Le récit autobiographique de Philippe Gormond est de ceux qui font réfléchir sur la fragilité de l’existence car en définitive tout ne tient parfois qu’à un fil. Quand un accident de moto change le cours d’une vie. Celle d’un sportif convaincu. Page après page c’est une véritable ode à la résilience. La force mentale de ce passionné de basket-ball alors en fin d’études va lui servir pour rebondir. Même s’il a fallu passer le cap du déni puis de l’acceptation. Voilà pourquoi le titre de son livre « Ça pourrait être pire » traduit surtout un état d’esprit. Une quête pour continuer à vivre en transmettant de la « positive attitude » autour de soi…
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Le récit autobiographique de Philippe Gormond est de ceux qui font réfléchir sur la fragilité de l’existence car en définitive tout ne tient parfois qu’à un fil. Quand un accident de moto change le cours d’une vie. Celle d’un sportif convaincu. Page après page c’est une véritable ode à la résilience. La force mentale de ce passionné de basket-ball alors en fin d’études va lui servir pour rebondir. Même s’il a fallu passer le cap du déni puis de l’acceptation. Voilà pourquoi le titre de son livre « Ça pourrait être pire » traduit surtout un état d’esprit. Une quête pour continuer à vivre en transmettant de la « positive attitude » autour de soi…
Sous la pression de mes petits-enfants, Olivier, Magali, Claire, devenus grands, qui disaient : « il faut continuer tes mémoires », j’ai alors entrepris dans le cadre de mon autobiographie, de raconter ma vie. D’enfant, d’adolescent puis de jeune adulte responsable n’ayant rien à cacher, dans une famille unie et sans problème majeur, sauf de santé. En effet tous les miens menaient une vie régulière presque bourgeoise. C’est dans cette période d’après-guerre que mes parents se sont mariés, le 9 Juin 1920. « Entre deux guerres » est l’histoire d’un fils unique, son enfance et son adolescence. J’ai partagé ce livre en deux périodes. La première du 4 Juin 1921 au 30 Septembre 1931 où j’ai vécu à Brunet, quartier de Toulon.
Le récit de vie de Stéphane Carbonnel est touchant de vérité. Il évoque l’apparition d’une légère schizophrénie qui va, au quotidien, forcément chambouler son existence jusque-là sans histoires. Entre doutes, séjours en hôpitaux, reprise d’une activité professionnelle et liens amicaux, l’auteur passe en revue tous les sentiments par lesquels il est passé. Ce livre est une forme de point final à un combat qu’il a mené de bout en bout avec courage et abnégation. Sans jamais se départir de qui il est et a toujours été…
« En 39, j’avais 10 ans » est le livre de ma vie. Un récit que j’ai voulu poignant de vérité. Ainsi les passages marquants et anecdotes révélatrices sur des périodes historiques fortes, comme la Seconde Guerre mondiale bien sûr, se succèdent page après page. Les lecteurs découvriront les réalités d’une existence riche en émotions rythmée par les situations vécues, les gens rencontrés et les lieux traversés. Et si certains passages peuvent paraître incroyables, ils sont pourtant d’une véracité incontestable. À l’image de ces années qui ont fait de moi celui que je suis…
« Quand je me suis exilé, j’ai d’abord estimé que ma femme avait ruiné mon existence en m’éloignant de la civilisation. Au contact de la nature, j’ai vite compris qu’Aurélie m’avait en fait sauvé, à son insu. Il faut que j’en témoigne. Ainsi, sur mon lit de mort, ai-je demandé à Stéphanie et à Claude de raconter ma vie dans les grottes du Tarn. Pour rédiger mes Mémoires, il me fallait des auteurs qui me ressemblent, des auteurs pour lesquels écrire, c’est courir nu dans la baie du Mont-Saint-Michel, c’est hurler en silence. »
Fabrice Martinez susurra al oído de los grandes simios, lo que le convierte en un policía muy especial. Se vio a sí mismo como un explorador y terminó uniéndose a las filas de la policía por vocación. Pero una pasión se aferraba a él : ¡los gorilas! Una admirable mujer, Dian Fossey, luchaba en Ruanda para evitar su desaparición. Murió asesinada, de seis golpes de machete, la noche del 26 de diciembre de 1985. Al día siguiente, Fabrice fundó GORILLA, la primera asociación francesa en defensa de los gorilas. Viajó hasta Ruanda, donde plantó su tienda de campaña al pie de un volcán, en el territorio de los últimos gorilas de montaña. En África se le conoce como : “el policía blanco que quiere salvar a los gorilas”.
Ayant eu la chance de vivre vingt années passionnantes en Afrique, l'auteur a voulu au travers de cet ouvrage faire revivre quelques épisodes drôles, cocasses ou plus dramatiques qui ont marqué ses séjours dans cinq pays différents entre 1984 et 2014. Mais aussi faire partager sa passion pour un continent que peu d’Européens connaissent et apprécient, la plupart d'entre eux ayant une vision déformée par les médias ou le discours ambiant. Observateur attentif d'un monde africain en pleine évolution, il a au travers de ses récits fait revivre une galerie de portraits hauts en couleurs de personnages caractéristiques de cette époque.
S’il y a bien un domaine prépondérant qui a connu de nombreux changements, et pas forcément positifs, c’est bien celui de la scolarité. Des méthodes d’enseignement en passant par le système de notation, sans oublier les relations avec les élèves et les parents…
D’après un fait réel qui s’est déroulé en France. Gagner sa vie en frôlant la mort chaque jour. Ce numéro était particulièrement dangereux. Le fait que le risque soit considérable, en faisait l’attrait. L’être humain est ainsi ; la proximité de la mort lui occasionne une attirance macabre.
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
Ce récit autobiographique est le kaléidoscope des mémoires d’une petite fille dont le rêve évanoui était de devenir « danseuse étoile »… Les chemins qu’elles empruntent semblent tourner sans cesse en rond alors que, inexorablement, ils évoluent en spirale vers la vérité inavouable : une enfance abusée.
Infirmière diplômée d’État, cadre de santé, chef de service dans différents secteurs de soins, Rita Largillier se réalise auprès des autres depuis quarante ans. Un temps mis au service des personnes malades et handicapées qui leur a permis de s’épanouir et d’apporter un formidable rayon de soleil à ces femmes et ces hommes en souffrance. Une expérience incomparable et enrichissante qu’elle nous fait aujourd’hui partager. Les moments les plus durs de sa vie surgissent à chaque instant ; de l’enfant des corons à la réussite d’une femme de courage.
Le récit autobiographique de Philippe Gormond est de ceux qui font réfléchir sur la fragilité de l’existence car en définitive tout ne tient parfois qu’à un fil. Quand un accident de moto change le cours d’une vie. Celle d’un sportif convaincu. Page après page c’est une véritable ode à la résilience. La force mentale de ce passionné de basket-ball alors en fin d’études va lui servir pour rebondir. Même s’il a fallu passer le cap du déni puis de l’acceptation. Voilà pourquoi le titre de son livre « Ça pourrait être pire » traduit surtout un état d’esprit. Une quête pour continuer à vivre en transmettant de la « positive attitude » autour de soi…