Chantal Cogoni-Losfeld raconte la vie d’un babouin qu’elle et son mari ont eu pendant des années. L’histoire est narrée comme si c’était le singe qui dévoilait ses propres aventures, pleines de joies et d’espiègleries. Un témoin particulier et privilégié de la fabuleuse ascension des Sunlights, groupe mythique des années 1960 et 1970. D’où les nombreuses situations exceptionnelles traversées par ce singe devenu au fil des ans un véritable compagnon de route.
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Chantal Cogoni-Losfeld raconte la vie d’un babouin qu’elle et son mari ont eu pendant des années. L’histoire est narrée comme si c’était le singe qui dévoilait ses propres aventures, pleines de joies et d’espiègleries. Un témoin particulier et privilégié de la fabuleuse ascension des Sunlights, groupe mythique des années 1960 et 1970. D’où les nombreuses situations exceptionnelles traversées par ce singe devenu au fil des ans un véritable compagnon de route.
Chaque vie est unique. Toutes les douleurs sont aussi personnelles qu’incompréhensibles lorsque ce ne sont pas les nôtres. Mettre en mots des maux redonne un élan, un sens et une représentation différente d’un parcours parfois chaotique.
Suivre Charlotte dans ses années d’existence et comprendre pourquoi apporter son aide est essentiel pour elle, en raison de la traversée atypique des méandres de son « chemin de l’eau », va peut-être faire écho à des vécus analogues.
L’idée d’avancer vers la découverte d’un probable mystère en se plongeant dans des souvenirs et leur analyse est alimentée par une énergie puisée dans chaque instant afin de la libérer de son secret.
Sous la pression de mes petits-enfants, Olivier, Magali, Claire, devenus grands, qui disaient : « il faut continuer tes mémoires », j’ai alors entrepris dans le cadre de mon autobiographie, de raconter ma vie. D’enfant, d’adolescent puis de jeune adulte responsable n’ayant rien à cacher, dans une famille unie et sans problème majeur, sauf de santé. En effet tous les miens menaient une vie régulière presque bourgeoise. C’est dans cette période d’après-guerre que mes parents se sont mariés, le 9 Juin 1920. « Entre deux guerres » est l’histoire d’un fils unique, son enfance et son adolescence. J’ai partagé ce livre en deux périodes. La première du 4 Juin 1921 au 30 Septembre 1931 où j’ai vécu à Brunet, quartier de Toulon.
11 mars 2011, séisme et tsunami au Japon. En France, une femme vit le drame en direct par écrans interposés : son fils Rémi est installé là-bas. Il s’apprête à épouser Yuko, une Japonaise. Six mois plus tard, conviée à leur mariage, elle les rejoint. Hélas, le Japon n’est pas un pays de tout repos, elle le découvre à ses dépens : expériences cocasses, étranges ou éprouvantes se succèdent. Retirée sur une île de l’océan indien, elle prend enfin le temps de déplier l’origami de cette année-là et de chercher la cause de ses égarements. L’écriture parviendra-t-elle à élucider ce passé ?
Deux mois avant la Coupe du Monde de Football de 2014, je décidai de déposer mes valises dans un hôtel du quartier de Copacabana, à Rio de Janeiro, qui serait mon QG d’où j’allais arpenter, objectif à la main, une ville dans tous ses états et sous tous les angles : sa Nature époustouflante comme le Pain de Sucre, le Corcovado orné de son Christ Rédempteur, ou la plage mythique de Copacabana ; son architecture aux mille contrastes florissant un centre-ville de ses buildings vitrés, ses favelas tenant vaillamment debout avec des matériaux de récupération, dévorant, par leur étendue, presque toutes les collines de Rio ; son tourisme médiatique « en cage », dressé au mutisme, pour accueillir les supporters venus assister à la Coupe du Monde de Football...
« Ton fils est un âne… » Cette affirmation qui semblait sceller le destin du jeune Jean-Pierre se révélera bien inexacte ! Dans les années cinquante, ce petit Marseillais, débrouillard et curieux, nous entraîne du quartier du Panier au moulin du Logis-Neuf, en passant par le Vieux-Port et les ruelles de la grande ville. À travers anecdotes et souvenirs racontés avec humour, on suit avec plaisir les aventures de l’enfant qui, longtemps, s’est cru bon à rien. Malgré les vicissitudes qui se succéderont dans sa vie, l’optimisme typique des gens du Sud ne sera jamais loin et Jean-Pierre, dont on détectera finalement un fort QI, fera la démonstration de ses capacités en devenant pilote d’aéronautique navale dans la marine et plus tard pilote instructeur dans la vie civile.
Marcel, personnage de cette saga… sa vie. Son enfance. Les retrouvailles venues d’un pays lointain. Son premier amour… le bonheur, l’envoûtement, l’angoisse… la peur ! Le calme après la tempête ! La découverte des U.S.A., du Pays de Galles, de l’Île de Ténérife. Le travail, la persévérance, les récompenses. Les femmes de sa vie… Moon, J-J, Bunny, Babylove… et Marline aussi ! Et les échecs bien sûr ! Marcel, ses petits animaux, de bons amis…
Certains noms propres annoncent la destinée de ceux qui le portent, il en est ainsi pour Maltese. Jean Maltese est un aventurier. Né dans un souk à Tunis, il a été à la fois un artiste et un homme de télévision. Or il faut avoir la force de la persuasion, le talent de la présentation et l’obstination dans la réalisation pour être un personnage dans ce monde de l’image. Un “ Maltèse “ ne peut être qu’un homme atypique, et, dès ses quinze ans, Jean quitte son pays et part sans bagages ni relations, mais des rêves plein la tête, vers la ville lumière. Ce Rastignac de Saint-Germain-des-Prés, élève du Cours Simon, devient acteur et compositeur, à la guitare, entre autres...
Le récit autobiographique de Philippe Gormond est de ceux qui font réfléchir sur la fragilité de l’existence car en définitive tout ne tient parfois qu’à un fil. Quand un accident de moto change le cours d’une vie. Celle d’un sportif convaincu. Page après page c’est une véritable ode à la résilience. La force mentale de ce passionné de basket-ball alors en fin d’études va lui servir pour rebondir. Même s’il a fallu passer le cap du déni puis de l’acceptation. Voilà pourquoi le titre de son livre « Ça pourrait être pire » traduit surtout un état d’esprit. Une quête pour continuer à vivre en transmettant de la « positive attitude » autour de soi…
C’est un bien bel anniversaire que ces 60 ans d’Aqua Lung, la Spirotechnique. Il nous ramène en 1947, lorsque la société Air Liquide créa la première entreprise de plongée dont le but était d’industrialiser et de commercialiser les idées du commandant Cousteau. L’ère de la plongée sportive et de loisir était née. Avec Air Liquide, nous étions dans le domaine de la maîtrise des risques, la technique industrielle étant mise à disposition des pionniers de la plongée sous-marine. Avec Jacques Yves Cousteau, nous entrions dans le domaine de l’image et de la communication
Août 2020 – Cité des Papes à Avignon : « Je te remets le livre, fais-en bon usage, il y est inscrit en lettres de feu et d'or les plus grands secrets du monde. C'est la Grâce qui t'est donnée pour le chemin parcouru. »
Cela pourrait être le début d'un beau roman ésotérique, c'est simplement l'histoire de ma vie. Je suis née en 1966, dans une ville du sud de la France, entre cigales et mistral. Rien ne me prédisposait à vivre, dès mon plus jeune âge, cette connexion naturelle avec ce que certains nomment « l'invisible ».
« En 39, j’avais 10 ans » est le livre de ma vie. Un récit que j’ai voulu poignant de vérité. Ainsi les passages marquants et anecdotes révélatrices sur des périodes historiques fortes, comme la Seconde Guerre mondiale bien sûr, se succèdent page après page. Les lecteurs découvriront les réalités d’une existence riche en émotions rythmée par les situations vécues, les gens rencontrés et les lieux traversés. Et si certains passages peuvent paraître incroyables, ils sont pourtant d’une véracité incontestable. À l’image de ces années qui ont fait de moi celui que je suis…
Toulon libéré, la guerre n’est pas terminée, Monsieur Charles Bruno, mon ami, me demande d’être son second, au sein de l’entreprise de bâtiments Bruno et fils, (c’est lui le fils-gérant), et me confie la partie technico-administrative de la société. Il y a du pain sur la planche, car Toulon a beaucoup souffert ces trois dernières années. J’avais vingt-trois ans. Je passais subitement, à l’évaluation des dommages de guerre (travaux d’urgences) que je chiffrais et donnais aux architectes, puis au Ministère de la Reconstruction pour accord. Charles s’occupait alors des travaux. Je faisais la facturation. L’entreprise était cotée, elle avait de beaux jours devant elle.
Chantal Cogoni-Losfeld raconte la vie d’un babouin qu’elle et son mari ont eu pendant des années. L’histoire est narrée comme si c’était le singe qui dévoilait ses propres aventures, pleines de joies et d’espiègleries. Un témoin particulier et privilégié de la fabuleuse ascension des Sunlights, groupe mythique des années 1960 et 1970. D’où les nombreuses situations exceptionnelles traversées par ce singe devenu au fil des ans un véritable compagnon de route.