
LA BARQUE NOIRE de Virginie PEYRÉ
Des mots pour exorciser les maux... les blessures, les douleurs, les traumatismes. Ceux d'une petite fille abusée sexuellement par son frère aîné.
Référence: L1690
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.
Meilleures solutions de paiement en ligne
Livraison gratuite partout en France Métropolitaine
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie. Loin des récits, parfois épiques, des observateurs (qui utilisaient les ballons captifs pour de longues surveillances de l'activité ennemie derrière un front longtemps "stabilisé"), ce témoignage laisse deviner la compétence et le sens des responsabilités des équipes au sol. Un aspect méconnu de la vie un peu en arrière des premières lignes, plus difficile et plus dangereuse que l'auteur des lettres ne veut bien l'avouer.