Ton fils est un âne et tu n’en tireras jamais rien ! de Jean-Pierre FERRANDIN
Référence: L2490
22,00 €
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« Ton fils est un âne… » Cette affirmation qui semblait sceller le destin du jeune Jean-Pierre se révélera bien inexacte ! Dans les années cinquante, ce petit Marseillais, débrouillard et curieux, nous entraîne du quartier du Panier au moulin du Logis-Neuf, en passant par le Vieux-Port et les ruelles de la grande ville. À travers anecdotes et souvenirs racontés avec humour, on suit avec plaisir les aventures de l’enfant qui, longtemps, s’est cru bon à rien. Malgré les vicissitudes qui se succéderont dans sa vie, l’optimisme typique des gens du Sud ne sera jamais loin et Jean-Pierre, dont on détectera finalement un fort QI, fera la démonstration de ses capacités en devenant pilote d’aéronautique navale dans la marine et plus tard pilote instructeur dans la vie civile.
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« Ton fils est un âne… » Cette affirmation qui semblait sceller le destin du jeune Jean-Pierre se révélera bien inexacte ! Dans les années cinquante, ce petit Marseillais, débrouillard et curieux, nous entraîne du quartier du Panier au moulin du Logis-Neuf, en passant par le Vieux-Port et les ruelles de la grande ville. À travers anecdotes et souvenirs racontés avec humour, on suit avec plaisir les aventures de l’enfant qui, longtemps, s’est cru bon à rien. Malgré les vicissitudes qui se succéderont dans sa vie, l’optimisme typique des gens du Sud ne sera jamais loin et Jean-Pierre, dont on détectera finalement un fort QI, fera la démonstration de ses capacités en devenant pilote d’aéronautique navale dans la marine et plus tard pilote instructeur dans la vie civile.
Qui pouvait le mieux parler d’un mineur de mines de bauxite qu’un mineur, avec son cœur et sa générosité, pour le transmettre aux nouvelles générations ? Au travers de son aventure personnelle, Roger Dispard, cadre à Péchiney, nous conte sa carrière.
C’était le 23 octobre 1917, un début de soirée d’automne, Ferdinand n’avait pas encore 20 ans, il venait d’obtenir son baccalauréat. Affecté sur le front ouest, il exécutait dans des conditions difficiles les ordres reçus, alors qu’une montée à l’assaut se préparait après le passage de la première vague... Il perçut le sinistre sifflement de l’obus et une puissante déflagration… touché à la tête par un éclat, il gît dans le sang et dans la boue. Ferdinand Angousture était un Nettoyeur de Tranchées, mais ce n’était ni un " zigouilleur " ni un " tueur ". Il était un jeune Poilu engagé dans le conflit, pour participer à la libération de la France. La personnalité de ces soldats n’a jamais été bien définie.
Le médecin attitré de Porquerolles depuis de longues années a décidé de réaliser un ouvrage pour revenir sur cette expérience professionnelle si atypique. Il en résulte des anecdotes assez exceptionnelles mais aussi et surtout des tranches de vie saisissantes de sincérité, de simplicité et empreintes d’humour. Comme il le dit lui-même : « Sur cette île tout devient possible comme être sur les traces de Barberousse ou y croiser Zinedine Zidane... ».
Peppe Russo. C’est comme ça que l’on m’appelle. Je suis né à Tunis, le lundi 1er juin 1931, à 4 heures du matin, d’une famille sicilienne de Castellammare del Golfo, dans la province de Trapani, lieu de naissance de mon père et ma mère.
Certains noms propres annoncent la destinée de ceux qui le portent, il en est ainsi pour Maltese. Jean Maltese est un aventurier. Né dans un souk à Tunis, il a été à la fois un artiste et un homme de télévision. Or il faut avoir la force de la persuasion, le talent de la présentation et l’obstination dans la réalisation pour être un personnage dans ce monde de l’image. Un “ Maltèse “ ne peut être qu’un homme atypique, et, dès ses quinze ans, Jean quitte son pays et part sans bagages ni relations, mais des rêves plein la tête, vers la ville lumière. Ce Rastignac de Saint-Germain-des-Prés, élève du Cours Simon, devient acteur et compositeur, à la guitare, entre autres...
Rodriguez est un bagnard en fuite sur le littoral varois, de Toulon jusqu’à Roquebrune. Arnaud est un campagnard de Figanières. Ils sont contemporains (1848 / 1851). Tous deux vont commettre des crimes. Malgré le ton picaresque des récits, les faits sont historiques.
Sept bagnards mettent les voiles.
Frederico Rodriguez, ancien soldat espagnol, tente la vie de colon à Constantine, pays nouvellement conquis par la France. Il est pris lors d’une tentative de vol à main armée et envoyé au bagne de Toulon. Il décide de profiter de l’atmosphère révolutionnaire de 1848 pour s’évader par la mer avec six autres forçats. Les fugitifs accostent sur le littoral des Maures...
L’auteur, fils unique du général DUPERTUIS, est né en Alsace en 1928.
Expulsé par les Allemands en 40 il subira un pèlerinage forcé de quatre ans à Lourdes où décédera son père. Il saura ce que signifie "avoir faim" au milieu de gens indifférents et de tas de bondieuseries de tous modèles et ce, jusqu’à la Libération où il verra d’innombrables pétainistes prétendre avoir été si gaullistes et si résistants que les Allemands ne s’en étaient pas aperçu. Un miracle à n’en pas douter !
L’idée de ces chroniques, lancée comme une boutade autour d’un repas d’anciens journalistes, s’est vite concrétisée, en allumant la flamme de l’écriture, jamais éteinte, mais parfois endormie.
Voici un livre utile : dans l'historiographie de Saint-Mandrier et des cafards, ainsi qu'étaient naguère surnommés ses habitants, il dépoussière, trie, fait le ménage, range. Voici un livre intelligent : il indique les limites actuelles de nos connaissances, fait un état des richesses naturelles et architecturales du territoire, étudie l'évolution de la population, trace des pistes, ouvre des perspectives, donne à réfléchir. Voici un livre qui devrait être la bible des décideurs politiques ou apprentis décideurs : ils y trouveraient matière à agir pour le bien-être de la collectivité.
J’ai lu votre manuscrit avec toute mon estime pour votre manière d’être et votre courage. Vous êtes resté vous-même pendant tout cet enfermement et c’est votre force. Votre expérience montre aussi ce qui aide à garder la tête hors de l’eau : l’exercice physique régulier, les douches, la prière et surtout le souci de l’autre. »
L’aventure est au coin de la rue. Avec peu de moyens mais une volonté de fer, deux amis d’enfance ont parcouru la mythique National 7 sur de vieilles mobylettes des années 60, entre Paris et Hyères. Leur soif de découvertes leur a permis d’admirer les beaux paysages et les anciens vestiges de cette route des vacances. Allant naturellement au contact de nombreuses personnes rencontrées au cours de leur périple, Patrick et Morad passionnés d’aventure en deux roues, désiraient aussi à travers cette escapade, faire connaître l’association ARC-EN-CIEL qui s’occupe de réaliser les rêves d’enfants atteints de graves maladies. C’est ce qu’ils firent…
Dans la vie il y a des cycles. Certains sont positifs et d’autres testent vraiment votre capacité à rebondir après les coups durs. Ce fut mon cas lorsque, au sortir d’un confinement qui nous a tous de près ou de loin bien chamboulés, j’ai découvert en septembre 2020 une grosseur sur mon sein gauche. Le stress fut logiquement immédiat. Après une mammographie, une échographie, une IRM et une biopsie, mon gynécologue m’a annoncé que j’avais un cancer du sein. Le tourbillon infernal a alors commencé pour ma famille et pour moi-même avec les examens médicaux, l’opération, les séances de radiothérapie, le traitement d’hormonothérapie, les doutes, les angoisses, puis la dépression.
« Ton fils est un âne… » Cette affirmation qui semblait sceller le destin du jeune Jean-Pierre se révélera bien inexacte ! Dans les années cinquante, ce petit Marseillais, débrouillard et curieux, nous entraîne du quartier du Panier au moulin du Logis-Neuf, en passant par le Vieux-Port et les ruelles de la grande ville. À travers anecdotes et souvenirs racontés avec humour, on suit avec plaisir les aventures de l’enfant qui, longtemps, s’est cru bon à rien. Malgré les vicissitudes qui se succéderont dans sa vie, l’optimisme typique des gens du Sud ne sera jamais loin et Jean-Pierre, dont on détectera finalement un fort QI, fera la démonstration de ses capacités en devenant pilote d’aéronautique navale dans la marine et plus tard pilote instructeur dans la vie civile.