Le Génie d’un aérostier de Michèle OLIVIER-POLETTI
Référence: L1690
14,00 €
TTC
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.
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Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie. Loin des récits, parfois épiques, des observateurs (qui utilisaient les ballons captifs pour de longues surveillances de l'activité ennemie derrière un front longtemps "stabilisé"), ce témoignage laisse deviner la compétence et le sens des responsabilités des équipes au sol. Un aspect méconnu de la vie un peu en arrière des premières lignes, plus difficile et plus dangereuse que l'auteur des lettres ne veut bien l'avouer.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
Après « Mes rêves avaient un goût de sel », cette nouvelle tranche de vie subaquatique, bourrée d’humour et de surprises, se situe à une époque où soufflait encore un parfum de liberté. Comme dans son premier ouvrage, l’auteur écrit avec son style provençal très imagé qui fera sourire, mais aussi entraînera le lecteur vers des rencontres surprenantes et peu ordinaires, qu’elles soient humaines ou animales.
Le récit de vie de Stéphane Carbonnel est touchant de vérité. Il évoque l’apparition d’une légère schizophrénie qui va, au quotidien, forcément chambouler son existence jusque-là sans histoires. Entre doutes, séjours en hôpitaux, reprise d’une activité professionnelle et liens amicaux, l’auteur passe en revue tous les sentiments par lesquels il est passé. Ce livre est une forme de point final à un combat qu’il a mené de bout en bout avec courage et abnégation. Sans jamais se départir de qui il est et a toujours été…
Je t’aime, ma chérie… Ces simples mots, je les ai attendus toute ma vie, mais jamais ils ne sont venus. Les seules paroles que ma mère était capable de prononcer à mon égard n’étaient que sentences critiques : – Tu es chétive, tu ne feras jamais rien de bon, tu es inutile. Ainsi, peu à peu, émergeant du plus profond de mon être, naquit l’ours. Je devins la personne que ma mère avait créée ; bourrue, insociable, muette. Elle avait gagné et pouvait à loisir me détruire. Recluse dans ma tanière, je ne permettais à personne de franchir les portes de mon refuge. Une femme qui a mis au monde un enfant doit lui prodiguer tout son amour. Seule alors, grand-mère réussit à gagner mon affection.
“Une famille de 1660 à nos jours” est le cinquième ouvrage de Bernard Gaudin. Après son journal de marche sur la guerre d’Indochine, le secours en mer, un roman d’espionnage et une chronique sur la drogue, voici l’histoire d’une partie de sa famille et de ce village qui a bercé son enfance. Il est le petit-fils de Clément Louis Alexis Combet Septième du nom. Connaître ses origines en remontant le temps est un exercice plaisant qui permet de rencontrer nos anciens et de découvrir ce qu’ils ont été. Parler de la famille c’est aussi l’occasion de rappeler les valeurs qu’elle représente.
Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n’a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d’exception. Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l’étaient pas… Comme je l’ai écrit dans ce livre, nous connaissons dès notre incorporation à l’école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d’abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d’entre nous, l’honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus.
Ayant dépassé les soixante-seize ans maintenant, je voudrais vous conter mon existence, de ma naissance en 1947 dans la Meuse à mon entrée dans la marine nationale en septembre 1965, jusqu’à la fin de ma carrière en 2007.
Étant doté d’une santé de fer, d’un mental d’acier et de capacités physiques hors du commun – sans oublier un facteur chance qui ne m’a jamais quitté –, il m’a été donné de faire une grande carrière dans la marine nationale, en particulier dans le commando Hubert, celui des nageurs de combat.
Le service aux Chantiers de la Jeunesse achevé, je reprenais mes activités aux Travaux Maritimes. J’étais affecté dans la salle où j’avais passé mon examen d’entrée, occupée par un seul dessinateur Bugeau, Ingénieur des Arts et Métiers, qui allait devenir mon ami. Je devais passer là, dans cette grande pièce, encombrée de tables à dessin, tables et chaises, les meilleurs temps aux Travaux Maritimes, jusqu'à l’occupation allemande de Novembre 1942. C’était un lieu de passage entre les services administratifs et techniques, d’examens, de rencontres, presque de détente. Je n’en dirais pas plus.
Dans le monde actuel, il n’y a pas de place pour le rêve. Le seul moyen d’y parvenir c’est d’oublier parfois l’instant présent, de fermer les yeux, d’inspirer profondément… Alors à ce moment-là, dans le coin de votre mémoire, à l’aide d’une clef que vous glisserez dans la serrure, vous ouvrirez une vieille porte en bois usée par le temps et vous pénètrerez dans le monde du souvenir.
Au siècle dernier, on parlait de progrès pourtant peu de gens en profitait. Ils ne quittaient pas leur village, leur région et vivaient en vase clos. Puis il y eut la guerre, et la vie a changé. Notre génération fut la première à bouger : le train, l’avion, etc. L’empire colonial existait encore, la recherche du travail favorisait les déplacements.
Dans « Le Collège de Neptune », Claude ROUQUETTE évoque les relations historiques des Cévennes avec la mer. L'auteur raconte l'histoire des professeurs et des élèves de marine d'une des premières - École Navale - établies à Alès et à Vannes (1786-1792), il nous entraîne à la découverte du patrimoine maritime atypique et méconnu de l'arrière-pays gardois dans une narration au long cours de ses mémoires de mer cévenoles. Il a collaboré à l'écriture de la longue et inédite préface du « Journal de bord » de Charles Darwin sous la direction du Professeur Patrick Tort.
Rares sont les témoignages de la Grande Guerre par les aérostiers français, qui faisaient alors partie du Génie. Les lettres d'amour de Jean à Mathilde, rapportées par ailleurs telles qu'elles ont été conservées par leurs enfants, décrivaient aussi - bien qu'en second plan - le quotidien de Jean, 25 ans, maître-tailleur promu Caporal puis Sergent-arrimeur, d'août 1914 à fin juillet 1919. Extraits et regroupés chronologiquement, les passages dédiés aux tâches et aux activités de détente de la compagnie et/ou de l'escouade de Jean Poletti font revivre les dernières années de gloire d'une section - désormais oubliée - du Génie.