 2011, séisme et tsunami au Japon. En France, une femme vit le drame en direct par écrans interposés : son fils Rémi est installé là-bas. Il s’apprête à épouser Yuko, une Japonaise. Six mois plus tard, conviée à leur mariage, elle les rejoint. Hélas, le Japon n’est pas un pays de tout repos, elle le découvre à ses dépens : expériences cocasses, étranges ou éprouvantes se succèdent. Retirée sur une île de l’océan indien, elle prend enfin le temps de déplier l’origami de cette année-là et de chercher la cause de ses égarements. L’écriture parviendra-t-elle à élucider ce passé ?
Mireille Revest enseigne l’écriture créative à l’Université de Toulon. Elle a publié Écrire une nouvelle et Écrire des contes aux Éditions Eyrolles. Elle a effectué de nombreux voyages au Japon.
Olivier est enlevé à Niamey alors qu’il était venu rendre visite, avec son épouse Laura, à leurs filleuls dans le cadre de l’association « Aide et Action ». Pendant six mois il sera l’otage d’AQMI dans le Nord du Mali. Deux geôliers se relaieront une semaine sur deux pour le « surveiller » en plein désert : l'un est un fou furieux avec lequel aucune communication n’est possible, l'autre pourrait être son fils... c’est pourtant un terroriste qui opère au Maroc. Olivier, ignorant son devenir, veut laisser une trace de son parcours à l’intention de ses descendants. Il laisse aussi un « Petit Traité de philosophie » personnel. « Destinées croisées » retrace la vie et la rencontre de Mohamed et d’Olivier.
Jeune ingénieur des Ponts, plein d’idéal et de fantaisie, Henri Maux a 26 ans, lorsqu’il s’embarque à destination du Cambodge, où l’attend son premier poste. Pendant cinq ans, il va vivre une aventure exceptionnelle, se passionnant pour la civilisation khmère et pour le sort des habitants de ce pays neuf, où de grands travaux ont été lancés par la métropole : routes, ponts et construction du premier chemin de fer…. Il parcourt le pays à cheval, en voiture ou à dos d’éléphant, et apporte son aide aux grands conservateurs d’Angkor. C’est avec une réelle nostalgie qu’il quitte le Cambodge pour poursuivre sa carrière en Cochinchine, pendant trois ans.
Dès les premiers «mots» nous sommes frappés par la passion profonde que génère ce lieu mythique, cette forteresse à double entrée. Mayol, cette arène féroce pour nos adversaires, mais surtout ce théâtre de «symphonies» rythmées par le cœur des supporters.
Être au bord de la rade et vivre «le naufrage des mots anciens» a poussé Jean-Claude à perpétuer la tradition pour lutter contre la «morosité» en nous offrant ce livre.
Tel «le Cœur de l’océan» du Titanic, les mots se perdent mais ne sont pas si loin. Laissez-vous guider par le philtre d’un passionné, vous verrez… vous les retrouverez. Grâce à Jean-Claude ils remontent à la surface et ne demandent qu’à se répandre dans les travées de Mayol.
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
Durant cent trente-deux ans, la France n'eut de cesse de combattre la misère et les maladies héritées à son arrivée en 1830 sur un territoire sans nom ni frontières, exploité par deux colonialismes en même temps, celui des Arabes depuis onze siècles et celui des Ottomans depuis trois cent quinze ans.
Fille du célèbre éditeur des surréalistes Eric Losfeld, l’auteur fait aussi partie de la famille Cogoni depuis de nombreuses années. Qui mieux qu’elle pouvait raconter la vie de ces trois frères, émigrés italiens dans les brumes du Nord de la France ? Cet ouvrage retrace leur parcours avec la plus grande sincérité. Par leur travail et leur ambition, ils ont gravi les marches du succès pour devenir premiers dans les hits parades.
Encore aujourd’hui, s’il est un nom connu de la communauté militaire maritime dans le monde entier, c’est bien celui de MAHAN. Ses théories influèrent toutes les marines du monde vers la fin du XIXème siècle, autour du thème central de la Puissance maritime. La lecture de ses ouvrages, notamment celle de l’Influence de la Puissance maritime dans l’histoire, demeure cependant une affaire de spécialistes.
L’auteur Stéphane Carbonnel nous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître celui du service militaire. Une parenthèse de quelques mois, jadis obligatoire et désormais facultative. Et c’est quelque part regrettable car nombreux sont les hommes qui resteront marqués à vie par ces moments-là. Des doutes liés à l’incorporation à l’adaptation à la vie de la caserne sans oublier la solidarité affichée pendant les manœuvres. Et bien d’autres émotions encore que l’on retrouve dans cet ouvrage qui fait aussi la part belle à la rigolade et aux anecdotes truculentes. « Le premier impôt » fait partie de ceux que l’on paie volontiers soit pour se remémorer des souvenirs similaires ou découvrir ces tranches de vie par essence éphémères…
Le médecin attitré de Porquerolles depuis de longues années a décidé de réaliser un ouvrage pour revenir sur cette expérience professionnelle si atypique. Il en résulte des anecdotes assez exceptionnelles mais aussi et surtout des tranches de vie saisissantes de sincérité, de simplicité et empreintes d’humour. Comme il le dit lui-même : « Sur cette île tout devient possible comme être sur les traces de Barberousse ou y croiser Zinedine Zidane... ».
Il y a des rencontres auxquelles on n’échappe pas… Des visages ; des regards qui vous marquent. Ils changent votre vision du monde, à jamais. Chanee est englouti par son combat pour les gibbons. Né dans le sud de la France, parti à 18 ans ; il se bat depuis presque 15 ans en Indonésie. Il tente d’y protéger des îlots de forêt, tout en sauvant des animaux, victimes des braconniers et de la déforestation. Dans un monde de légendes, de croyances animistes, il raconte ses aventures. Le décor : la jungle et les villages le long des rivières de Bornéo. Il décrit des scènes incroyables : le viol d’un orang-outan, assourdissant de violence ; des sauvetages émouvants, ratés ou réussis ; l’intimité et le comique d’une circoncision, incontournable pour devenir Indonésien...
Fabrice Martinez susurra al oído de los grandes simios, lo que le convierte en un policía muy especial. Se vio a sí mismo como un explorador y terminó uniéndose a las filas de la policía por vocación. Pero una pasión se aferraba a él : ¡los gorilas! Una admirable mujer, Dian Fossey, luchaba en Ruanda para evitar su desaparición. Murió asesinada, de seis golpes de machete, la noche del 26 de diciembre de 1985. Al día siguiente, Fabrice fundó GORILLA, la primera asociación francesa en defensa de los gorilas. Viajó hasta Ruanda, donde plantó su tienda de campaña al pie de un volcán, en el territorio de los últimos gorilas de montaña. En África se le conoce como : “el policía blanco que quiere salvar a los gorilas”.
Retraité dans le sud de la France, natif de la Somme où s’est déroulée la célèbre bataille de 1916, Romain BRIERE petit-fils de Poilu, s’est toujours senti concerné par la Grande Guerre.
En allant sur la tombe de son grand-père en 2010, il découvre un procès-verbal d’abandon datant de 2008 pour une reprise de concession en 2011 sans avoir été contacté.
C’est de là que sont nées sa révolte et sa volonté de faire savoir ce qu’ont vécu les Poilus.
Son livre est une fresque de la Grande Guerre 1914-1918.