Le récit autobiographique de Philippe Gormond est de ceux qui font réfléchir sur la fragilité de l’existence car en définitive tout ne tient parfois qu’à un fil. Quand un accident de moto change le cours d’une vie. Celle d’un sportif convaincu. Page après page c’est une véritable ode à la résilience. La force mentale de ce passionné de basket-ball alors en fin d’études va lui servir pour rebondir. Même s’il a fallu passer le cap du déni puis de l’acceptation. Voilà pourquoi le titre de son livre « Ça pourrait être pire » traduit surtout un état d’esprit. Une quête pour continuer à vivre en transmettant de la « positive attitude » autour de soi…
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Le récit autobiographique de Philippe Gormond est de ceux qui font réfléchir sur la fragilité de l’existence car en définitive tout ne tient parfois qu’à un fil. Quand un accident de moto change le cours d’une vie. Celle d’un sportif convaincu. Page après page c’est une véritable ode à la résilience. La force mentale de ce passionné de basket-ball alors en fin d’études va lui servir pour rebondir. Même s’il a fallu passer le cap du déni puis de l’acceptation. Voilà pourquoi le titre de son livre « Ça pourrait être pire » traduit surtout un état d’esprit. Une quête pour continuer à vivre en transmettant de la « positive attitude » autour de soi…
J’ai lu votre manuscrit avec toute mon estime pour votre manière d’être et votre courage. Vous êtes resté vous-même pendant tout cet enfermement et c’est votre force. Votre expérience montre aussi ce qui aide à garder la tête hors de l’eau : l’exercice physique régulier, les douches, la prière et surtout le souci de l’autre. »
Jeune ingénieur des Ponts, plein d’idéal et de fantaisie, Henri Maux a 26 ans, lorsqu’il s’embarque à destination du Cambodge, où l’attend son premier poste. Pendant cinq ans, il va vivre une aventure exceptionnelle, se passionnant pour la civilisation khmère et pour le sort des habitants de ce pays neuf, où de grands travaux ont été lancés par la métropole : routes, ponts et construction du premier chemin de fer…. Il parcourt le pays à cheval, en voiture ou à dos d’éléphant, et apporte son aide aux grands conservateurs d’Angkor. C’est avec une réelle nostalgie qu’il quitte le Cambodge pour poursuivre sa carrière en Cochinchine, pendant trois ans.
Chantal Cogoni-Losfeld raconte la vie d’un babouin qu’elle et son mari ont eu pendant des années. L’histoire est narrée comme si c’était le singe qui dévoilait ses propres aventures, pleines de joies et d’espiègleries. Un témoin particulier et privilégié de la fabuleuse ascension des Sunlights, groupe mythique des années 1960 et 1970. D’où les nombreuses situations exceptionnelles traversées par ce singe devenu au fil des ans un véritable compagnon de route.
« Ton fils est un âne… » Cette affirmation qui semblait sceller le destin du jeune Jean-Pierre se révélera bien inexacte ! Dans les années cinquante, ce petit Marseillais, débrouillard et curieux, nous entraîne du quartier du Panier au moulin du Logis-Neuf, en passant par le Vieux-Port et les ruelles de la grande ville. À travers anecdotes et souvenirs racontés avec humour, on suit avec plaisir les aventures de l’enfant qui, longtemps, s’est cru bon à rien. Malgré les vicissitudes qui se succéderont dans sa vie, l’optimisme typique des gens du Sud ne sera jamais loin et Jean-Pierre, dont on détectera finalement un fort QI, fera la démonstration de ses capacités en devenant pilote d’aéronautique navale dans la marine et plus tard pilote instructeur dans la vie civile.
Juin 1945 L’Ascanius, un bateau anglais, transport de troupes, pénètre dans le port de Marseille. Le navire accoste près du quai de la Joliette. À bord, un millier de rescapés des camps de déportation rejoignent leur pays d’origine. Parmi eux, Jean Perotti, un enfant de Marseille. Une jeune femme l’accompagne. Elle s’appelle Kotechka. Une Polonaise. Elle a recueilli Jean après son évasion de la citadelle de Lwow en Pologne. Ils s’aiment.
Après « Mes rêves avaient un goût de sel », cette nouvelle tranche de vie subaquatique, bourrée d’humour et de surprises, se situe à une époque où soufflait encore un parfum de liberté. Comme dans son premier ouvrage, l’auteur écrit avec son style provençal très imagé qui fera sourire, mais aussi entraînera le lecteur vers des rencontres surprenantes et peu ordinaires, qu’elles soient humaines ou animales.
Elle a toujours aimé relater toutes ces journées qui passent sans lui. Elle aurait voulu aller le chercher, le ramener à elle... Ils étaient si bien tous les deux, même vieux, même moins beaux.
Il était son amour, elle était sa mémoire.
Embrasse-moi lui disait-elle. Et toi répondait-il, continue à me raconter...
Né en 1942 à Sète, l'auteur nous entraîne, au travers d'anecdotes tendres, dramatiques ou sensuelles, sur le parcours d'une vie parsemée de joies et de peines. Ses mémoires lui ayant servi de psychothérapie en évoquant sans fausse pudeur les ressentis d'un romantique à la sensibilité assumée. Ses "deux mariages et un enterrement" n'ont en rien altéré sa foi en l'amour des femmes, cette foi qui lui servit constamment de moteur pour avancer dans l'existence. Ce récit plein d'espoir nous rappelle que dans la vie, rien n'est jamais définitif et qu'il faut toujours croire à la possibilité d'un bonheur accessible à tous.
Dans Chemins d'ailleurs, Sandrine Beillard relate ses périples « à la dure » aux quatre coins du globe, dans des régions reculées, parfois restées à l’abri de la mondialisation. Dans la préface, Chow Ching Lie, l’auteure du best-seller Le Palanquin des larmes, l’affirme : « Je ne sache pas de meilleure méthode pour découvrir le rare, l'authentique, voire le merveilleux.
Ce tome II des mémoires des Chantiers Navals de La Seyne-sur-Mer a été difficile à rédiger. L’hommage rendu aux femmes était nécessaire, il ne fut pas simple à mettre en forme. Vraies et pudiques. Les femmes ont voulu témoigner ainsi. Le choix du témoignage nous a semblé la meilleure mise en page possible pour ce type de recueil. « Luttes et travail » en découlent naturellement. Nous n’avons pu échapper à l’intense attachement que nous avons eu pour cette prestigieuse entreprise que furent les Chantiers de La Seyne-sur-Mer, sentiment qui persiste encore aujourd’hui. Ensemble c’est le récit de notre aliénation et des luttes pour nous libérer qui est ici mis en page. Sans fard, ni lieu commun, sur le mouvement ouvrier seynois, dont notre présent porte encore les stigmates.
Avec l’arrivée d’Hassan Rohani à la présidence de la République islamique d’Iran, un vent d’espoir souffle dans les chancellerie sur une possible modération de la théocratie qui entretient des relations conflictuelles avec l’Occident depuis le début. Faut-il se fier aux apparences et aux allures de ce mollah qui a été dans tous les rouages de la dictature iranienne, y compris à des postes extrêmement sensibles de la sécurité et de la défense ? L’Occident ne découvre pas Rohani qu’en 2013 ; il a été le principal interlocuteur de la troïka européenne pendant les négociations nucléaires en 2003.
Le récit autobiographique de Philippe Gormond est de ceux qui font réfléchir sur la fragilité de l’existence car en définitive tout ne tient parfois qu’à un fil. Quand un accident de moto change le cours d’une vie. Celle d’un sportif convaincu. Page après page c’est une véritable ode à la résilience. La force mentale de ce passionné de basket-ball alors en fin d’études va lui servir pour rebondir. Même s’il a fallu passer le cap du déni puis de l’acceptation. Voilà pourquoi le titre de son livre « Ça pourrait être pire » traduit surtout un état d’esprit. Une quête pour continuer à vivre en transmettant de la « positive attitude » autour de soi…