Avec l’arrivée d’Hassan Rohani à la présidence de la République islamique d’Iran, un vent d’espoir souffle dans les chancellerie sur une possible modération de la théocratie qui entretient des relations conflictuelles avec l’Occident depuis le début. Faut-il se fier aux apparences et aux allures de ce mollah qui a été dans tous les rouages de la dictature iranienne, y compris à des postes extrêmement sensibles de la sécurité et de la défense ? L’Occident ne découvre pas Rohani qu’en 2013 ; il a été le principal interlocuteur de la troïka européenne pendant les négociations nucléaires en 2003.
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Avec l’arrivée d’Hassan Rohani à la présidence de la République islamique d’Iran, un vent d’espoir souffle dans les chancellerie sur une possible modération de la théocratie qui entretient des relations conflictuelles avec l’Occident depuis le début. Faut-il se fier aux apparences et aux allures de ce mollah qui a été dans tous les rouages de la dictature iranienne, y compris à des postes extrêmement sensibles de la sécurité et de la défense ? L’Occident ne découvre pas Rohani qu’en 2013 ; il a été le principal interlocuteur de la troïka européenne pendant les négociations nucléaires en 2003. Bien que l’accord nucléaire conclu en 2015 permette un brin d’optimisme, l’absence d’amélioration dans le domaine des droits humains et la poursuite des aventures hégémoniques de l’Iran islamiste dans la région laissent perplexes. Rohani est-il finalement un « pragmatique modéré » ou un magicien qui vient, dans l’ombre du Guide suprême religieux, illusionner le monde pour prolonger la survie d’un système en fin de course ?
Olivier est enlevé à Niamey alors qu’il était venu rendre visite, avec son épouse Laura, à leurs filleuls dans le cadre de l’association « Aide et Action ». Pendant six mois il sera l’otage d’AQMI dans le Nord du Mali. Deux geôliers se relaieront une semaine sur deux pour le « surveiller » en plein désert : l'un est un fou furieux avec lequel aucune communication n’est possible, l'autre pourrait être son fils... c’est pourtant un terroriste qui opère au Maroc. Olivier, ignorant son devenir, veut laisser une trace de son parcours à l’intention de ses descendants. Il laisse aussi un « Petit Traité de philosophie » personnel. « Destinées croisées » retrace la vie et la rencontre de Mohamed et d’Olivier.
Ce recueil, fondé sur des bribes de souvenirs, des articles de journaux, des albums photos et d’autres supports médias, est à classer dans un genre nouveau, une sorte de « trilogie familiale biographique ». Il relate la vie condensée de trois hommes au talent artistique affirmé qui ont influencé l’ère toulonnaise : Alfonso Arride, Louis Arride et Daniel-Antoine. Chacun, à sa manière, a su en son temps œuvrer pour le bien de tous et ce témoignage les met en lumière.
Un magnifique couple, sept ans de mariage, cinq FIV et le bonheur total à votre naissance, Alexia et Gary. Une violente bagarre conjugale quelques semaines plus tard qui ressemble davantage à un guet-apens et te voilà, mon fils, Peter, privé de tout du jour au lendemain. Ton épouse enchaînant avec des accusations immondes qu’elles sont des milliers de femmes à utiliser pour priver les pères de leurs droits… Surfant sur la vague « femmes battues » et MeToo, tous l’ont crue sans mettre en doute ses qualités de « mère d’exception » !
Puisse ce modeste livre témoigner de la passion et de l’amour que les élèves de la classe de CE2, CM1 et CM2 de l’école Robert Moretti du Poizat éprouvent pour ce plateau de Retord, à l’instar de Delphine Arène, écrivain, enfant du Haut-Bugey. Ceux qu’attire le champ de neige merveilleux du plateau devineront l’âme farouche et sensible qui a dicté l’écriture de cet ouvrage et qui rôde toujours, vivante, dans ces combes. En toile de fond, la nouvelle commune Le Poizat-Lalleyriat constitue ce nouveau joyau pour le Retord et tisse son avenir par un élan nouveau sous le sourire satisfait de Denis Goiffon.
Récemment, lors d’une succession, l’auteur mit la main sur une mallette en carton qui semblait dormir depuis les années soixante. Il y trouva un important dossier avec des textes écrits en français, d’autres écrits en russe et en allemand et deux albums de photos en noir et blanc d’hommes en uniforme militaire et de dames sous chapeau cloche. Le tout, sans classement, pouvait paraître banal… En vérité, c’était un important dossier concernant une famille juive qui, échappant aux pogroms de Russie de 1904, s’était réfugiée à Paris où elle fit souche. Son histoire contemporaine commence en Dordogne, lors des congés payés de l’été 1939. Puis, ce fut la guerre et l’extermination d’une partie de cette famille, comme celle de milliers d’autres à Auschwitz.
« Ton fils est un âne… » Cette affirmation qui semblait sceller le destin du jeune Jean-Pierre se révélera bien inexacte ! Dans les années cinquante, ce petit Marseillais, débrouillard et curieux, nous entraîne du quartier du Panier au moulin du Logis-Neuf, en passant par le Vieux-Port et les ruelles de la grande ville. À travers anecdotes et souvenirs racontés avec humour, on suit avec plaisir les aventures de l’enfant qui, longtemps, s’est cru bon à rien. Malgré les vicissitudes qui se succéderont dans sa vie, l’optimisme typique des gens du Sud ne sera jamais loin et Jean-Pierre, dont on détectera finalement un fort QI, fera la démonstration de ses capacités en devenant pilote d’aéronautique navale dans la marine et plus tard pilote instructeur dans la vie civile.
Différentes histoires belles, surprenantes, étranges, drôles et cocasses. De cette belle histoire de santons d’Auriol, unique en son genre. Quelle explication peut-on donner aux phénomènes paranormaux auxquels certaines personnes sont confrontées au cours de leur vie ? De cette personne qui ne pensait pas à mal en vendant ses fruits et légumes et pourtant… Par ce pêcheur généreux invitant ses amis à un repas un peu spécial. À ce monstre marin qui avait défrayé la chronique sur les bords de la Méditerranée. Au monde marin et sa sirène légendaire dans la plus belle baie de Marseille. De ce chien victime malgré lui de son manque d’efficacité. Et bien d’autres…
Sous la pression de mes petits-enfants, Olivier, Magali, Claire, devenus grands, qui disaient : « il faut continuer tes mémoires », j’ai alors entrepris dans le cadre de mon autobiographie, de raconter ma vie. D’enfant, d’adolescent puis de jeune adulte responsable n’ayant rien à cacher, dans une famille unie et sans problème majeur, sauf de santé. En effet tous les miens menaient une vie régulière presque bourgeoise. C’est dans cette période d’après-guerre que mes parents se sont mariés, le 9 Juin 1920. « Entre deux guerres » est l’histoire d’un fils unique, son enfance et son adolescence. J’ai partagé ce livre en deux périodes. La première du 4 Juin 1921 au 30 Septembre 1931 où j’ai vécu à Brunet, quartier de Toulon.
Pour ceux qui le savent pas, ce livre, il est écrit en pataouète. Alors, pas la peine de m’écrire pour me signaler que c'est pas français d’écrire « on comprend pas » et qu’il faut écrire « on ne comprend pas ». Je sais bande de babaos. Je suis un auteur de Bab El Oued. C’est ce qui me différencie des autres écrivains. J’écris comme je parle et comme les gens de chez moi y parlent. Et je dirais mieux j’écris comme je respire. Alors si vous préférez Lamartine à la Martoune, passez votre chemin, ya rien à voir ! Mais si vous voulez savoir comment parlaient vos compatriotes d’Algérie, comment ils se comportaient dans la vie de tous les jours, lisez-moi braves gens de chez moi ou d’ailleurs. Je vous souhaite plein de bonnes choses. Ada ma canne et mon chapeau !
Les EHPAD sont la cible régulière de critiques, parfois virulentes, qui entachent leur réputation. Pourtant la volonté des professionnels est tout autre. À travers cet ouvrage, le lecteur découvrira que ce lieu de vie offre tout simplement la poursuite d’un long parcours de vie avec ses joies, ses tristesses, ses compromis et ses handicaps. Mais pour ce faire, de nombreux questionnements s’imposent pour concilier les droits et libertés individuelles, la vie en collectivité et les règles normatives parfois contradictoires.
Avec l’arrivée d’Hassan Rohani à la présidence de la République islamique d’Iran, un vent d’espoir souffle dans les chancellerie sur une possible modération de la théocratie qui entretient des relations conflictuelles avec l’Occident depuis le début. Faut-il se fier aux apparences et aux allures de ce mollah qui a été dans tous les rouages de la dictature iranienne, y compris à des postes extrêmement sensibles de la sécurité et de la défense ? L’Occident ne découvre pas Rohani qu’en 2013 ; il a été le principal interlocuteur de la troïka européenne pendant les négociations nucléaires en 2003.